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Noms bizarres de Lieux En Algerie

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  • #61
    La ville ou lieu-dit Zoudj Bghal fait référence à la rencontre de Allal el Fassi et de je ne me rappelle pas du deuxième nom d'algérien qui se rencontèrent une fois dans cette région.

    Voici ce que j'ai trouvé sur internet.

    Zouj Bghal


    "Zouj Bghal " est le nom de la frontière algéro-marocaine.Ce nom est légué
    par le colonialisme français.Seulement, ce nom, a une connotation négative qui porte*atteinte à la dignité des deux pays.Ce non veut dire en arabe,"deux muléts".

    Du côté des algériens ce nom a été changé.Maintenant il l'appelle,
    frontière"Akid Lotfi".Un nom d'un résistant algérien
    qui s'est sacrifié pour son pays.

    Les autorités marocaines continuent à garder ce nom humiliant.
    Il serait préférable qu'ils le changent par un nom d'un résitant
    marocain.



    • Mohamed El jerroudi
    Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

    J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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    • #62
      et de l'autre coté a la frontiere algero tunisienne il y a oum Teboul

      j'ai oublier le village de "Ammi moussa" du coté de chlef, il doit etre important ce moussa
      Oo >-- Divinement Maudit et Diaboliquement vivant --< oO
      **ALGERIA**
      ~ me ~

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      • #63
        dans les appellations de lieu ... par "Aïn" on ne sous entend pas "œil" mais "source"

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        • #64
          une fois j suis montée dans un bus ..le receveur a appeler pour l'arret ..l'arret s'appel........ "lpaca" (la plaque)
          Tu trouveras ton bonheur ici:
          http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=187966

          dans les appellations de lieu ... par "Aïn" on ne sous entend pas "œil" mais "source"
          Il y a du côté de Tébessa, Ain ZERGA. ça doit être la même Ain Zerqa que celle de Reda Doumaz.
          "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
          Socrate.

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          • #65
            Hammam El Maskhoutine = Bains des damnés

            La légende de Hammam El Maskhoutine
            [...]
            Il y avait autrefois dans cette région un jeune homme très beau et très fort qui s'appelait Sidi Arzak. Un nom qui sonne déjà comme un blasphème. Sidi Arzak signifie en effet, «Maître qui octroie des biens».

            Personne ne pouvait l'égaler dans la dextérité dont il faisait montre juché sur un cheval ou un dromadaire. Personne, non plus, ne pouvait lui tenir tête ne serait-ce que pendant quelques très courts instants, dans n'importe quel combat, que ce soit à mains nues ou avec un sabre. Ce jeune homme était si fier de lui et si imbu de sa personne que lorsqu'il voulut prendre femme, il n'en trouva aucune qui soit à son goût.

            Ou qui soit aussi belle que sa sœur Yamina. Et comme il n'y avait pas de femme aussi belle que sa sœur, il décida tout simplement d'épouser celle-ci. Cette décision a été très mal accueillie par les membres de la tribu qui y voyaient là une atteinte grave à la morale, à la religion et au bon sens. Ceux-ci firent appel à toute leur sagesse et à tous les arguments possibles et imaginables pour empêcher la concrétisation d'un dessein aussi condamnable.

            Mais Sidi Arzak s'avéra inflexible. Il répondit même qu'il ne serait ni le premier ni le dernier à avoir épousé sa sœur (*). En raison de sa puissance et de l'ascendant qu'il exerçait sur tous les autres, il trouva un cadi pour prononcer et «légaliser» ce mariage incestueux.

            Un mariage contre lequel une bonne partie de la tribu avait décidé de réagir en s'en allant vivre ailleurs pour ne pas avoir à partager le même châtiment que le Créateur pourrait faire subir à ceux qui s'apprêtaient à l'offenser par un acte des plus ignobles.

            Avant même le début des festivités nuptiales, cette partie de la tribu s'en alla s'installer dans un autre lieu. Quelques jours plus tard, quelques membres de cette tribu, par nostalgie ou par curiosité, se rendirent sur les lieux où ils vivaient naguère.

