Perdre son emploi n'est jamais très agréable, surtout quand le patron vous licencie sous un prétexte loufoque. Et à la foire aux excuses, tout est possible : trop sexy, pas assez sexy, trop bavard... Voici une liste non exhaustive des licenciements les plus insolites.
USA: un contrôleur aérien surpris en train de dormir
En charge de surveiller le trafic sur radar depuis l'aéroport de la ville de Knoxville, dans le Tennessee Heureusement, Un contrôleur s'est fait piquer pour avoir... dormi ! Les autorités de l'aviation civile américaine (FAA) ont indiqué avoir prouvé - pour la deuxième fois en deux semaines - qu'il s'était endormi, et ceci "délibérément", à son poste de travail. Heureusement, l'incident n'a pas eu de conséquences graves puisqu'un contrôleur se trouvant à un autre endroit a pris le relais de son collègue qui ne répondait pas. Quant au fautif ? Il est en cours de licenciement, a indiqué la FAA.
Virée pour avoir écrit un email en majuscule
En décembre 2007, une comptable de Pro Care en Nouvelle Zélande a eu le malheur d'envoyer un email à ses collaborateurs rédigé en lettres majuscules et en caractères gras pour attirer leur attention sur de nouvelles procédures. Mais sa direction a pris cette écriture pour une agression et a viré la rédactrice. L'ex-employée a attaqué ses anciens patrons pour licenciement abusif et a obtenu 11 500 euros d'indemnités.
Il apprend son licenciement par SMS
Lionel, serveur dans une pizzeria près de Besançon, a reçu en avril 2010 un SMS pour le moins original dans lequel sa direction l'informait qu'il était licencié sans plus de précision. Interloqué, il décide d'aller demander des explications à son patron mais la rencontre dégénère. Le patron aurait menacé Lionel et sa famille. L'affaire se poursuivra devant les tribunaux.
Renvoyé pour un euro d'erreur de caisse
Un chauffeur de bus de la compagnie Transport du Grand Dole a été renvoyé pour faute grave. Le motif ? Il aurait effectué une mauvaise manipulation sur un composteur ce qui aurait provoqué une erreur de caisse de... 1 euros ! La direction parle d'une décision "pesée". Le conducteur a quant à lui déposé une requête pour licenciement abusif devant le conseil des prud'hommes.
Elle ne répondait pas aux canons de beauté
Une femme travaille à son bureau
Chez Prada, la direction aurait des exigences assez curieuses. Rina Bovrisse en aurait fait les frais lorsqu'elle travaillait chez Prada Japon : on lui aurait demandé de changer de look et de perdre du poids pour mieux convenir à l'image de la marque. Son patron lui aurait en outre affirmé avoir "honte de sa laideur" avant de la mettre à la porte. La jeune femme dénonce cette pratique dont elle ne serait pas la première victime.
Mise à la porte parce qu'elle est trop sexy
Chez Citybank, en revanche, être trop jolie n'est guère apprécié. Debrahlee Lorenzana (photo), une New-yorkaise de 33 ans, a en effet été virée du groupe en raison de tenues jugées trop "provocantes" mettant en valeur ses formes avantageuses. La direction lui reprochait de déconcentrer ses collègues masculins, trop perturbés pour travailler correctement.
Une secrétaire perd son emploi à cause de son blog
Catherine Sanderson, une secrétaire anglaise vivant à Paris, avait pris l'habitude d'alimenter son blog durant ses heures de travail, commentant indirectement ce qui se passait dans son entreprise. Ses supérieurs n'ont pas apprécié d'être évoqués ainsi sur le net et ont immédiatement renvoyé la jeune femme. Celle-ci a porté plainte pour licenciement abusif et a gagné son procès. Elle est depuis devenue romancière pour les éditions britanniques Penguin.
20 kg de petite monnaie comme prime de licenciement
En Russie, deux employés victimes d'un licenciement économique ont fermement décidé de réclamer à leur ancien patron une indemnité de 36 000 roubles (soit 800 euros), allant jusqu'à saisir l'inspection du travail. Agacé par cet acharnement, l'ex-employeur a fini par leur accorder la somme qu'il a livré en petite monnaie de 5 kopecks (0,1 centime d'euro), soit 33 sacs de 20 kg en tout.
Renvoyée pour avoir chanté à son travail
Une ouvrière d'origine ghanéenne travaillait depuis 17 ans pour une société de métallurgie à Bergame, dans le Nord de l'Italie, avant de se faire renvoyer parce qu'elle "chantait au travail". Peut-être que ses supérieurs ne sont pas mélomanes ou qu'elle chante faux, ce qui ne la pas empêché d'obtenir un dédommagement de 6 mois de salaire.
Une patronne se licencie elle-même
Lola Gonzalez, la patronne d'une petite entreprise américaine, n'avait pas d'autre choix pour sauver sa société de la faillite que de licencier l'un de ses employés. Mais estimant que chacun d'entre eux avait sa place dans la compagnie, elle a finalement décidé de se débarrasser exemplairement d'elle-même ! Elle a ainsi confié l'entreprise aux bons soins des salariés et s'est reconvertie dans un poste de travailleur social.
Une TV réalité qui fait perdre son emploi
Les concepteurs de téléréalité ont parfois des idées surprenantes. La dernière en date : "Someone's gotta go". Cette émission produite par Endemol et diffusée sur Fox TV met en scène des salariés d'une petite entreprise en difficulté qui doivent choisir lequel d'entre eux devra quitter son job. Ce qui dispense le patron de faire le sale boulot.
msn news
on notera quand même que sur les cas cité en exemples les 3/4 concernes des femmes ......... moi je dis sa je dis rien .............
