Envoyé par Sidi Noun
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Âneries
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Tangente...
On recense environ 11.000.000 d'ânes en Chine, ce qui donne un taux de 0,8 âne par centaine d'habitants... en Algérie, ils sont à peu près 350.000, donc 1 âne pour cent Algériens... on se porte mieux que les Chinois.¬((P(A)≪1)⇒¬A)
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Makhlouka,
Ok, mais pour moi leurs horloges sont réglées au même moment, au bled c’était eux les premiers qui gâchaient mon sommeil, ils sont plus matinaux que le muezzin.
Merci Sidi Noun, par ce sujet, en ce jour même, où la bêtise de la bête, aurait pu engendrer des âneries, l'animal en nous se réjouitDernière modification par absent, 12 février 2011, 21h41.
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l'âne se pousse et ne se tire pas, bis...
Ibliss se fit tout petit, se métamorphosa en moucheron et se cacha sous la queue de l'Âne. L'Âne refusa de monter, ne voulant point être responsable du Mal dans le nouveau monde. Noé le roua de coups de bâton et de pied; puis il le prit par les oreilles et le tira pour l'embarquer... l'Âne n'en put plus de douleur et lança son premier cri, le braiment...¬((P(A)≪1)⇒¬A)
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on se frotte le nez si on a des problèmes de sinus...
L'âne et le boeuf (Les milles et une nuits)
On raconte qu’une personne possédait un âne qui vivait dans l’oisiveté et un bœuf épuisé par le labeur. Le bœuf se plaignit un jour à l’âne et lui dit :
-« Frère, n’as-tu pas un conseil qui m’aidera à esquiver cette fatigue ? »
-« Fais semblant d’être malade, lui dit l’âne, ne mange pas ton fourrage ; le lendemain, lorsque notre maître te verra dans cet état, il te laissera et ne te prendra pas au labour ; alors tu te reposeras. »
Leur maître, nous confie le conte, comprenant la langue des animaux, entendit leur conversation.
Le bœuf suivit le conseil de l’âne ; le lendemain leur maître vint et remarqua que le bœuf n’avait pas mangé son fourrage ; il le laissa, prit l’âne à sa place et laboura avec lui toute la journée. Celui-ci crut qu’il allait mourir d’épuisement... Il regretta alors son conseil au bœuf.
Lorsqu’il rentra le soir, le bœuf lui demanda :
-« Comment vas-tu, frère ? »
-« Bien, répondit-il, cependant j’ai entendu un propos te concernant, qui m’a alarmé. »
-« De quoi s’agit-il ? » demanda le bœuf.
-« J’ai entendu notre maître dire, lui répondit l’âne, que si le bœuf devait rester malade, il faudrait l’égorger pour qu’il ne perde pas de sa valeur. Je te conseille donc de reprendre tes habitudes et de manger ton fourrage pour éviter que ce grand malheur ne t’arrive. »
-« Tu as raison, lui répondit le bœuf. »
Et il se mit tout de suite à sa mangeoire.
Entendant cela, leur maître éclata de rire.
Moralité : Celui qui a peu d’esprit commet des actes qui peuvent se retourner contre lui.« N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte
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-« Fais semblant d’être malade, lui dit l’âne, ne mange pas ton fourrage ; le lendemain, lorsque notre maître te verra dans cet état, il te laissera et ne te prendra pas au labour ; alors tu te reposeras. »¬((P(A)≪1)⇒¬A)
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Mea culpa, mea maxima culpa
A ma décharge, je relis les mille et une nuits en ce moment (traduction de Galland) et j'ai encore l'histoire fraîche en tête.
Je n'ai pas réfléchi plus loin...
Par contre là, je ne suis pas d'accord :
on devrait le donner à manger à l'âne, mélangé à de la paille...« N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte
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pardon, je voulais dire le lion, pas le bœuf... j'ai juste égaré mes lunettes..
Là oui, j'aime mieux. Le lion c'est un horrible macho sexiste profiteur et paresseux. C'est Madame la lionne qui doit se taper tout le boulot. Donc oui lui, il peut choper Creutzfeld-Jacob...« N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte
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