            Et qu'elle ne fut leur surprise lorsqu'ils ne trouvèrent aucune trace vivante des autres membres de leur tribu. A leur place se dressait un immense magma de roche ayant la forme de silhouettes humaines et animales que tout le monde n'eut aucune peine à identifier comme étant les membres du cortège nuptial, les deux époux et leurs montures.

            Tout le monde comprit alors que Le Tout Puissant avait puni ceux qui voulaient enfreindre Ses préceptes, en les transformant en statues de pierres. Et à tous ceux qui passaient par-là, ils racontaient l'histoire de Sidi Arzak qui voulait épouser sa sœur Yamina et du châtiment divin qui s'était abattu sur eux et sur ceux qui avaient cautionné leur crime par leur présence à leurs côtés.
            [...]

            Nasser Mouzaoui
            Le Temps d'Algérie 25/03/2009
            "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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            • #66
              Beaucoup traduisent " Aïn " par " oeil.

              C' est faux , cela désigne une source, et c'est donné en fonction d'un événement

              il y a Ain - Séfra : qui veut dire source jaune, parceque la source se trouve en plein milieu des dunes , elle prend la couleur du sable .
              Cela correspond toujours à un événement à un état de choses .
              Ain Fakroun, peut être que dans cette source on a trouvé une tortue morte noyée .....etc.....
              " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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              • #67
                A Adrar, il y a un village qui s'appelle "B'ni oua skoutt", "Construis et tais-toi"...
                Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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                • #68
                  "Aïn" on ne sous entend pas "œil" mais "source"
                  eau source de vie donc habitations,villages.........vie......
                  on fait avec..........

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                  • #69
                    Salaam Ettargui

                    A Adrar, il y a un village qui s'appelle "B'ni oua skoutt", "Construis et tais-toi"...
                    Tu ne serais pas à Adrar?

                    Effectivement , et il est habité par des migrants des pays voisins .
                    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                    • #70
                      L'avatar de momo:

                      "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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                      • #71
                        ou bien Ain el el Kelba (oiel de chienne )
                        Ain, c'est fontaine...

                        Y a tellement de villes et de villages portant le nom de Ain qqechose.
                        Le mien, celui de ma kabila, c'est Ain el halloufa
                        ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                        • #72
                          Il y a aussi Bir Menten ( le puits nauséabond )...
                          Sois sage , O ma douleur , et tiens-toi plus tranquille.
                          (Charles Baudelaire).

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                          • #73
                            L'eau est trés importante dans l'appellation des villes
                            des puits: bir el ater , bir ghbalou, hassi behbeh, hassi r'mal
                            des sources: ain boucif, ain turk
                            des rivieres: oued souf, oued r'hiou, bab el oued
                            des fontaines: tala guilef, tala rana
                            des hammam: hammam delaa, hemmam el bibane
                            des retenues: douar bou guelta, guelta zarga

                            et puis là ou il n y a pas d'eau c'est sahra.

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                            • #74
                              Bab ar : la porte du lion.
                              Le lion etait très present dans ce village des Aures.
                              On sait aussi que les romains importaient des lions des Aurès pour les utiliser dans les jeux du Colisée à Rome et d'autres arènes.
                              "When I saw the Hoggar Mountains, my jaw dropped. If you think of Bryce, or Canyonlands National Park, you're close, but the Hoggar Mountains are more spectacular." David Ball, Empire of sands

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                              • #75
                                Très intéressant le sujet,
                                Ain Fakroun c'est pas Oeil de la tortue mais plutôt la fontaine ou la source de la tortue, c'est plus joli, pareil pour Ain Kercha
                                Mais tout prèt d'Ain Fakroun, il y a Chouf Eddabba (regarde l’ânesse)
                                Les seins de la chienne, ça existe aussi, je n'ose même pas traduire vers l'arabe
                                Oued Nini, Henchir edwamess, Henchir Toumghenni, Gourn Hmar (La corne de l'âne) et tout ce beau monde se trouve à Oum El Bouaghi
                                Ainsi va le monde

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