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l'ecrivain tahar ouettar vient de mourir

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  • #31
    salut:

    Tahar Ouettar est une perte pour sa famille et pour l'Egypte.

    fehhamna , explique baba merzoug
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

    Commentaire


    • #32
      evidemment ça parle d'egypte
      --------------------
      extraits d’une nouvelle de Tahar Ouettar

      Les martyrs reviennent cette semaine,ou conte d’une mémoire tatouée

      Dans un village apparemment tranquille, tictaque une bombe : le retour des combattants morts pendant la guerre de Libération. L’annonce de cette nouvelle incroyable en a été faite au père de l’un d’eux, le cheikh Abed qui a reçu de son fils une lettre expédiée de l’étranger.

      Le vieux Abed parfaitement convaincu de la véracité de cet évènement fait le tour du village pour informer les gens. Dans sa tournée, il rencontre un certain nombre de notables à qui il demande quelle est, selon eux, la signification de la portée de ce retour et les mesures qu’ils comptent prendre.

      Leurs réponses indiquent à quel point un tel évènement, pourtant parfaitement improbable, peut amener de perturbations dans «la bonne marche des affaires» de ces messieurs… Ouettar avec un style direct et dans une langue absolument moderne, mène une enquête.

      La symbolique utilisée par lui est très populaire : le thème des martyrs étant sacré, c’est un effort de désacralisation qu’il tente ici, maniant un humour léger et une fine analyse psychologique.

      En voici quelques extraits.

      M. A. B.



      D’abord c’est Kaddour, ami de Mustapha le chahid. Kaddour est prié par le vieux Abed de lui raconter à nouveau les circonstances de la mort de son fils.

      (…) Nous allions des Aurès porter aux frontières Est le courrier de la wilaya. Nous marchions côte à côte. A un moment donné, Mustapha s’est trouvé devant moi, je ne sais plus comment. Il ne restait plus qu’une heure et demie de marche pour atteindre la ligne électrifiée. La nuit était claire. J’ai relevé la tête pour demander à Mustapha de m’attendre quand je le vis figé sur place et répétant «Dieu est grand». «Qu’y a-t-il Mustafa ? Reste où tu es, c’est une mine antipersonnel… Mais il faut que je t’aide !» «Impossible». «Ne bouges pas, plaque-toi au sol pour éviter les éclats.» A peine m’étais-je jeté à terre qu’une explosion retentit. Mustapha se jeta dans un trou. Une deuxième explosion, le trou était également miné. J’ai couru vers lui, il était déjà mort. Sa poitrine était ouverte. Je l’ai enterré sur place, oncle Abed, et j’ai poursuivi mon chemin…

      -Tu dis l’avoir enterré ?

      -Oui, avec mes deux mains. Comme j’ai pleuré ! Il était pour moi plus qu’un frère, oncle Abed.

      -Si ce n’était pas toi qui me l’avais raconté, je n’aurais jamais cru à cette histoire.

      Kaddour sursaute et jette au vieux un regard de biais, cherchant à percevoir le sens de cette remarque.

      -Que veux-tu dire oncle Abed ?

      -Mon fils reviendra cette semaine.

      -Mustapha revient ? Que racontes-tu là oncle Abed ?

      -Ecoute, Kaddour mon fils. Ton histoire est vraie, pas de doute là-dessus…

      -Naturellement…

      -…Mais mes visions aussi sont vraies. Ce matin, à la prière, Mustapha m’est apparu et m’as dit ceci exactement : «Je ne suis pas mort. J’ai échappé miraculeusement à la mine. Dans dix jours au plus tard, je serai de retour.»

      -Il ne t’a rien dit d’autre ?

      -C’est tout ce qu’il m’a dit.

      -Dieu bénisse les martyrs, oncle Abed. Ton fils est actuellement dans la félicité du paradis éternel, pense plutôt à toi, tiens, prends un rafraîchissement…

      C’est le tour de Abdelhamid, jeune instituteur et maire du village.

      Quelle serait ta position si tous les martyrs du village, tout au moins quelques-uns, revenaient ?

      -Pourquoi cette question, oncle Abed ? dit le maire en pensant : si ton fils revient, je vengerais mon père, avec mes dents, je le déchiquetterai, ton fils.

      -Une simple question qui m’est venue à l’esprit, je te prie de me répondre avec franchise, dit le vieux Abed conscient qu’il lui fallait éviter de citer le nom de son fils, coupable aux yeux du maire, d’avoir exécuté, au nom de la Révolution, le père de ce dernier pour trahison.

      -Pour moi, l’affaire est simple. Etant inscrits sur le registre des décès, ils doivent prouver leur résurrection. Et d’ici qu’ils arrivent à le faire, j’aurai fini mon mandat.

