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qui sommes nous des Amazighs Berbères, des Arabes, ds Européens ou ds Français ?".

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  • #31
    hé c'était une blague extrasystol, mais je sors, car des fois mes axons ont des surcharges, ça fait de fumée dans ma tête

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    • #32
      je suis musulman ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, algerien de la kabylie

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      • #33
        Les paroles restent ...
        " On croirait aujourd'hui, en Algérie et dans le monde, que les Algériens parlent l'arabe. Moi-même, je le croyais, jusqu'au jour où je me suis perdu en Kabylie . Pour retrouver mon chemin, je me suis adressé à un paysan sur la route.
        Je lui ai parlé en arabe. Il m'a répondu en Tamazight. Impossible de se comprendre. Ce dialogue de sourds m'a donné à réfléchir. Je me suis demandé si le paysan kabyle aurait dû parler arabe, ou si, au contraire, j'aurais dû parler Tamazight, la première langue du pays depuis les temps préhistoriques ...
        Pourquoi cette véhémence ! C'est que tamazight notre langue nationale depuis des millénaires, est à peine tolérée, pour ne pas dire proscrite dans l'Algérie indépendante ! ...
        On pourrait citer d'autres exemples comme l'interdiction aux parents de donner des prénoms berbères à leurs enfants. On parle d'une liste de prénoms prohibés, mais cette liste n'a jamais été rendue publique.
        Comment se fait -il qu'un membre de notre troupe à Alger n'ait pas pu appeler son fils Amazigh ! l'employé de l'Etat Civil lui a répondu que ce prénom ne pouvait être enregistré. Pourtant, nos manuels scolaires parlent de nos ancêtres Imazighen, le pluriel d'Amazigh.
        S'il fallait suivre cette logique, il faudrait aussi exclure Hannibal, Massinissa et Jugurtha ! On voit l'absurdité d'une censure bureaucratique qui opère dans l'ombre et fait d'autant plus mal qu'elle atteint le citoyen au plus profond de lui même, en occultant ses origines...

        Avant l'indépendance, quand un enseignant français interdisait l'emploi de Tamazight ou de l'arabe à l'école, il était dans son rôle car il oeuvrait pour l'Algérie française.
        Aujourd'hui, quand un enseignant algérien et parfois un coopérant arabe prétend nous interdire la langue de nos ancêtres, est-il encore dans son rôle ! C'est la négation de l'indépendance car l'indépendance signifie liberté d'expression, et l'expression commence par la langue maternelle c'est-à-dire Tamazight pour beaucoup d'Algériens qui ne parlent pas l'arabe ou ne le parlent que par obligation, comme nous étions obligés d'apprendre la langue française.

        Les fossoyeurs de l'unité nous parlent d'unité, le voleur crie au voleur.
        L'unité de la nation ne peut se faire que sur une base positive, une base historique. On ne peut falsifier impunément l'histoire .
        L'unité de la nation doit se faire par l'enseignement de Tamazight, non par son ignorance. Beaucoup d'Algériens sont encore aliénés. Ce n'est pas de leur faute. Mais le pouvoir a les moyens d 'enseigner cette langue et de lui offrir en priorité la télévision, puisqu'on l'ouvre bien plusieurs fois par semaine à la langue anglaise...

        Les envahisseurs étrangers n'ont cessé de la refouler .Il y a eu les siècles de domination romaine, arabo-islamique, turque, et enfin française. Tous ces envahisseurs ont voulu imposer leur langue au détriment de Tamazight.

        Aujourd'hui, par les armes, nous avons mis fin au mythe ravageur de l'Algérie française, mais pour tomber sous le pouvoir d'un mythe encore plus ravageur : celui de l'Algérie arabo-musulmane, par la grâce de dirigeants incultes.

        L'Algérie française a duré cent trente ans. L'arabo-islamique dure depuis treize siècles ! L'aliénation la plus profonde, ce n'est plus de se croire français, mais de se croire arabe. Or il n'y a pas de race arabe, ni de nation arabe. Il y a une langue sacrée, la langue du Coran dont les dirigeants se servent pour masquer au peuple sa propre identité ! C'est ainsi qu'ils se justifient en disant qu'il est important de s'adresser au " monde arabe " dans une langue protocolaire et archaïque même si le peuple n'y comprend rien ; ils avouent ainsi qu'ils préfèrent s'adresser à une élite hypothétique, au Caire ou à Bagdad, plutôt que d'avoir recours aux langues populaires, car il existe aussi brimé comme Tamazight, un arabe algérien que le peuple comprend. Mais ces messieurs n'en veulent pas, pour la bonne raison qu'ils veulent écarter les masses populaires du débat politique.
        Voilà pourquoi nos bulletins d'information à la TV et à la radio sont en arabe littéraire, et voilà comment un gouvernement s'isole de lui-même en croyant isoler un peuple qui lui échappe.
        Et comme l'ignorance engendre le mépris, beaucoup d'Algériens qui se croient arabes - comme certains s'étaient crus français - renient leurs origines ...


