Vous ne saurez de moi, que ces quelques images
Un peu comme la poussière d'une étoile, un sillage
Car si je meurs demain, c'est que la vie m'appelle
Et vous n'oubliez pas, combien elle me fût belle
J'aurais pu voir fleurir et perler la rosée
Frémir encore sous les caresses d'un bel été
Et m'offrir peut-être à quelque autre soupirant
Pleurer enfin l'absence de ces émois troublants
Un peu comme la poussière d'une étoile, un sillage
Car si je meurs demain, c'est que la vie m'appelle
Et vous n'oubliez pas, combien elle me fût belle
J'aurais pu voir fleurir et perler la rosée
Frémir encore sous les caresses d'un bel été
Et m'offrir peut-être à quelque autre soupirant
Pleurer enfin l'absence de ces émois troublants
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