Le matin a pourtant bien commencé. Aucun souci, tout va bien, dans le meilleur des mondes.
Avant d’aller au boulot, je dois passer par le consulat d’Algérie, je change alors mon itinéraire habituel.
Au lieu de la 15 Sud puis St Hubert, je décide de prendre l’autoroute Ville-Marie et sortir sur la rue Sherbrooke. Quelle gaffe ! Enorme bouchon.
On avance à pas d’escargot ! Mon patience est mise à rude épreuve. Je commence déjà à rager, je bouillonne, si j’étais une cocotte, j’aurais explosé.
Et ça traine, nom d’une pipe ! Pourquoi donc je pris ce chemin d’enfer? Il est beaucoup plus long que celui que je prends d’habitude ! Pourquoi, nom d’un nom ?
De peine et de misère, une heure plus tard me voici au centre-ville, les nerfs en pelote et complètement à l’ouest… Il me faut encore faire trois bons kilomètres vers l’Est.
Mais l’enfer me colle aux baskets !
.Badaaaaang ! Ma tête va sur le volant ! C’est ma mort, mon heure est venue, j’en étais certain !
Mais non, finalement, je n’avais rien…
Je descend vite voir l’état de ma voiture. Une dame éplorée, plus énervée que moi, constatait le fâcheux état où elle a mis mon bumper.
La police , toutes sirènes hurlantes, arrive : Dégagez ! Allez libérez la voie! Beuglent les agents, visiblement débordés…
Nous dégageons donc, la dame et moi, plus loin pour faire rapidement le constat.
J’arrive enfin sur St-Urbain, qu’il soit damné pour l’éternité,
Je trouve une place pour stationner.
Mais c’est mon jour de chance !…A peine, le dos tourné, je vois de loin le constable me coller une contravention. Je reviens vite vers lui : Je pars, je pars!
Rien ! C’est comme si je parlais à un mur.
Je me rends enfin au consulat. Sur la porte, je lis l’affiche : Dimanche et Lundi, fermé.
Avant d’aller au boulot, je dois passer par le consulat d’Algérie, je change alors mon itinéraire habituel.
Au lieu de la 15 Sud puis St Hubert, je décide de prendre l’autoroute Ville-Marie et sortir sur la rue Sherbrooke. Quelle gaffe ! Enorme bouchon.
On avance à pas d’escargot ! Mon patience est mise à rude épreuve. Je commence déjà à rager, je bouillonne, si j’étais une cocotte, j’aurais explosé.
Et ça traine, nom d’une pipe ! Pourquoi donc je pris ce chemin d’enfer? Il est beaucoup plus long que celui que je prends d’habitude ! Pourquoi, nom d’un nom ?
De peine et de misère, une heure plus tard me voici au centre-ville, les nerfs en pelote et complètement à l’ouest… Il me faut encore faire trois bons kilomètres vers l’Est.
Mais l’enfer me colle aux baskets !
.Badaaaaang ! Ma tête va sur le volant ! C’est ma mort, mon heure est venue, j’en étais certain !
Mais non, finalement, je n’avais rien…
Je descend vite voir l’état de ma voiture. Une dame éplorée, plus énervée que moi, constatait le fâcheux état où elle a mis mon bumper.
La police , toutes sirènes hurlantes, arrive : Dégagez ! Allez libérez la voie! Beuglent les agents, visiblement débordés…
Nous dégageons donc, la dame et moi, plus loin pour faire rapidement le constat.
J’arrive enfin sur St-Urbain, qu’il soit damné pour l’éternité,
Je trouve une place pour stationner.
Mais c’est mon jour de chance !…A peine, le dos tourné, je vois de loin le constable me coller une contravention. Je reviens vite vers lui : Je pars, je pars!
Rien ! C’est comme si je parlais à un mur.
Je me rends enfin au consulat. Sur la porte, je lis l’affiche : Dimanche et Lundi, fermé.
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