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diabetiques apres l'age de 50 ans

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  • #16
    Urgent ca c'est sur.. deja que je me culpabilise quand elle tombe malade et je suis pas a cote d'elle..
    Que Dieu nous garde nos mamans..

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    • #17
      Oui , je comprends parfaitement penthé

      Amine !
      « Celui qui ne sait pas hurler , Jamais ne trouvera sa bande " CPE

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      • #18
        J'insiste, On ne demande de scanner que s'il y a cliniquement des signes d'appels. Bien sûr, avec un médecin qui est très attentif à son patient, et qui pourra déceler toutes les anomalies cliniques suite à un bon interrogatoire. Comme par exemple une stéatorrhée (selles trop graisseuses) qui témoignera d'une diminution de sécrétion de lipase.
        Ou des selles décolorées (selles blanchâtres) qui indiquerait une cholestase suite à une compression d'une tumeur du pancreas qui peut toujours être vérifier par des examens sanguins (phosphatase alcaline et gamma GT), etc...

        Un scanner ne peux donc être demander que si ces examens biologiques sont perturbés.

        Ce que tout le monde doit savoir, c'est que le scanner n'est pas un examen anodin, c'est même des taux d'irradiations ionisées énormes, qui utilisés de façon répétitifs peuvent être nocifs à la santé.

        Et voilà même, une étude récente:

        http://www.informationhospitaliere.c...r-cancers.html
        Pour savoir ce que c'est que s'enrichir en donnant, il faut aimer!

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        • #19
          @Premier jour

          Si ya suspicion de néoplasie , vaut mieux réaliser un scanner ou mieux encore (ce qui est recommandé actuellement ) c'est de pratiquer une Echo Endoscopie Haute
          Tu as entièrement raison, ça peut même être une excellente alternative
          Pour savoir ce que c'est que s'enrichir en donnant, il faut aimer!

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          • #20
            et avant 50 aNs ??

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            • #21
              Wisdom, c'est franchement pas pour le plaisir de te contre dire , MAAAAIIIISSS.....

              Certains points m'ont interpellé , N'oublies pas on parle de diagnostiquer le cancer du pancréas dans un stade utile ( précoce)

              J'insiste, On ne demande de scanner que s'il y a cliniquement des signes d'appels. Bien sûr, avec un médecin qui est très attentif à son patient, et qui pourra déceler toutes les anomalies cliniques suite à un bon interrogatoire.
              Pourtant , la symptomatologie est là (un diabète récent tardif )
              surtout si comme signalés plus haut ( un sujet non obèse et sans histoire familiale de diabète )

              Comme par exemple une stéatorrhée (selles trop graisseuses) qui témoignera d'une diminution de sécrétion de lipase.
              C'est des signes de pancréatite chronique ça (c'est pas ça qu'on veut dépister , mais bien le cancer )

              Ou des selles décolorées (selles blanchâtres) qui indiquerait une cholestase suite à une compression d'une tumeur du pancreas qui peut toujours être vérifier par des examens sanguins (phosphatase alcaline et gamma GT), etc...
              au stade de compression et de perturbation des bilans cités , la tumeur est bien installée et elle est souvent inextirpable
              tout ce que tu peux proposer a ton malade à ce stade là c'est du palliatif (chirurgie de dérivation ) et même pas une chimiothérapie qui est souvent contre indiquée si cholestase clinique et biologique

              Un scanner ne peux donc être demander que si ces examens biologiques sont perturbés.
              PAS DU TOUT d'accord avec toi

              Ce que tout le monde doit savoir, c'est que le scanner n'est pas un examen anodin, c'est même des taux d'irradiations ionisées énormes, qui utilisés de façon répétitifs peuvent être nocifs à la santé.
              D'accord Oui , mais a choisir entre ce risque (minime ) et passer a coté d'une néoplasie a pronostic assez réservé voire sombre , le CHOIX est vite fait
              « Celui qui ne sait pas hurler , Jamais ne trouvera sa bande " CPE

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              • #22
                Bonjour,
                Pourtant , la symptomatologie est là (un diabète récent tardif )
                surtout si comme signalés plus haut ( un sujet non obèse et sans histoire familiale de diabète )
                Ah! si le diabète et d'apparition récente, et après 50 ans, là d'accord, nous sommes en droit de penser que le diabète est peut être même secondaire à une néoplasme du pancréas. Et nous sommes en droit de pousser les investigations car nous sommes en face d'une symptomatologie d'appel.

