Je suis l'actualité en Égypte depuis des mois, et depuis des mois je m'étonne de la relative passivité dont font preuve les militaires là-bas face à une rue qui ne sais plus se tenir tranquille et qui grouille tout le temps pour n'importe quoi.
C'est malheureux ce qui arrive-là, c'est brutal comme agissements, mais il faut aussi dire que l'ambiance qui règne là-bas n'est pas du tout bonne et que les manifestants cherchent les noises depuis des semaines et des semaines, chacun voulant imposer sa loi au gouvernement par l’émeute.
C'est malheureux ce qui arrive-là, c'est brutal comme agissements, mais il faut aussi dire que l'ambiance qui règne là-bas n'est pas du tout bonne et que les manifestants cherchent les noises depuis des semaines et des semaines, chacun voulant imposer sa loi au gouvernement par l’émeute.
Il ne faut pas tenter le diable. La machine de répression une fois en branle n'est plus contrôlable, alors mieux vaut ne pas la provoquer.
On a beau condamné mais puisqu'elle devient incontrôlable, il ne sert à rien de la condamner.
Brutalité, morts et blessés font partie du scénario que personne ne peut écrire mais que par contre le déroulement des évènements impose.
On voit bien comment un crétin enragé use de toute sa force en frappant la femme à terre mais en regardant bien, on peut voir aussi comment l'autre soldat le pousse et essaie de la rhabiller. C'est pour dire que tout corps constitué d'une multitude d'éléments, chaque élément étant différent, ne peut être contrôlé au sens propre du mot une fois qu'il est relâché pour réprimer un quelconque mouvement.
Une question s'impose? Jusqu'où les autorités peuvent-elles tolérer de telles actions?
Soyons sincères et répondons.
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