On a du mal à deviner son âge, puisqu’elle ne possède aucun papier de l’Etat civil, ni parents, ni lignée. Mbarka a les traits d’une poupée qu’on ne voudrait toucher, le regard pénétrant qui raconte une intense.
«Je ne me souviens pas de mes parents. Depuis que je suis toute petite, je n’ai connu que mes maîtres.» Mbarka, jeune esclave noire, a été libérée par le militant des droits de l’homme et anti-esclavagistes mauritanien, Birame Ould Dah Ould Abeid. «J’étais la propriété exclusive de mon maître, poursuit-elle. Je dormais sur une natte, j’étais chargée des travaux domestiques, de la cuisine, des animaux et d’autres travaux. Un jour, mon propriétaire m’a violée. Je crois que je n’avais pas encore mes règles, je ne comprenais pas ce qu’il m’arrivait. Quelques semaines plus tard, c’est son fils, âgé de 20 ans, qui m’a persécutée et violée. Je ne sais pas pourquoi ils m’ont fait ça, alors que j’étais très obéissante»
«Quand ma maîtresse finissait de manger, elle crachait dans la marmite, ou dans ma gamelle avant que je ne mange moi-même, c’était mon quotidien et je l’acceptais.»
La jeune esclave noire, a été libérée par les militants des droits de l’homme et anti-esclavagistes mauritanien
L’esclavage en Mauritanie, pourtant aboli en 1981 et puni par la loi depuis 2007, est une réalité ancrée dans les traditions et les mœurs.
source el watan?
c'est pognant et révoltant
«Je ne me souviens pas de mes parents. Depuis que je suis toute petite, je n’ai connu que mes maîtres.» Mbarka, jeune esclave noire, a été libérée par le militant des droits de l’homme et anti-esclavagistes mauritanien, Birame Ould Dah Ould Abeid. «J’étais la propriété exclusive de mon maître, poursuit-elle. Je dormais sur une natte, j’étais chargée des travaux domestiques, de la cuisine, des animaux et d’autres travaux. Un jour, mon propriétaire m’a violée. Je crois que je n’avais pas encore mes règles, je ne comprenais pas ce qu’il m’arrivait. Quelques semaines plus tard, c’est son fils, âgé de 20 ans, qui m’a persécutée et violée. Je ne sais pas pourquoi ils m’ont fait ça, alors que j’étais très obéissante»
«Quand ma maîtresse finissait de manger, elle crachait dans la marmite, ou dans ma gamelle avant que je ne mange moi-même, c’était mon quotidien et je l’acceptais.»
La jeune esclave noire, a été libérée par les militants des droits de l’homme et anti-esclavagistes mauritanien
L’esclavage en Mauritanie, pourtant aboli en 1981 et puni par la loi depuis 2007, est une réalité ancrée dans les traditions et les mœurs.
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