      -Mais il s’agit de martyrs, je veux dire de combattants véritables.

      -Et après ?...

      -Que veux-tu dire ?

      -Au bout d’une semaine, ils auront déraillé...

      -Et s’ils revenaient avec des armes ?

      -La question me dépasserait alors et serait du ressort de l’Etat. Du point de vue de la loi, la question est simple, oncle Abed. Mais elle serait très complexe en ce qui vous concerne, vous…

      Abdelhamid quitte le vieux Abed convaincu que celui-ci s’achemine rapidement vers la folie. N’a-t-il pas des visions étranges et ne pose-t-il pas des questions non moins étranges ?Et ces cernes sous ses yeux, ces regards inquiétants, les muscles faciaux crispés, les mains qui tremblent : malade.

      Le cheikh Abed poursuit son chemin, dos courbé, remuant la tête. La loi. Pour lui la question est simple. Ils les somment de prouver leur résurrection, et c’est tout. Les réponses du maire sont claires et simples, à croire qu’il les a préparées. Il est vrai qu’il a déjà de l’expréience en la matière avec les vivants.

      Pour lui, les combattants, martyrs ou non, sont des morts obligés de lutter pour prouver leur qualité de vivants, le fils du traître. Mais quels sont ses torts? Est-ce d’avoir succédé à son père ? Nous n’avions pas expressément besoin de lui : on ne manque pas de militants, de soldats et de fils de martyrs dans le village… Nous pensions naïvement que parce que fils de l’ancien maire, il avait plus que tout autre, des chances de bien faire le travail. C’était l’adhésion aveugle au mouvement général d’amnistie concernant le passé. Et c’est lui qui nous a poussés à l’élire. Peut-être que nous avions accepté, poussés par notre désir de tourner la page ? Peut-être même que nous aurions accepté de voter pour son père s’il était resté vivant : nous avons plus et pire que cela…

      Puis c’est le responsable local de la cellule du parti que le cheikh Abed accroche.

      -Crois-tu que tous les martyrs sont réellement morts ?

      -Non, oncle : «Ils sont vivants et Dieu les comble de bien-être.»

      -Ce n’est pas ce que je voulais savoir. Je veux dire : sont-ils réellement morts ?

      -Il y en a qui se sont sacrifiés, d’autres sont morts par erreur et d’autres qui, sous la pression des circonstances, ont été considérés comme martyrs.

      -Il ne s’agit pas de cela aussi, Je veux dire : sont-ils vivants : «mangent-ils du pain en se promenant sur les marchés ?»

      -Dieu seul le sait.

      -La question est tout autre.

      -C’est-à-dire ?

      -Tous les martyrs du village reviendront cette semaine.

      -Est-ce que tu vas bien, cheikh Abed ?... Excuse-moi, j’ai une réunion…

      -Non, c’est sérieux. Mon fils Mustapha, celui qui avait installé son refuge chez toi quand tu habitais la campagne, revient cette semaine…

      Le responsable du parti pâlit et ressentit brusquement le besoin de s’asseoir ou de s’adosser à quelque chose, un arbre ou un poteau télégraphique. Je ne sais comment il a pu savoir que j’ai dénoncé son fils aux soldats français qui avaient tendu un piège chez moi. Ils l’ont attendu un mois entier, cachés.

      Mais il n’est pas venu. J’ai été obligé de me réfugier au village. Et c’est là qu’il m’a envoyé une lettre de condamnation à mort. Heureusement qu’il est mort un mois après…

      -D’où tiens-tu cela, oncle Abed, balbutia-t-il.

      -Le vieux réfléchit un moment puis lui dit :

      -Il m’est apparu après la prière du matin et m’a dit : «Je ne suis pas mort et je reviendrai dans quelques jours.»

      -C’est un rêve.

      -Jamais je n’ai fait un rêve qui ait été démenti par les faits. Mon fils reviendra dans dix jours.

      -T’as-t-il dit autre chose ?

      -Il m’a parlé de quelques affaires et m’a cité quelques noms. Malheureusement, je ne m’en souviens pas.

      -Il a cité mon nom ?

      -Il ne me semble pas.

      -J’ai une réunion importante,excuse-moi…

      -Pas avant que tu me dises…

      -Quoi encore ?

      -Quelle serait ta position en tant que responsable du parti si tous les martyrs reviennent.

      -Ah ? Je leur ferai voir les réalisations de l’indépendance. Puis je leur remettrai des fiches

      d’adhésion au parti, avant la déclaration de l’engagement vis-à-vis du pouvoir révolutionnaire. Et s’ils réunissent tous les critères et les conditions requises, les commissions devront les accepter au moins comme adhérents.

      -C’est ainsi ?

