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Merci aux pères de la révolution algérienne

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  • #16
    Ils t'entedront de là où ils sont...

    Il y a mille façon de leur dire merci à commencer par honnorer et perdurer leurs principes et tenter de faire aboutir leurs rêves et objectifs.

    el solas te dit comme el bahar

    gardons a l esprit la rectitude des principes intangibles de la revolution
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #17
      Disons surtout à nos jeunes qu'ils ont une nation malgré la conjoncture défavorable et que des centaines de milliers de nos compatriotes sont morts pour que nos jeunes ne soient plus les esclaves des colons, aillent à l'école et mangent à leur faim.

      VIVE L'ALGERIE !!!

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      • #18
        Nous commencerons à avancer lorsque tous les témoins de la guerre de libération nationale seront morts car certains s'accrochent au pouvoir de peur d'être jugés et mis en prison jusqu'à leur mort !
        Ne te fais pas trop d'illusion Popeye!

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        • #19
          Ce sentiment je l'ai toujours dans mon coeur, merci à vous,, vous qui ont eu le courage de déclencher une révolution... et ce n'est pas rien, pour récupérer un grand beau pays, de 2 381 740 Km² avec toute sa splendide diversité ...

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          • #20
            Désolé ! Mais l’un de ces personnages n’est certainement pas un immortel et n’est en aucun cas digne de figurer parmi ces 5 autres géants. Car il s’est définitivement fourvoyé aux yeux de "l'histoire" en aidant à organiser et fomenter par son action la mise à mort définitive de tout espoir de liberté et de justice encore naissant. Pour n’y instaurer rien d’autre à la place que le despotisme le plus impitoyable et le pillage généralisé de tous les rêves et de toutes les richesses très chèrement acquises par le sang et les larmes de tout un peuple.



            Rabah Bitat écarté du pouvoir par le président Ben Bella il s'exile avant de soutenir le coup d'État de Houari Boumédiène. Il est nommé ministre d'État le 10 juillet 1965. En 1972 il est nommé ministre des Transports, puis président de l'Assemblée nationale algérienne, à la mort du président Houari Boumédiène, il assure l'intérim de la présidence.

            « Il était une fois le coup d'Etat du 19 Juin 1965 »




            Adama 18/06/2010 16h01


            Ouh ! Magnifique. Dans le plus pur héritage de ce type de méfait. Un peu médiocre tout de même dans le procédé. Mais conforme à la très longue tradition éprouvée de la manipulation de grande masse des esprits réceptifs, instituée en méthode pour l'instauration de tel modèle.

            Oui ! Je sais. La nation était face un danger imminent. Le pays était fragile avec de multiples ennemies tapis à ses portes, tous prés à se jeter sur leur proie fragile et blessée. Et il risquait surtout tout simplement la dislocation pure et simple. Ce sont nos nobles sauveurs qui sont venus à notre rescousse. Nous, pauvres âmes totalement désemparées.

            Non que celui qui précédait ces faussaires n’en était pas un aussi. Mais entre la peste et le choléra. C’est bonnet blanc et blanc bonnet.


            Pour rendre pleinement justice à l’histoire. Donnons les véritables annonces qui aurait du être faite à la suite de ce « putsch » planifié.



            -Chapitre 1 :

            Kaid Ahmed s’exprimant par « un monologue » à l’ensemble de l’assistance des journalistes:

            Les généraux et leurs futurs vassaux et fidèles complices du partie unique devaient progressivement liquider tous ceux qui de prés ou de loin constituent les forces saines « existantes » de la nation.

            Ils ont mis tout le monde et toutes les institutions, et tous les textes au frigidaire pour régenter l’Algérie.

            Exactement comme des princes qui gèrent les affaires de l’état tant sur le plan de sa trésorerie, que de ses textes, de son existence quotidienne à partir de leurs poches.

            Ils se sont substitués à tout. Au parlement, aux institutions, à la justice.

            Et dans les pays qui n’ont pas de morale d’état. Qui ne sont pas structurer. On appelle ça, la dictature.



            -Chapitre 2 :

            J
            ournaliste tentant d’interviewer maladroitement Bouteflika :

            Les généraux sont présentés comme une bande de dictateurs, de tirants assoiffés de pouvoir ? Des hommes qui veulent à tout prix représenté à eux seul l’Algérie ?