                Car d'après le premier pose, ce n'est pas ce que j'avais compris

                bonsoir , si vs avez eu un diabete apres l'age de 50 ans
                J'avais compris que le patient est diabétique connu. J'ai voulu préciser que le scanner n'est pas un examen qu'on demande systématiquement dans le bilan de surveillance, même si notre patient dépasse les 50 ans

                C'est des signes de pancréatite chronique ça (c'est pas ça qu'on veut dépister , mais bien le cancer )
                Et pourtant on peut observer cette stéatorrhée dans le cancer de la tête du pancréas, car l'insuffisance sécrétoire peut s'observer aussi dans le cancer

                au stade de compression et de perturbation des bilans cités , la tumeur est bien installée et elle est souvent inextirpable
                tout ce que tu peux proposer a ton malade à ce stade là c'est du palliatif (chirurgie de dérivation ) et même pas une chimiothérapie qui est souvent contre indiquée si cholestase clinique et biologique
                Ces des protocoles pré-établis, quelque soit le stade de la découverte, il faut d'abord un bon examen clinique, puis les examens biologiques pour que vient après l'imagerie, et on commence toujours par les moins invasifs

                Tout compte fait, je n'étais pas d'accord pour le fait de demander un scanner, juste parce que le patient est diabétique connu, et qu'il a plus de 50 ans

                maintenant si le diabète est apparu après 50 ans, ou qu'il y a n'importe quel autres signes d'appel, je pense que le scanner est fait pour ça
                Pour savoir ce que c'est que s'enrichir en donnant, il faut aimer!

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                • #23
                  elbahar

                  El bahar wellah ton msg me fait vraiment plaisir ; meme ana twahechet tes discussions ; maranich nefewel rani nefeten , je fais de la prevention
                  ce qui ne me tue pas me rend plus fort.

                  Commentaire


                  • #24
                    premier jour

                    premier jour , tres explicite
                    ce qui ne me tue pas me rend plus fort.

                    Commentaire


                    • #25
                      wisdom

                      savez vous qu'on Algerie ya que deux qui font l'echoendoscopie , en attendant le depistage le patient decedera de dissemination , le scanner n'est pas anodin oui , mais on le fait pas tout les jours il ya une dose de radiation maximale a ne pas depasser , donc un scanner n'est pas nocif.
                      ce qui ne me tue pas me rend plus fort.

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                      • #26
                        wisdom

                        les signes cliniques sont un signe d'evolutivité , qui veut dire stade localement avancé . pour ne pas stresser la population je vous invite a revoir le pronostic du cancer du pancreas
                        ce qui ne me tue pas me rend plus fort.

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                        • #27
                          pour infos

                          Cancer du pancréas
                          Quelles sont les différentes tumeurs du pancréas ?
                          Quels sont les principaux symptômes du cancer du pancréas (adénocarcinome) ?
                          Quels sont les examens biologiques peu utiles au diagnostic du cancer du pancréas ?
                          Quels sont les examens d'imagerie utiles au diagnostic du cancer du pancréas ?
                          Quel bilan fait-on avant le traitement du cancer du pancréas (adénocarcinome) ?
                          Quelle est la stratégie en fonction du bilan du cancer du pancréas (adénocarcinome) ?
                          Quels sont les objectifs du bilan avant une opération du cancer du pancréas (adénocarcinome) ?
                          Quel est le traitement de l'ictère et du prurit dans le cancer du pancréas inextirpable ?
                          Quels sont les autres mesures palliatives utiles dans le cancer du pancréas ?
                          Quel est le pronostic du cancer du pancréas ?
                          7.4.1. Quelles sont les différentes tumeurs du pancréas ?
                          Les tumeurs du pancréas sont classées en tumeurs exocrines, tumeurs endocrines et tumeurs développées aux dépens du tissu conjonctif (exceptionnelles). Elles peuvent être bénignes ou, le plus souvent malignes. L'adénocarcinome canalaire est la tumeur la plus fréquente (80 % de l'ensemble). On distingue d'autre part, selon l'aspect macroscopique, les tumeurs solides et les tumeurs kystiques.

