Un porte-parole du Conseil du Trésor du Canada a indiqué mercredi soir que le pays a été la proie d'une cyberattaque en 2011.
Jay Denney affirme que cette «tentative non autorisée» d'obtenir frauduleusement des informations confidentielles n'aurait pas été couronnée de succès grâce aux mesures de sécurité mises en place.
Le réseau anglais CBC a affirmé pour sa part que l'attaque provenait d'un serveur installé en Chine et que les malfaiteurs avaient tenté d'infiltrer non seulement le Conseil du Trésor mais également le ministère des Finances du Canada. Les cybercriminels auraient pu vouloir brouiller les pistes quant à leur véritable origine en passant par le géant asiatique.
Décelée au mois de janvier dernier, l'attaque «a laissé les services canadiens d'espionnage dans le noir alors qu'ils tentaient de déterminer la quantité d'informations sensibles qui aurait été dérobée, et qui cherchait à les obtenir», selon la Presse canadienne.
Toujours selon la CBC, les individus responsables de cette brèche de sécurité auraient réussi à obtenir des mots de passe administrateurs et répandu un virus via des fichiers infectés expédiés par courriel.
Source: Presse canadienne
Jay Denney affirme que cette «tentative non autorisée» d'obtenir frauduleusement des informations confidentielles n'aurait pas été couronnée de succès grâce aux mesures de sécurité mises en place.
Le réseau anglais CBC a affirmé pour sa part que l'attaque provenait d'un serveur installé en Chine et que les malfaiteurs avaient tenté d'infiltrer non seulement le Conseil du Trésor mais également le ministère des Finances du Canada. Les cybercriminels auraient pu vouloir brouiller les pistes quant à leur véritable origine en passant par le géant asiatique.
Décelée au mois de janvier dernier, l'attaque «a laissé les services canadiens d'espionnage dans le noir alors qu'ils tentaient de déterminer la quantité d'informations sensibles qui aurait été dérobée, et qui cherchait à les obtenir», selon la Presse canadienne.
Toujours selon la CBC, les individus responsables de cette brèche de sécurité auraient réussi à obtenir des mots de passe administrateurs et répandu un virus via des fichiers infectés expédiés par courriel.
Source: Presse canadienne