        Kateb Yacine
        ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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        • #34
          Ferrailleur

          Ferrailleur, tu me demandais si j'étais impressionné par Les Identités Meurtrière d'A Maalouf? Oui, mais mon maître, c'est Sylvain Cypel (rédacteur en chef du Monde). Il explique dans les qlq lignes suivantes comment en Israël on lui réclamait une identité tribale.

          "Dans cette logique, quiconque rompt avec ce mode de loyauté, remet en cause la « pureté » du collectif, est spontanément perçu comme un félon. De retour de reportage, en novembre 2000, au tout début de l'Intifada, je reçus un soir un étrange appel téléphonique de Jérusalem. L'homme commença par me demander si j'étais bien le fils de Jacques Cypel. Mon père fut un dirigeant sioniste français des années 1950-1980. Cette vérification faite, il m'informa qu'il l'avait bien connu puis m'accusa, avec véhémence, d'avoir écrit un article « scandaleux », d'où il ressortait que les colons installés dans les Territoires palestiniens « étaient fatigués », ce qui, assena-t-il, était « absolument faux ».
          L'article incriminé visait à montrer que le terme « colon », pour évoquer les Israéliens habitant les Territoires occupés, recouvrait des situations hétérogènes, qu'il y avait « colons et colons », avais-je écrit, certains très idéologiques et beaucoup d'autres installés dans les Territoires pour des motifs plus prosaïques, comme les facilités économiques qui leur avaient été offertes. Le terme « fatigués » n'apparaissait nulle part dans l'article, mais celui-ci donnait effectivement trois exemples de colons exaspérés. Un fermier de la vallée du Jourdain, dans une lettre à Ha'Aretz, reprochait à l'armée de ne pas les défendre, lui et ceux de son village, face aux déprédations commises par des Palestiniens dans leurs champs, ajoutant qu'il quitterait le pays si cette situation perdurait. Une femme avait expliqué, aux informations télévisées, qu'elle avait été installée par le gouvernement à Gilo, quartier juif de Jérusalem-Est sur lequel tiraient des snipers palestiniens, et qu'elle exigeait de lui, pour la sécurité de ses enfants, de la reloger immédiatement dans un lieu moins exposé. Le maire d'une bourgade des Territoires avait démissionné de Yécha, l'organisme représentatif des colonies israéliennes, lui reprochant son soutien au Grand Israël et à des implantations comme celle au cœur d'Hébron, alors qu'un accord de paix imposerait en tout état de cause l'abandon de nombreuses colonies.
          Ces trois personnes, qui manifestaient des attitudes d'habitants juifs des Territoires occupés rarement exposées par les médias, lesquels se focalisent généralement sur les colons ultranationalistes, s'étaient exprimées publiquement Chaque Israélien avait pu les voir ou les entendre. Qu'est-ce qui, donc, était « faux » dans cet article ? Un long silence suivit ma question. Puis l'homme me demanda, sans transition : « Où êtes-vous né, Monsieur ? »Je lui donnai aussi cette précision. « Ah, me dit-il, c'est là que j'ai bien connu votre père » Un nouveau long silence s'ensuivant, et n'ayant pas l'intention de poursuivre une conversation sur le terrain familial, j'y mis fin. Quel avait été le sens de cet appel, apparemment incohérent ? Le message implicite m'apparut, à la réflexion, limpide. Peu importait que les faits répertoriés
          soient avérés, ni qu'ils aient été rendus publics en Israël. On ne devait pas en faire état dans un journal français — un journal « étranger » —, lorsqu'on était soi-même juif, qui plus est le fils d'un dirigeant sioniste connu, car ils étaient susceptibles de porter préjudice à Israël. « Entre nous », certaines choses peuvent se dire. Mais devant l'« étranger », il était « scandaleux » d'exposer publiquement la moindre fissure dans le collectif, la moindre faille dans la solidarité.
          L'ethnicisme est une projection, sur le terrain sociopolitique, de 1’artect primaire : on ne trahit pas ses enfants, ses parents, ceux qu'on aime ; on les protège naturellement en toutes circonstances. Transposée du terrain individuel au terrain collectif - ethnique, clanique ou partisan -, cette solidarité primaire, l'impossibilité et l'interdiction de rompre le lien affectif, donne des effets terrifiants. « Ma mère ne peut pas être un assassin », s'écriait l'avocat communiste André Blumel au procès Kravtchenko, dans un appel direct à l'affect pour délégitimer toute dénonciation des crimes du stalinisme." "Les Emurés" Ed. La Découverte. 2005

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          • #35
            respect Kateb, respect pour toi
            j'ajoute qu'au lieu d'écouter les avis pertinants de nos grands penseurs comme kateb, et bien le gouvernement satisfait aux tentations electoralistes, la base même du populisme, il suffit que trois tondus disent qu'ils sont arabes pour que 7 millions de citoyens soient privé de leur memoire et de leur culture. qu'elle difference y'a t'il entre un colons qui tire sur un algerien pour qu'il ne parle plus sa langue et le fonctionnaire des temps present qui envoit la police tirer sur les manifestants qui reclament l'enseignement de leur langue ! il n' y a aucune difference.

