DSK admet avoir voulu embrasser Tristane Banon
Dominique Strauss-Kahn aurait admis devant les enquêteurs de la police avoir voulu embrasser Tristane Banon. Il pensait que la jeune femme était consentante, révèle le site de «L'Express».
Entendu lundi 12 septembre par la police judiciaire parisienne à la suite de la plainte de Tristane Banon pour tentative de viol, Dominique Strauss-Kahn (62 ans) a livré, selon les informations du site Lexpress.fr, un «récit inédit qui marque un tournant dans l'affaire».
D'après le mari d'Anne Sinclair, lors de l'entretien accordé à Tristane Banon en février 2003 à Paris, il aurait tenté de l'embrasser pensant qu'elle était consentante. Tristane Banon, de 30 ans sa cadette, l'aurait alors repoussé. DSK n'aurait pas insisté et la jeune femme serait partie, d'après lui, tout à fait normalement.
Des versions qui diffèrent
Cette version est très différente de celle donnée en juillet 2011 par la journaliste de 32 ans. Tristane Banon avait décrit à «L'Express» une scène beaucoup plus violente dans un appartement situé dans le VIe arrondissement de la capitale française. «Quand j'ai voulu m'en aller, il m'a attrapé la main puis le bras, je lui ai demandé de me lâcher, et c'est de là qu'est partie la bagarre. Il m'a tiré vers lui, on est tombés par terre et on s'est battus», avait-elle relaté.
Selon «L’Express», la jeune femme avait évoqué aussi «les détails sordides, de ses doigts dans ma bouche, de ses mains dans ma culotte après avoir fait sauter le jean et le soutien-gorge sous mon col roulé».
Plus surprenant, Lexpress.fr note que la version du socialiste français diverge aussi de celle avancée dans le livre de son «biographe officiel», Michel Taubmann. Dans «Le Roman vrai de Dominique Strauss-Kahn», le journaliste écrit: «Quand je prononce le nom de Tristane Banon, le ton se fait plus grave. DSK dément totalement le récit de la jeune écrivaine et déclare en substance: «C'est complètement faux! La scène qu'elle raconte est imaginaire. Vous me voyez, moi, jetant une jeune femme à terre, et lui faisant violence comme elle le raconte? (...) L'entretien s'est déroulé normalement (...) Quand j'ai appris qu'elle m'accusait d'agression, j'ai été stupéfait.»
(gco)
20 minutes.Ch
Dominique Strauss-Kahn aurait admis devant les enquêteurs de la police avoir voulu embrasser Tristane Banon. Il pensait que la jeune femme était consentante, révèle le site de «L'Express».
Entendu lundi 12 septembre par la police judiciaire parisienne à la suite de la plainte de Tristane Banon pour tentative de viol, Dominique Strauss-Kahn (62 ans) a livré, selon les informations du site Lexpress.fr, un «récit inédit qui marque un tournant dans l'affaire».
D'après le mari d'Anne Sinclair, lors de l'entretien accordé à Tristane Banon en février 2003 à Paris, il aurait tenté de l'embrasser pensant qu'elle était consentante. Tristane Banon, de 30 ans sa cadette, l'aurait alors repoussé. DSK n'aurait pas insisté et la jeune femme serait partie, d'après lui, tout à fait normalement.
Des versions qui diffèrent
Cette version est très différente de celle donnée en juillet 2011 par la journaliste de 32 ans. Tristane Banon avait décrit à «L'Express» une scène beaucoup plus violente dans un appartement situé dans le VIe arrondissement de la capitale française. «Quand j'ai voulu m'en aller, il m'a attrapé la main puis le bras, je lui ai demandé de me lâcher, et c'est de là qu'est partie la bagarre. Il m'a tiré vers lui, on est tombés par terre et on s'est battus», avait-elle relaté.
Selon «L’Express», la jeune femme avait évoqué aussi «les détails sordides, de ses doigts dans ma bouche, de ses mains dans ma culotte après avoir fait sauter le jean et le soutien-gorge sous mon col roulé».
Plus surprenant, Lexpress.fr note que la version du socialiste français diverge aussi de celle avancée dans le livre de son «biographe officiel», Michel Taubmann. Dans «Le Roman vrai de Dominique Strauss-Kahn», le journaliste écrit: «Quand je prononce le nom de Tristane Banon, le ton se fait plus grave. DSK dément totalement le récit de la jeune écrivaine et déclare en substance: «C'est complètement faux! La scène qu'elle raconte est imaginaire. Vous me voyez, moi, jetant une jeune femme à terre, et lui faisant violence comme elle le raconte? (...) L'entretien s'est déroulé normalement (...) Quand j'ai appris qu'elle m'accusait d'agression, j'ai été stupéfait.»
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