USA: un contrôleur aérien surpris en train de dormir
En charge de surveiller le trafic sur radar depuis l'aéroport de la ville de Knoxville, dans le Tennessee Heureusement, Un contrôleur s'est fait piquer pour avoir... dormi ! Les autorités de l'aviation civile américaine (FAA) ont indiqué avoir prouvé - pour la deuxième fois en deux semaines - qu'il s'était endormi, et ceci "délibérément", à son poste de travail. Heureusement, l'incident n'a pas eu de conséquences graves puisqu'un contrôleur se trouvant à un autre endroit a pris le relais de son collègue qui ne répondait pas. Quant au fautif ? Il est en cours de licenciement, a indiqué la FAA.
Virée pour avoir écrit un email en majuscule
En décembre 2007, une comptable de Pro Care en Nouvelle Zélande a eu le malheur d'envoyer un email à ses collaborateurs rédigé en lettres majuscules et en caractères gras pour attirer leur attention sur de nouvelles procédures. Mais sa direction a pris cette écriture pour une agression et a viré la rédactrice. L'ex-employée a attaqué ses anciens patrons pour licenciement abusif et a obtenu 11 500 euros d'indemnités.
Il apprend son licenciement par SMS
Lionel, serveur dans une pizzeria près de Besançon, a reçu en avril 2010 un SMS pour le moins original dans lequel sa direction l'informait qu'il était licencié sans plus de précision. Interloqué, il décide d'aller demander des explications à son patron mais la rencontre dégénère. Le patron aurait menacé Lionel et sa famille. L'affaire se poursuivra devant les tribunaux.
Renvoyé pour un euro d'erreur de caisse
Un chauffeur de bus de la compagnie Transport du Grand Dole a été renvoyé pour faute grave. Le motif ? Il aurait effectué une mauvaise manipulation sur un composteur ce qui aurait provoqué une erreur de caisse de... 1 euros ! La direction parle d'une décision "pesée". Le conducteur a quant à lui déposé une requête pour licenciement abusif devant le conseil des prud'hommes.
Elle ne répondait pas aux canons de beauté
Une femme travaille à son bureau
Chez Prada, la direction aurait des exigences assez curieuses. Rina Bovrisse en aurait fait les frais lorsqu'elle travaillait chez Prada Japon : on lui aurait demandé de changer de look et de perdre du poids pour mieux convenir à l'image de la marque. Son patron lui aurait en outre affirmé avoir "honte de sa laideur" avant de la mettre à la porte. La jeune femme dénonce cette pratique dont elle ne serait pas la première victime.
Mise à la porte parce qu'elle est trop sexy
Chez Citybank, en revanche, être trop jolie n'est guère apprécié. Debrahlee Lorenzana (photo), une New-yorkaise de 33 ans, a en effet été virée du groupe en raison de tenues jugées trop "provocantes" mettant en valeur ses formes avantageuses. La direction lui reprochait de déconcentrer ses collègues masculins, trop perturbés pour travailler correctement.
Une secrétaire perd son emploi à cause de son blog
Catherine Sanderson, une secrétaire anglaise vivant à Paris, avait pris l'habitude d'alimenter son blog durant ses heures de travail, commentant indirectement ce qui se passait dans son entreprise. Ses supérieurs n'ont pas apprécié d'être évoqués ainsi sur le net et ont immédiatement renvoyé la jeune femme. Celle-ci a porté plainte pour licenciement abusif et a gagné son procès. Elle est depuis devenue romancière pour les éditions britanniques Penguin.
20 kg de petite monnaie comme prime de licenciement
En Russie, deux employés victimes d'un licenciement économique ont fermement décidé de réclamer à leur ancien patron une indemnité de 36 000 roubles (soit 800 euros), allant jusqu'à saisir l'inspection du travail. Agacé par cet acharnement, l'ex-employeur a fini par leur accorder la somme qu'il a livré en petite monnaie de 5 kopecks (0,1 centime d'euro), soit 33 sacs de 20 kg en tout.
Renvoyée pour avoir chanté à son travail
Une ouvrière d'origine ghanéenne travaillait depuis 17 ans pour une société de métallurgie à Bergame, dans le Nord de l'Italie, avant de se faire renvoyer parce qu'elle "chantait au travail". Peut-être que ses supérieurs ne sont pas mélomanes ou qu'elle chante faux, ce qui ne la pas empêché d'obtenir un dédommagement de 6 mois de salaire.
Une patronne se licencie elle-même
Lola Gonzalez, la patronne d'une petite entreprise américaine, n'avait pas d'autre choix pour sauver sa société de la faillite que de licencier l'un de ses employés. Mais estimant que chacun d'entre eux avait sa place dans la compagnie, elle a finalement décidé de se débarrasser exemplairement d'elle-même ! Elle a ainsi confié l'entreprise aux bons soins des salariés et s'est reconvertie dans un poste de travailleur social.
Une TV réalité qui fait perdre son emploi
Les concepteurs de téléréalité ont parfois des idées surprenantes. La dernière en date : "Someone's gotta go". Cette émission produite par Endemol et diffusée sur Fox TV met en scène des salariés d'une petite entreprise en difficulté qui doivent choisir lequel d'entre eux devra quitter son job. Ce qui dispense le patron de faire le sale boulot.
msn news
on notera quand même que sur les cas cité en exemples les 3/4 concernes des femmes ......... moi je dis sa je dis rien .............

Commentaire