                          Principales tumeurs pancréatiques

                          Tumeurs malignes Tumeurs bénignes
                          Adénocarcinome ductulaire*
                          Tumeur neuro-endocrine** Tumeur neuro-endocrine**
                          Cystadénome séreux
                          Cystadénocarcinome mucineux Cystadénome mucineux
                          Tumeur à cellules acinaires
                          Tumeur pseudopapillaire et kystique
                          Tumeur intracanalaire papillaire et mucineuse Tumeur intracanalaire papillaire et mucineuse
                          Pancréatoblastome
                          Carcinome épidermoïde
                          Lymphome non hodgkinien
                          Métastases (rein, sein, mélanome, .)
                          * L'adenocarcinome représente à lui seul près de 90% des tumeurs pancréatiques non endocrines.
                          ** les insulinomes, les gastrinomes et les tumeurs non fonctionnelles sont de loin les plus fréquentes des tumeurs neuro-endocrines.
                          Le risque de malignité est exceptionnel pour les insulinomes, de 20 à 40 % pour les gastrinomes, fréquent pour les glucagonomes.
                          Les tumeurs notées en italiques sont rares voire exceptionnelles.

                          7.4.2. Quels sont les principaux symptômes du cancer du pancréas (adénocarcinome) ?
                          Le maximum de fréquence est entre 60 et 70 ans. Les circonstances de découverte de l'adénocarcinome du pancréas sont presque toujours liées à son extension anatomique :
                          - les adénocarcinomes de la tête du pancréas se révèlent par un ictère cholestatique, d'apparition progressive, sans fièvre, ni douleurs. Il arrive que l'ictère soit, au début ou plus souvent plus tard, associé à des douleurs intenses, épigastriques, à irradiation dorsale et une altération de l'état général majeure due à une anorexie, et souvent associée à un syndrome dépressif. L'ictère peut être précédé d'une cholestase anictérique associée à un prurit. On peut palper une hépatomégalie due à la cholestase et surtout une grosse vésicule tendue, signe de valeur lorsqu'il est présent ;
                          - les cancers de la partie gauche du pancréas (corps et queue) sont plus rares et se manifestent plus tardivement par des douleurs liées à l'envahissement postérieur du plexus solaire. Les douleurs peuvent être extrêmement intenses et nécessiter le recours à un traitement antalgique systématique par des dérivés morphiniques, les antalgiques courants étant rapidement inefficaces. L'altération de l'état général est souvent majeure. Il arrive que l'on palpe une masse épigastrique sensible ;
                          - l'apparition ou l'aggravation d'un diabète, initialement non insulino-dépendant, doit faire évoquer ce cancer chez un homme de plus de 40 ans sans antécédent familial de diabète et sans obésité.
                          Quelle que soit la localisation anatomique, certains cas peuvent se traduire par des douleurs uniquement dorsales d'allure rhumatologique.
                          Le cancer du pancréas peut également se révéler par des métastases, surtout hépatiques, parfois douloureuses, parfois dans un contexte d'altération massive de l'état général. La présence d'une tumeur pancréatique est alors généralement évidente sur les examens d'imagerie mais la confirmation histologique est nécessaire pour adapter les traitements radiochimiothérapiques. Cette biopsie peut se faire par échographie, scanographie ou échoendoscopie.
                          Dans plus de 90 % des cas, le diagnostic d'adénocarcinome est fait à un stade où plus aucun traitement chirurgical à visée curative n'est possible en raison de métastases ou d'un envahissement local d'un vaisseau majeur.

                          Principaux signes cliniques de l'adénocarcinome de la tête du pancréas et fréquence :

                          Signe clinique Fréquence (%)
                          Ictère 40-80
                          Prurit 25
                          Douleurs abdominales 60-80
                          Amaigrissement (souvent massif et rapide) 50-80
                          Thrombophlébite < 15
                          Vomissement < 15
                          Pancréatite aiguë < 15
                          ce qui ne me tue pas me rend plus fort.

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