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            • #36
              moi ça me fait peur pour l'avenir..j'ai peur d'un conflit civil....
              Toujours ouverts, toujours veillants les yeux de mon âme.

              Dionysios Solomos

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              • #37
                la réponse n'est pas de considérer l'algerie Kabyle car meme si elle l'etait un jour elle ne les plus mnt du (-) pas entierement, car notre identité a été modeler par l'hstoire pour faire des algeriens et non pas un model d'algeriens regardez la diversité de nos coutumes de nos dialectes de nos modes de vie mais malgres tout on peut se cotoyer si on le veux
                chui pas contre la langue et l'identité kabyle, j'ai meme commencé à l'apprendre, mais j'aime pas k'on me l'impose vs aller me dire k'on nous a imposer la culture arabo musulman peut etre mais maintenant ce qui est fait est fait on doit etre ce qu'on est
                pour le génocide qu'a évoqué boutef c'est une réalité historique nul ne peut prétendre le contraire
                interdiction d'aprendre l'arabe, le kabyle, le coran
                les lois concidérant l'algérie comme française
                ....................
                et mnt ils disent qu'on était des tribus sont identité et que c'est eux qui nous ont donné une :22:
                moi ça me suffit d'etre musulman algérienne j'ai un sang arabe et un amour pour les kabyles c'est déjà assez
                ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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                • #38
                  c'est mieux de trouver des solutions ensemble dans le respect plutôt que cela se fasse à la force du fusil. tout est entre les mains du gouvernement et de bouteflika, il disait de nous interroger sur notre identité mais notre identité on la connais, reste plus qu'à la recconnaitre et à nous laisser la liberté de vivre notre difference. on reclame pas la lune.
                  Dernière modification par absent, 26 avril 2006, 21h33.

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                  • #39
                    Amarimaa

                    "moi ça me fait peur pour l'avenir..j'ai peur d'un conflit civil...."
                    Moi je me dis que c pourquoi il faut renforcer la démocratie en Algérie.
                    Les questions culturelles sont mieux traitées dans un régime démocratique.

                    Qlq lignes d'Amin Maalouf:
                    "A toutes les époques, il s'est trouvé des gens pour considérer qu'il y avait une seule appartenance majeure, tellement supérieure aux autres en toutes circonstances qu'on pouvait légitimement l'appeler « identité ». Pour les uns, la nation, pour d'autres la religion, ou la classe. Mais il suffit de promener son regard sur les différents conflits qui se déroulent à travers le monde pour se rendre compte qu'aucune appartenance ne prévaut de manière absolue. Là où les gens se sentent menacés dans leur foi, c'est l'appartenance religieuse qui semble résumer leur identité entière.
                    Mais si c'est leur langue maternelle et leur groupe ethnique qui sont menacés, alors ils se battent farouchement contre leurs propres coreligionnaires. Les Turcs et les Kurdes sont également musulmans, mais diffèrent par la langue ; leur conflit en est-il moins sanglant ? Les Hutus comme les Tutsis sont catholiques et ils parlent la même langue, cela les a-t-il empêchés de se massacrer ? Tchèques et Slovaques sont également catholiques, cela a-t-il favorisé la vie commune ?
                    Tous ces exemples pour insister sur le fait que s'il existe, à tout moment, parmi les éléments qui constituent l'identité de chacun, une certaine hiérarchie, celle-ci n'est pas immuable, elle change avec le temps et modifie en profondeur les comportements.
                    Les appartenances qui comptent dans la vie de chacun ne sont d'ailleurs pas toujours celles,
                    réputées majeures, qui relèvent de la langue, de la peau, de la nationalité, de la classe ou de la religion."
                    Dernière modification par Zoubir8, 26 avril 2006, 21h54.

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                    • #40
                      Azul fellawen !

                      La conversation est trop interessante! Alors je poste ce petit message emprunte a un algerien Kateb Yacine :
                      "Le lion reste lion meme s'il a perdu ses griffes
                      Le chien reste chien meme eleve parmi les lions''.
                      Le Polygone etoile.

                      Le temps est comme la cascade. Tu ne l'empecheras pas de couler mais tu peux t'y tremper pour en jouir et pour y boire a ta sante. Proverbe aquaphile.