      -Et que veux-tu de plus ? Tous les gens sont égaux devant la loi.
      « Puis-je rendre ma vie
      Semblable à une flûte de roseau
      Simple et droite
      Et toute remplie de musique »

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      • #33
        @oujda

        Tahar Ouettar est une perte pour sa famille et pour l'Egypte.

        fehhamna , explique baba merzoug
        Quand Tahar Djaout a été assassiné par les terroristes islamistes Tahar Ouettar a eu cette déclaration assssine "Tahar Djaout est une perte pour sa famille et pour la France". Ouettar a un grand probleme avec le français (ca releve plus de la psychopathologie d'ailleurs) et avec les auteurs francophones algeriens oubliant que lui aussi il utilise une langue empruntée, qu'est l'arabe classique. Ce complexe a conduit Ouettar aux pires excès et à des alliances contre natures avec les islamistes et les conservateurs lui qui se déclarait pourtant "communiste".

        Je salue quand même le courage de l'homme quand il a écrit l'un des plus beaux écrits défendant le fait berbere et la langue berbere. Il est paru sur le journal Algerie-Actualité quelques jours apres la mort de Mouloud Mammeri en 1989.
        Dernière modification par BabaMerzoug, 13 août 2010, 17h27.

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        • #34
          merci baba merzoug, tahar etait llah yerahmo ungrand 3aroubi defenseur de la langue arab.(alqawmia 3arabia )ce piege qui a fait tombé beaucoup des progresiste.
          tahar wettar ,tahar djaout ,abdelkader alloula, mohamed meskine,toufiq alhakim c'est une perte pour toute l'humanité (dans ce domaine d'art) theatre et ne pas uniqeument perte pour la france , egypt , maroc , algerie ,,,
          المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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          • #35
            Allah Yrahmou
            Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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            • #36
              juste un homme qui avit le courage de ses opinions et qu'on resume aune phrase

              @oudja

              cette histoire "de perte pour la france " est biaisée et utilisé a des fin ideologiques depuis

              je te proposes d'ecouter de la propre voix des interessés ce qui s'est passé

              les deux djaout et ouettar ont le courage de leurs opinions
              voila apeu pres les positions des uns et des autres

              djaout "on ne doit pas dialoguer avec les islamistes quelque soit leur implanation populaire"
              ouettar" la democratie signifie le fait d'accepter d'appartenir a une minorité..djaout etait un ami mais il ecrit aux français et non aux algeriens: c'est comme un guide touristique"

              ouettar" contrairement aux ecrivaisn expression française des années 50 et 60 ceux d'aujourd hui sont coupé du peuple et ne le connaissent pas et croient qu'ils sont le peuple et que le peuple doit imperativement leur ressembler "

              ouettar" je suis contre la violence et le sang meme quand c'est mon ennemi mais l'attitude de djaout etait suicidaire..je le lui avait dit et lui avit conseillé de quitter l'algerie"

              voila ouettar parlant des ecrits de djaout a la 1:30 minute apeu pres


              voila djaout parlant de combattre le fis (par les armes) sans dialoguer quelque soit sans implantation sociale et la reponse de outtar (savoir dialoguer et accepter d'etre minoritaire..et le l'isolment de la societé de certaisn intellectuels) a la minute 2:30 apeu pres



              ouetatr declare n'avoir pas ete surpris par la mort de djaout , mort en tant q un engagé politique qui lui mem voulait la mort de ses ennemis ..et non en tant qu'intellectuel etq u'il est contre ce type de violence


              voila la fameuse "perte pour la france" a la 3 : 30 minute a
              peu pres



              c'etait l'avis de ouettar sir djaout :
              un ecrivains dont les ecrits ne sont pas destinés aux algeriens mais aux français, un democrate refusant d'etre dans la minorité et recourant a la violence pour ecraser l'autre majorité, un intellectuel meconniassant sa societé et voulant atout prix qu'elle lui ressemble...d'ou sa reponse si c'etait une perte pour l'algerie ouetatr repond " c'est une question qui met mal a la'ise mais j'y reponderai, une perte pour sa femme , une perte pour ses enfants ..et une perte pour la france"
              « Puis-je rendre ma vie
              Semblable à une flûte de roseau
              Simple et droite
              Et toute remplie de musique »

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              • #37
                tu rames ... tout ce qu'il disait sur Tahar Djaout s'applique sur lui, sauf le faite que Tahar Djaout est mort sur sa terre.
                شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

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                • #38
                  @histo

                  je n'ai pas saisi le sens de ta dernière intervention?? :

                  -1-je commence moi par ramer
                  -2-puis tu donne un avis sur ce que dit ouettar (ce qui est normal)
                  -3- puis tu parle de djaout qui est mort sur sa terre comme si ouettar est mort ailleurs
                  « Puis-je rendre ma vie
                  Semblable à une flûte de roseau
                  Simple et droite
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                  • #39
                    paix a ton ame tahar djaout

                    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                    • #40
                      un ecrivains dont les ecrits ne sont pas destinés aux algeriens mais aux français
                      C'est ridicule cette assertion de Quettar. Si le fait d'ecrire en francais c'est s'adresser aux francais alors Hemingway s'adresse aux anglais et pas aux americains, Garcia Marquez aux espagnols seulement et ainsi de suite. Cette theorie est tellement stupide qu'elle ne merite meme pas la peine d'etre discutée ici. C'est de la mauvaise foi et de la mechanceté gratuite dictée par un egarement causé par du ressentiment ou bien par un complexe psychologique.

