Franchement, je trouve que Solas parle d'un vrai probleme, comment peut-on vivre dans une societe qui accepte qu'on profane et delabre des cimetieres et qui fait semblant de ne rien voir et de ne rien savoir?
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@Aanis
C'est que les gens qui font ce genre de choses en Algérie sont des délinquants, ils n'agissent pas de manière pensée, et leur vandalisme ne tends à passer aucun message ni à casser aucune symbolique.
Tu les trouves dans les cimetières musulmans comme les autres, à la différences que les autres sont plus déserts (c'est la kheloua qui les intéressent) que ceux des musulmans.
ce n'est pas un phénomène de société, c'est une des facettes locales de notre délinquance urbaine."L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]
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Je ne suis pas juriste, non plus, mais il me semble qu'une bonne interprétation des textes existants ferait l'affaire.Envoyé par MassnsenJe ne m'y connais pas en droit, mais ça m'étonnerait qu'il y ait dans le code pénal algérien un article qui condamne le non respect de la bible.
En effet, le Code pénal punit la profanation du "Livre Sacré", sans plus de précision:
La Bible étant considérée comme livre sacré par les chrétiens (je laisse de côté la polémique, côté musulman), on peut toujours faire valoir l'article 4 de l'ordonnance 06-03 (2006) fixant les conditions et règles d'exercice des cultes autres que musulmans, laquelle stipule:Art. 160. - (Modifié) - Est puni d'un emprisonnement de cinq (5) à dix (10) ans quiconque volontairement et publiquement détruit, mutile, dégrade ou profane le Livre Sacré.
Autrement dit, un Algérien chrétien pourrait toujours interpréter le "livre sacré" (de l'article 160 du Code pénal) comme étant la Bible. Je serais curieuse de savoir ce qu'en pensent nos amis juristes.Art. 4 - Il est interdit d'utiliser l'appartenance religieuse comme base de discrimination à l'égard de toute personne ou groupe de personnes.Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.
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La Bible étant considérée comme livre sacré par les chrétiens (je laisse de côté la polémique, côté musulman), on peut toujours faire valoir l'article 4 de l'ordonnance 06-03 (2006) fixant les conditions et règles d'exercice des cultes autres que musulmans, laquelle stipule:
Je suis mort de rire. Quand on te dit "Le" Livre sacré dans un pays où la constitution stipule clairement que "L'islam est religion d'état" Il ne faut pas chercher des poux dans la tête d'un chauve !Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.
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Je ne suis pas d'accord. A ce moment-là, on aurait pu dire directement Le Coran et faire l'économie de cette métaphore. Mais ce que je veux dire c'est que l'existence même de cette métaphore offre une possibilité d'interprétation juridique. Laissons les spécialistes donner leur avis sur la question.Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.
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