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                      • #41
                        le plus important c’est de voire la bouteille plus pleine que vide

                        Jamais oublier ses racines sans pour autant s’enfermer dans le passé ou dans sa tribu. Tel est le slogan pour bien porter sa berbèrité, son arabité, son algérianité, son orientalité, son expatrieté, son européenité ou américanité, sa mondialité, …

                        Toutes ces appartenances nous enrichissent sans qu'elles se nient les unes aux autres. L’Algérie d’aujourd’hui est la résultante de son histoire, caractérisée par d’innombrables invasions, colonisations, … qui l’ont influencé. Ce n’est pas réversible. On ne peut effacer l’histoire et recommencer à zéro.

                        Ceci dit le plus important c’est de voire la bouteille plus pleine que vide, de positiver cette diversité que d’en souffrire.

                        Merci lamia14 pour cet exposé très intéressant.

                        Bien sûr qu’on ne peut qu’être fière d’être Chawi, Kabile, … Cela n’empêche de vivre positivement la culture arabe, Française, Anglaise, … je reste en accord avec Tolkein pour la promotion de la culture et des traditions d’origines, quelles soient Kabiles, Chawies, Amazighe, …, mais aussi arabe, sahraoui, touareg , …

                        Tous cela c’est l’Algérie.

                        Je suis fière d’être Chawis et je le vie positivement
                        Je suis fière d’appartenir à la culture algérienne et je le vie positivement
                        Je suis fière d’appartenir à la culture orabo-orientale et je le vie positivement
                        Je suis fière d’appartenir à la culture mondiale et je le vie positivement
                        Je vie positivement toute cette richesse.
                        Dernière modification par Adhrhar, 27 avril 2006, 10h48.
                        Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                        L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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                        • #42
                          Je vous ai tous lu et je respect l'avis de chacun.
                          Mais pour nous qui sommes nés en France qui ne connaissont que trés peu l'Algérie?
                          On ne peut se prétendre berbere, arabe et peut etre même pas algérien!
                          Je suis née en France de parents algériens, je me sens pas française.
                          je suis musulmane.


                          On est encore plus dans la m.... que vous
                          Dernière modification par Absente, 27 avril 2006, 10h51.

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                          • #43
                            Oui et puis un mars par jour en forme toujours!
                            j'adore ce site et toute cette popularite, cette diversite, cette perspicacite, cette kabylite, cette mentalite et toutes les sources de verite! Buvez buvez...
                            Le temps est comme la cascade. Tu ne l'empecheras pas de couler mais tu peux t'y tremper pour en jouir et pour y boire a ta sante. Proverbe aquaphile.

                            Commentaire


                            • #44
                              Je suis né dans cette surface ou superficie que l’on nome Algérie, je suis donc Algérien ! Mais je ne me reconnais nullement dans sa constitution donc dans ces fondements ! Donc pour l’identité va falloir remonter plus haut, je suis amazigh et plus précisément Kabyle mes ancêtres habitaient cette terre depuis la nuit des temps et c'est d'eux que je descend
                              Et pour tout ceux qui veulent nous faire douter

                              - Bla ma tesaayouth imanenwe jemaath ikechdhanen-wen yew nekwni d’IMAZIGHEN

                              - tamurth-nagh d’ladzayer, tuthlayth-nagh Tamazight vavath-nagh d’MASSENSSEN

                              - Ulac a ghilif gar Imazighen a Chawi nagh a Qvaili yew Djardjar d l’Aures d’ATHMATHEN

                              -Assa d’u zekka ledzayer tamurtu u MAZIGH

                              - Wig evghan _ g-thmurth negh _ agh-derren d’IGHRIVEN yew adccudden mliiiih g-ISGHAREN


                              Traduction:
                              Ne vous fatiguez pas a nous convaincre ramassez vos effets nous sommes des imazighen
                              Notre pays c’est l’Algérie, Notre langue c’est Tamazight, notre pére est Massinissa
                              Il n’y a pas de problème entre les Imazighen, Kabyle ou Chaoui … n’est ce pas que le Djurdjura et l’Aurès sont des frères
                              Aujourd’hui est demain l’Algérie restera le pays des Amazigh
                              Ceux qui veulent nous rendre étranger dans notre pays n’ont qu’ bien se tenir aux branches

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                              • #45
                                comme le dit adhrar, tout ira mieux lorsqu'on arrétera de se renier les uns les autres ! le peuple amazigh existe depuis la nuit des temps, il n'est pas encore nait celui qui fera disparaitre sa culture et son identité. Maintenant reste à savoir si l'algérie fera avec l'ensemble de ses citoyens bérbére et arabe ou si elle préfére s'obstiner à essayer d'éteindre la flamme amazigh au risque de se bruler ! la culture amazigh n'est en opposition ni avec la culture arabe ni avec la religion, alors je ne vois pas pourquoi l'ensemble ne pourrait pas cohéxister.

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