                      Concernant le fond, l'oeuvre de Djaout. Si on prend la peine de la lire, elle est plus algerienne, plus vivante et plus progressiste que celle de celui qui ecrit avec une langue morte n'ayant pas evolué depuis 14 siecles et celui qui était un ecrivaillon bureaucrate du FLN post independance.

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                      • #41
                        L'independance algerienne est l'oeuvre de francophones et de modernistes. Ils ont mené la guerre en francais et avec cravate et complet veston en non en turban et kamiss! Les islamistes ont rejoint la guerre de liberation en 1956 quand ils ont vu que l'histoire les condamnera s'ils persistent dans l'expectative. C'etait Abane Ramdane qui leur a forcé la main d'ailleurs dans un élan rassembleur.

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                        • #42
                          C'est ridicule cette assertion de Quettar. Si le fait d'ecrire en francais c'est s'adresser aux francais alors Hemingway s'adresse aux anglais et pas aux americains, Garcia Marquez aux espagnols seulement et ainsi de suite. Cette theorie est tellement stupide qu'elle ne merite meme pas la peine d'etre discutée ici. C'est de la mauvaise foi et de la mechanceté gratuite dictée par un egarement causé par du ressentiment ou bien par un complexe psychologique.
                          Ouattar ( Allah yarh'mou) écrit bien mais ce n'est pas une lumière. Il y a beaucoup de bons écrivains stupides. Quand j'ai lu sa fameuse idiotie contre Tahar Jaout ( qui, lui est extrêmement plus articulé), j'ai cessé définitivement de le lire
                          ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                          Commentaire


                          • #43
                            @babamerzoug
                            @bachi
                            C'est ridicule cette assertion de Quettar. Si le fait d'ecrire en francais c'est s'adresser aux francais alors Hemingway s'adresse aux anglais et pas aux americains, Garcia Marquez aux espagnols seulement et ainsi de suite. Cette theorie est tellement stupide qu'elle ne merite meme pas la peine d'etre discutée ici. C'est de la mauvaise foi et de la mechanceté gratuite dictée par un egarement causé par du ressentiment ou bien par un complexe psychologique.
                            reecoutez ce qu'il dit..

                            rendant a ouettar ce qui est a outtar: ce n'est pas le fait d'ecrire en français qui le derangeait(il le dit clairement) c'est ecrire aux français

                            il y'a une difference entre les deux
                            je vous propose cette analyse sur malek haddad pour saisir la difference :
                            ontrairement à Kateb Yacine qui conçoit la langue française comme "un butin de guerre", qu’il faut conserver et exploiter, Malek Haddad, après avoir dit "nous écrivons le français, nous n’écrivons pas en français" pour souligner que la langue n’est qu’un instrument qui exclut toute aliénation culturelle.

                            Il vivra la langue française à l’école, comme un exil, plus fort que l’exil : "L’école coloniale colonise l’âme. Chez nous, c’est vrai, chaque fois qu’on a fait un bachelier, on a fait un Français". "Il y a toujours eu une école entre mon passé et moi". "Je suis moins séparé de ma patrie par la Méditerranée que par la langue française.
                            d'ailleurs il fait la comparaison avec les ecrivains a excpression française des années 50 et 60(probabalment ferouan et dib) qui eux en ecrivant en français avaient des romans bien algeriens

                            ceq ue reprochait ouettar a djaout c'est:
                            -qu'il etait deconnecté des aspirations de la plupart des algeriens
                            -que ces ecrits etaitent destinés aux français et non aux algeriens (c'est son avis)
                            -en tant que democrate de ne pas accepter d'etre dans une minorité
                            -en tant qu'intellectuel de vouloir que le peuple s'alligne sur sa pensée
                            -de refuser tout dialogue avec les islamistes quel que soient leur enracinement populaire ce qui signifie a l'epoque l'eradication armée ouettar refusant la violence et le sang entre algeriens
                            -de considerer le franais comme une langue nationale (selon ouettar)
                            « Puis-je rendre ma vie
                            Semblable à une flûte de roseau
                            Simple et droite
                            Et toute remplie de musique »

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