L'espace de quelques heures, les centrales solaires allemandes ont produit autant d'énergie que 20 centrales nucléaires à pleine capacité ! 22 gigawatts/heure, c’est la moitié de la consommation électrique outre-Rhin. Une performance impensable dans n'importe quel autre pays.
Journée longue, soleil radieux et bureaux fermés : samedi, le cocktail était parfait. A la mi-journée, la moitié de l'énergie consommée dans le pays provenait donc de panneaux photovoltaïques. Mais déjà la veille, un jour ouvré, le solaire avait couvert 30 % des besoins du pays à la mi-journée. Il faut dire que l'Allemagne investi massivement dans cette énergie alternative.
Sur l'ensemble de l'année, le solaire ne couvre que 4 % des besoins de l'Allemagne
Faut-il y voir un signe que le pari de l'Allemagne de sortir complétement du nucléaire est en passe d'être réussi ? On en reparlera cet hiver. En réalité, sur l'ensemble de l'année, le solaire couvre 4 % des besoins énergétiques du pays, et si l'on y ajoute l'éolien ainsi que les autres énergies renouvelables, on arrive à 20 % de la production annuelle du pays.
Pour l'heure, vivre sans nucléaire, c'est bien quand il fait beau. Les longs soirs d'hiver à Stuttgart, ce sera un peu plus compliqué.
Anthony morel
Journée longue, soleil radieux et bureaux fermés : samedi, le cocktail était parfait. A la mi-journée, la moitié de l'énergie consommée dans le pays provenait donc de panneaux photovoltaïques. Mais déjà la veille, un jour ouvré, le solaire avait couvert 30 % des besoins du pays à la mi-journée. Il faut dire que l'Allemagne investi massivement dans cette énergie alternative.
Sur l'ensemble de l'année, le solaire ne couvre que 4 % des besoins de l'Allemagne
Faut-il y voir un signe que le pari de l'Allemagne de sortir complétement du nucléaire est en passe d'être réussi ? On en reparlera cet hiver. En réalité, sur l'ensemble de l'année, le solaire couvre 4 % des besoins énergétiques du pays, et si l'on y ajoute l'éolien ainsi que les autres énergies renouvelables, on arrive à 20 % de la production annuelle du pays.
Pour l'heure, vivre sans nucléaire, c'est bien quand il fait beau. Les longs soirs d'hiver à Stuttgart, ce sera un peu plus compliqué.
Anthony morel
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