Harcèlement sexuelle filmé par une victime OPGI Blida

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ça veeut dire quoi en Arabe ye chouffak?

[tenebre]

@space

au sens propre du terme : il te regarde

au sens figuré des deux tourtereaux, je l'ignore

[sabahe]

tbahdila , le geste vulgaire qu'il a fait

ces deux la sont sortis ensemble , puis la fille a voulu se venger , il ne la harcéle pas

ce Monsieur , je plains sa femme et ses enfants

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merci tenebre

parcequ'elle lui dit y''chouffak" quand il lui montre son machin , comme si elle a peur que quelqu'un le voit
je' me dis pourquoi elle film pour dénoncer cet homme , si d'un autre coté , elle veut pas qu'un collègue le surprend en flagrant délit d'harcèlement , ça fera un témoins ,ce qui peut jouer en sa faveur à elle pour dénoncer cet homme , si elle est vraiment victime !

[tenebre]

@space

tu me parle de la partie la plus ecoeurante de la vidéo !! :22:

il a quel age le type !! il se comporte comme un ado ecervelé !
je plains sa femme et ses enfants, sa leurs fera un grand choque si les enfants tombaient sur cette vidéo sur youtube !! un père se doit être un exemple à suivre, les gens âgé comme lui doivent être rempli de sagesses aulieu de la testostérone !!

[Néo]

Marrant je viens de taper " responsables de l'OPGI. " sur hadj Google
incroyable il ya qye des histoires de corruptions de magouilles ect
la page google en est pleine
Dans la meme OPGI deja il ya eu ça ...


PROCÈS DE L’AFFAIRE DE L’OPGI DE BLIDA
2 à 4 ans de prison requis contre 11 prévenus

Ce n’est qu’à deux heures du matin que le procès de l’affaire de l’OPGI de Blida s’est terminé hier au tribunal correctionnel de la même ville.
Des peines allant de 2 à 4 ans de prison ferme ont été requises à l’encontre de 11 prévenus dont 7 sont en détention provisoire. Parmi ces derniers figurent deux ex-directeurs généraux de l’OPGI de Blida, l’ex-secrétaire général de la wilaya de Blida, le secrétaire du bureau de wilaya de l’UGTA ainsi que deux femmes dont l’une est en prison depuis juillet dernier. Ils sont poursuivis, pour la plupart, pour abus de fonction, trafic d’influence, faux sur documents administratifs, faux et usage de faux et fausses déclarations. L’affaire remonte aux années 2004-2005, lorsque des logements destinés à être distribués aux habitants de la cité Bécourt et de deux immeubles situés au centre-ville, ont été détournés. Lors du procès, des décisions d’attribution de logements émanant de la wilaya de Blida sans cachet et sans signature ont été exhibées aux prévenus, comme preuves irréfutables quant au trafic qui s’exerçait à cette époque. Des décisions similaires émanant de l’OPGI de Blida mais signées cette fois-ci ont fait l’objet de dénégation de la part de l’un des inculpés qui a nié tout implication quant à la signature et à la délivrance de ces décisions, avançant qu’il s’agit de fausses signatures. Dans le même contexte, une exresponsable de la gestion des locaux commerciaux à l’OPGI de Blida a été emprisonnée et poursuivie pour avoir bénéficié de deux logements, l’un pour elle et l’autre pour sa fille. Le représentant du ministère public a requis contre elle trois ans de prison ferme. Il en est de même pour le secrétaire du bureau de wilaya de l’UGTA qui a bénéficié d’un logement au nom de sa femme dont il a présenté un extrait de naissance sans mention mariée. L’affaire a été mise en délibéré pour le 25 février prochain.

M.B Soir d'Algerie

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Tout à fait

Je plains vraiment sa femme et ses enfants , le genre à faire le caid chez lui , et casser les assiettes si le repas n'est pas prêt, et dehors il baisse son pantalon

[Galaad]

Je ne vois pas de harcèlement là dans, il y a harcèlement sexuel quand les avances sont non seulement non-sollicitées/désirées mais rejetées par la personne, or c'est pas le cas, elle est complaisante.

Les deux personnes n'ont aucun respect du lieu du travail, c'est lamentable.