Un étudiant en informatique est écroué depuis quelques jours après le viol d'une jeune fille de 17 ans, dans un campus, à Labège-Innopole. Il avait paralysé la victime à l'aide d'un Taser.
C'est une fin de journée cauchemardesque qu'a vécue, dernièrement, une jeune étudiante de 17 ans.
Installée depuis peu dans un campus étudiant, à Labège, près de Toulouse, elle a été violemment agressée à l'aide d'un taser, une arme à impulsion électrique et violée. Au prix d'un incroyable courage, la victime a réussi à échapper à son agresseur qui a été arrêté peu de temps après par les gendarmes de la compagnie de Villefranche-de-Lauragais, au pied de la résidence.
Mis en examen et écroué pour viol aggravé, l'accusé, un étudiant d'une vingtaine d'années, inscrit dans une école d'ingénieurs en informatique, a très vite reconnu les faits.
Tout juste arrivée pour suivre ses études dans une résidence réputée tranquille, à Labège-Innopole, la jeune fille est abordée un samedi, en fin d'après-midi, par un résidant. Ce dernier l'attire habilement dans son appartement, en tentant de la mettre en confiance. L'étudiante est alors loin d'imaginer qu'il s'agit d'un piège. L'homme brandit un pistolet Taser qu'il pointe en direction de sa proie. Paralysée par l'impulsion électrique, la victime est tétanisée et s'effondre. Profitant de son état de faiblesse, son agresseur aurait abusé d'elle à plusieurs reprises. Pétrifiée, la jeune fille qui a vu sa dernière heure arriver, aurait feint l'évanouissement pour éviter d'être, à nouveau, électrocutée.
Traumatisée
Extrêmement choquée, la jeune étudiante parvient malgré tout à rassembler le peu de force qu'il lui reste pour s'extraire de l'appartement de son agresseur. À moitié dévêtue, elle rejoint la route avant d'être prise en charge par des passants qui donnent l'alerte.
Traumatisée, l'étudiante a fini la nuit dans un centre hospitalier. Depuis les faits, la victime a quitté la résidence et bénéficie aujourd'hui d'un suivi médical.
Dernièrement, l'information judiciaire ouverte et confiée à un juge devrait éclaircir les circonstances de cette affaire criminelle. Mais surtout, lever le voile sur la curieuse personnalité de l'accusé.
A-t-il agressé sexuellement d'autres jeunes filles ? Avait-il prémédité son coup ? Décrit comme un brillant étudiant, major de sa promotion, « ce garçon n'avait jamais fait parler de lui auparavant et rien ne laissait présager de tels agissements », assure un membre de cette résidence étudiante.
La victime, très entourée et soutenue par son avocate, Me Lise Daujam, tente à présent d'évacuer son profond traumatisme.
Sources : La Dépêche
C'est une fin de journée cauchemardesque qu'a vécue, dernièrement, une jeune étudiante de 17 ans.
Installée depuis peu dans un campus étudiant, à Labège, près de Toulouse, elle a été violemment agressée à l'aide d'un taser, une arme à impulsion électrique et violée. Au prix d'un incroyable courage, la victime a réussi à échapper à son agresseur qui a été arrêté peu de temps après par les gendarmes de la compagnie de Villefranche-de-Lauragais, au pied de la résidence.
Mis en examen et écroué pour viol aggravé, l'accusé, un étudiant d'une vingtaine d'années, inscrit dans une école d'ingénieurs en informatique, a très vite reconnu les faits.
Tout juste arrivée pour suivre ses études dans une résidence réputée tranquille, à Labège-Innopole, la jeune fille est abordée un samedi, en fin d'après-midi, par un résidant. Ce dernier l'attire habilement dans son appartement, en tentant de la mettre en confiance. L'étudiante est alors loin d'imaginer qu'il s'agit d'un piège. L'homme brandit un pistolet Taser qu'il pointe en direction de sa proie. Paralysée par l'impulsion électrique, la victime est tétanisée et s'effondre. Profitant de son état de faiblesse, son agresseur aurait abusé d'elle à plusieurs reprises. Pétrifiée, la jeune fille qui a vu sa dernière heure arriver, aurait feint l'évanouissement pour éviter d'être, à nouveau, électrocutée.
Traumatisée
Extrêmement choquée, la jeune étudiante parvient malgré tout à rassembler le peu de force qu'il lui reste pour s'extraire de l'appartement de son agresseur. À moitié dévêtue, elle rejoint la route avant d'être prise en charge par des passants qui donnent l'alerte.
Traumatisée, l'étudiante a fini la nuit dans un centre hospitalier. Depuis les faits, la victime a quitté la résidence et bénéficie aujourd'hui d'un suivi médical.
Dernièrement, l'information judiciaire ouverte et confiée à un juge devrait éclaircir les circonstances de cette affaire criminelle. Mais surtout, lever le voile sur la curieuse personnalité de l'accusé.
A-t-il agressé sexuellement d'autres jeunes filles ? Avait-il prémédité son coup ? Décrit comme un brillant étudiant, major de sa promotion, « ce garçon n'avait jamais fait parler de lui auparavant et rien ne laissait présager de tels agissements », assure un membre de cette résidence étudiante.
La victime, très entourée et soutenue par son avocate, Me Lise Daujam, tente à présent d'évacuer son profond traumatisme.
Sources : La Dépêche
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