Tweet
Si vous n’avez jamais assisté à une fantasia, c’est le moment : pendant trois jours, Mantes-la-Jolie est le théâtre d’un de ces spectacles équestres très prisés des touristes au Maroc.
L’événement, le premier de cette ampleur en France, est organisé sous le regard bienveillant de la ville et des autorités marocaines qui ont financé le déplacement, depuis Rabat et Casablanca, des cavaliers et de leurs montures.
LE PROGRAMME Un spectacle important au Maroc « Il s’agit de chevaux de race arabe barbe, connus pour leur fougue et leur endurance », explique Rachid Bendiaf, secrétaire de l’association Maroc fantasia culture et festivités.
Parmi les soixante cavaliers, treize sont issus de la région mantaise. Leur participation nécessite endurance et résistance. Il faut, durant le spectacle, porter un fusil de six kilos d’un bras, tenir la bride de l’autre et se maintenir droit pour la beauté du spectacle. Le tout en gardant une lucidité intacte afin de déclencher son arme en parfaite synchronisation avec les autres cavaliers. C’est à la réussite de ce geste ultime qu’on mesure la qualité d’une fantasia.
Selon El-Arbi Abbi, conseiller municipal délégué à Mantes-la-Jolie et coordinateur de l’événement, l’organisation de ce spectacle répond à un symbole fort : « Il s’agit de montrer d’autres facettes de notre culture, dans une ville qui compte une importante communauté marocaine. »
Un autre message est véhiculé pendant ces trois jours de fête : « Nous voulons montrer aux jeunes Mantais qui viendront nous voir qu’une moto ou un quad ne sont pas obligatoires pour connaître l’adrénaline. On peut avoir des sensations fortes en montant un cheval. »
Le Parisien
L’événement, le premier de cette ampleur en France, est organisé sous le regard bienveillant de la ville et des autorités marocaines qui ont financé le déplacement, depuis Rabat et Casablanca, des cavaliers et de leurs montures.
LE PROGRAMME Un spectacle important au Maroc « Il s’agit de chevaux de race arabe barbe, connus pour leur fougue et leur endurance », explique Rachid Bendiaf, secrétaire de l’association Maroc fantasia culture et festivités.
Parmi les soixante cavaliers, treize sont issus de la région mantaise. Leur participation nécessite endurance et résistance. Il faut, durant le spectacle, porter un fusil de six kilos d’un bras, tenir la bride de l’autre et se maintenir droit pour la beauté du spectacle. Le tout en gardant une lucidité intacte afin de déclencher son arme en parfaite synchronisation avec les autres cavaliers. C’est à la réussite de ce geste ultime qu’on mesure la qualité d’une fantasia.
Selon El-Arbi Abbi, conseiller municipal délégué à Mantes-la-Jolie et coordinateur de l’événement, l’organisation de ce spectacle répond à un symbole fort : « Il s’agit de montrer d’autres facettes de notre culture, dans une ville qui compte une importante communauté marocaine. »
Un autre message est véhiculé pendant ces trois jours de fête : « Nous voulons montrer aux jeunes Mantais qui viendront nous voir qu’une moto ou un quad ne sont pas obligatoires pour connaître l’adrénaline. On peut avoir des sensations fortes en montant un cheval. »
Le Parisien
).
), 
Commentaire