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Sidi Rached (Tipasa) : Vol de la caisse de la zakat
Grande fut la surprise des fidèles de la mosquée de Saâd Ibn Abi Waqas de la commune de Sidi Rached, relevant de la daïra de Ahmeur El Aïn, en découvrant, à la fin de la semaine dernière, que l’une des urnes, servant de caisses pour la collecte de l’argent de la zakat, a été volée au sein même dudit lieu de culte.
Cette profanation, unique en son genre, est devenue depuis le sujet de discussion des citoyens de toute la ville et des agglomérations alentour. Selon les témoignages de quelques habitants de Sidi Rached, le méfait a été commis entre la prière d’El Maghreb et celle d’El Aïcha. «Je n’ai jamais imaginé qu’un acte aussi maléfique puisse être commis dans une maison de Dieu.
C’est inadmissible», s’indigne un jeune de Sidi Rached.
Après la constatation du vol, les éléments de la gendarmerie nationale ont diligenté une enquête en vue d’en élucider les tenants et les aboutissants. « Le ou les malfaiteurs ont profané trois choses sacrées en commettant leur forfait. Ils ont profané la mosquée, le mois de ramadan et la zakat. C’est dire la gravité de l’acte », commente un citoyen de Tipasa.
Horizons
Grande fut la surprise des fidèles de la mosquée de Saâd Ibn Abi Waqas de la commune de Sidi Rached, relevant de la daïra de Ahmeur El Aïn, en découvrant, à la fin de la semaine dernière, que l’une des urnes, servant de caisses pour la collecte de l’argent de la zakat, a été volée au sein même dudit lieu de culte.
Cette profanation, unique en son genre, est devenue depuis le sujet de discussion des citoyens de toute la ville et des agglomérations alentour. Selon les témoignages de quelques habitants de Sidi Rached, le méfait a été commis entre la prière d’El Maghreb et celle d’El Aïcha. «Je n’ai jamais imaginé qu’un acte aussi maléfique puisse être commis dans une maison de Dieu.
C’est inadmissible», s’indigne un jeune de Sidi Rached.
Après la constatation du vol, les éléments de la gendarmerie nationale ont diligenté une enquête en vue d’en élucider les tenants et les aboutissants. « Le ou les malfaiteurs ont profané trois choses sacrées en commettant leur forfait. Ils ont profané la mosquée, le mois de ramadan et la zakat. C’est dire la gravité de l’acte », commente un citoyen de Tipasa.
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