            Réponse de Bouteflika :

            Je voudrai d’abord confirmer se que vous venez de dire. Il y a un petit éclaircissement à apporter. Vous venez de parler de putsch. Il faudrait qu’il soit absolument entendu que dans ce pays certains hommes autoproclamés ne sont pas les fidèles et dignes héritiers de l’armée de libération nationale.

            Dans ce pays il n’y a pas une seul famille qui n’est eut un fils, un père, un parent dans l’armée de libération national.

            C’est vous dire que par notre prise de pouvoir exclusif, nous ne sortons pas des entrailles du peuple. Que nous n’appartenons pas profondément à ce peuple. Et que tout nous sépare de ce peuple. C’est dire aussi que le terme putsch est un terme tout à fait adéquat. Je dis bien tout à fait adéquat. Parce que sous le plan des options, la révolution est morte née. Elle doit plus que jamais mourir.

            L’Algérie sera représentée exclusivement dorénavant uniquement par les généraux.


            Journaliste suite :

            Est-ce que le conseil de la révolution peut dire, prendre toutes les destinées de l’état ou est-ce qu’il doit y avoir des élections ? Qu’est ce qu’il peut se passer ?


            Réponse Bouteflika 2 :

            Vous avez certainement vu les décisions d’hier. Toutes les institutions du parti et de l’état n’existent plus. Le gouvernement aussi. C’est les généraux qui prennent la place désormais. Et ils prennent comme vous l’avez signalé toutes les destinés sur ce territoire assiégé.

            Les généraux remplacent le conseil de la révolution. Le gouvernement est dissous.

            Il ne faut pas confondre le problème qui a été causé par des hommes seuls et le reste du problème du pays. Les algériens, tous les algériens sentent dans leur chère et leur dignité se que nous avons dérobé durant toutes ces premières années de pillage, de gabegie et surtout toutes ces décennies avenir qui vont les suivre. Je dis bien tous les algériens sans exception.

            Il n’y a que le peuple algérien qui soit historique et qui peut prétendre à cela. Ces usurpateurs, des figures minables, sont devenus les maîtres. Grâce au sacrifice consenti par le peuple algérien tout entier.


            Et grâce aussi au sacrifice du million et demi de morts, des leurs qui seront spoliés. Eux, ainsi que tout le peuple et leur descendance.



            ...
            Dernière modification par Adama, 16 août 2010, 09h42.

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            • #21
              Wesh hebitou t-bekiwena m3a sbah rebbi ?
              paix à leurs âmes.

              Nous sommes une jeune nation de moins de 50 ans et nous sortons tout juste d'une guerre civile qui a fait 200.000 morts, l'heure où nous commencerons à avancer viendra. Soyez patients !
              Vu comme ça c'est vrai faut patienter mais surtout travailler bcp chancun dans son domaine.
              Tadjére ouala Hadjére ouala rédjline Madjer...

              Vive Tayri, Vive JSK

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              • #22
                MistOver

                Par contre, les amis, de grâce n'oubliez pas lui, qui a fait beaucoup de choses aussi, mais il a été puni par le FLN
                Messali ? Non, mille fois non. C'est lui qui a failli plomber la révolution avec son culte de personnalité et son égocentrisme démesuré. Il n'a jamais digéré le faite que de jeunes algériens qu'ils croyaient ses sujets (il se considérait roi) le jettent aux oubliettes et lancent de leur propre chef l'une des meilleures épopées du 20 ème siècle. Il ne faut pas oublier que le MNA a combattu des unités du FLN et que Messali n'a rien fait pour empêcher celà !

                Sinon, un point commun aux six personnes qui sont sur la photo : ils ont tous été soit tués par ceux qu'ils croyaient être leur frère (Boudiaf, Belkacem, Didouche) ou bien ont été dénoncés à l'ennemi par leur frères d'armes (Ben M'hidi). La mort de Ben Boulaïd tué par un Radio émetteur piégé peut aussi être un coup de certains officiers de la Wilaya I pour prendre le contrôle de celle-ci !

                Il n'est pas bon d'être un Argaz en Algérie. La preuve, tout les lâches de l'époque sont encore en vie et sucent la moelle algérienne depuis 5 décennies !
                Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

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                • #23
                  Je ne sais plus qui a dit : "heureux ceux qui sont mort pendant la révolution"

                  Mais il a raison.
                  شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

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