L'affaire vient de passer mardi au tribunal correctionnel. L'homme, 43 ans, explique au président que s'il a envoyé 50 SMS par jour du 15 mars au 30 avril 2010 (soit 1.500) à son ex, c'est pour récupérer ses affaires "qu'elle ne voulait pas lui rendre", rapporte La Nouvelle République.
L'avocat de son ex précise que le 30 avril, "jour où elle a déposé plainte à la gendarmerie, ma cliente a reçu 10 SMS le matin même", avec toujours des injures salaces, sexistes, voire graveleuses. Tout ça parce qu'on ne lui a pas rendu trois tee-shirts et un slip. La relation, qui s'est brisée en raison de l'alcoolisation du prévenu, a duré dix mois." Il ajoute : "Ma cliente a brûlé les vêtements, après le soupçon d'incendie volontaire qui a détruit son véhicule."
Le procureur a requis 600€ d'amende parce que "la victime a subi un véritable harcèlement, aggravé par un caractère injurieux."
Le juge a décidé de le condamner à "un mois de prison avec sursis simple" et à une amende de 400€ au titre des dommages et intérêts, toujours selon ce journal.

le poste
L'avocat de son ex précise que le 30 avril, "jour où elle a déposé plainte à la gendarmerie, ma cliente a reçu 10 SMS le matin même", avec toujours des injures salaces, sexistes, voire graveleuses. Tout ça parce qu'on ne lui a pas rendu trois tee-shirts et un slip. La relation, qui s'est brisée en raison de l'alcoolisation du prévenu, a duré dix mois." Il ajoute : "Ma cliente a brûlé les vêtements, après le soupçon d'incendie volontaire qui a détruit son véhicule."
Le procureur a requis 600€ d'amende parce que "la victime a subi un véritable harcèlement, aggravé par un caractère injurieux."
Le juge a décidé de le condamner à "un mois de prison avec sursis simple" et à une amende de 400€ au titre des dommages et intérêts, toujours selon ce journal.

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