Grande-Bretagne : 284 euros d'amende pour un chat à la poubelle
Elle était devenue en quelques heures la femme la plus haïe d'Angleterre après avoir jeté une chatte vivante dans une poubelle. Deux mois après les faits, une quadragénaire britannique vient d'être condamnée à une amende de 250 livres (284 euros).
Son geste a été vu par des millions de Britannique faisant d'elle la femme la plus haïe de Grande-Bretagne ! A la fin du mois d'août, Mary Bale, 45 ans, employée de banque avait été filmée caressant une chatte, avant de la saisir par la peau du dos et de la jeter dans une poubelle.
«Lola» était restée enfermée pendant une quinzaine d'heures avant d'être secourue - indemne - par ses maîtres, Darryl et Stephanie Mann. La scène, rapidement diffusée sur internet, avait provoqué une indignation quasi-nationale. Sur Facebook la tête de la pauvre Mary a été un temps mise à prix, l'intéressée a même bénéficié d'une protection policière pour éviter une revanche de militants de la cause animale.
« J'ai voulu faire une blague. C'est juste une chatte», s'est étonnée Mary, ne comprenant pas «pourquoi cela faisait tant de bruit». . Elle a plaidé coupable du chef d'inculpation («souffrance à animaux») devant un tribunal de Coventry (centre de l'Angleterre), sa ville de résidence. Celui-ci l'a condamné à une amende de 250 livres (284 euros).
Prononçant le verdict, le juge Caroline Goulborn a justifié la relative clémence de la sentence par le fait que l'animal n'avait pas été blessé et que Mme Bale avait été «vilipendée» par une certaine partie de la presse.
Elle était devenue en quelques heures la femme la plus haïe d'Angleterre après avoir jeté une chatte vivante dans une poubelle. Deux mois après les faits, une quadragénaire britannique vient d'être condamnée à une amende de 250 livres (284 euros).
Son geste a été vu par des millions de Britannique faisant d'elle la femme la plus haïe de Grande-Bretagne ! A la fin du mois d'août, Mary Bale, 45 ans, employée de banque avait été filmée caressant une chatte, avant de la saisir par la peau du dos et de la jeter dans une poubelle.
«Lola» était restée enfermée pendant une quinzaine d'heures avant d'être secourue - indemne - par ses maîtres, Darryl et Stephanie Mann. La scène, rapidement diffusée sur internet, avait provoqué une indignation quasi-nationale. Sur Facebook la tête de la pauvre Mary a été un temps mise à prix, l'intéressée a même bénéficié d'une protection policière pour éviter une revanche de militants de la cause animale.
« J'ai voulu faire une blague. C'est juste une chatte», s'est étonnée Mary, ne comprenant pas «pourquoi cela faisait tant de bruit». . Elle a plaidé coupable du chef d'inculpation («souffrance à animaux») devant un tribunal de Coventry (centre de l'Angleterre), sa ville de résidence. Celui-ci l'a condamné à une amende de 250 livres (284 euros).
Prononçant le verdict, le juge Caroline Goulborn a justifié la relative clémence de la sentence par le fait que l'animal n'avait pas été blessé et que Mme Bale avait été «vilipendée» par une certaine partie de la presse.
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