Dans le paisible village de Mercurol, dans la Drôme, on nage dans le sordide ces derniers temps. Un homme suspecté d'avoir «violé» des juments au cours des derniers mois, et qui devait en répondre devant la justice à l'automne prochain, a récidivé cette semaine, révèle le Dauphiné Libéré.
Confondu par un système de vidéoprotection mis au point par les éleveurs suspicieux, il a été interpellé et placé en garde-à-vue ce mercredi.
Le 15 mai dernier, le quotidien local révélait déjà qu'un habitant du village voisin avait été interpellé par les gendarmes, et reconnu avoir violé deux juments dans un champ situé sur la commune de Mercurol. Ce sont les éleveurs eux-mêmes, après avoir découvert des éléments suspects, qui avaient installé une caméra à proximité et avaient ainsi pu apporter à la gendarmerie les séquences vidéos pour le moins obscènes. Reconnu et confondu par la gendarmerie, l’homme devait ainsi répondre dans quelques mois des faits de sévices de nature sexuelle sur animaux apprivoisés devant la justice à l’automne prochain, un délit passible de 2 ans d’emprisonnement et de 30000€ d’amendes.
Mais les éleveurs n'étaient pas au bout de leur peine. Lundi soir dernier, l'un d'eux, qui avait ré-enclenché la caméra infrarouge à cause d'un «mauvais pressentiment», s'est en effet rendu compte que le matériel utilisé par le violeur (tabouret, sangles...), resté sur place depuis la dernière fois, avait disparu. Soupçonnant le suspect d'être de nouveau passé par là, l'homme excédé a donc décidé de visionner les dernières séquences filmées par son dispositif, et découvert de nouvelles scènes scabreuses, avec cette-fois ci trois juments. Les clichés ont été de nouveau apportés à la gendarmerie, qui a procédé ce mercredi à son arrestation.
LeParisien
Confondu par un système de vidéoprotection mis au point par les éleveurs suspicieux, il a été interpellé et placé en garde-à-vue ce mercredi.
Le 15 mai dernier, le quotidien local révélait déjà qu'un habitant du village voisin avait été interpellé par les gendarmes, et reconnu avoir violé deux juments dans un champ situé sur la commune de Mercurol. Ce sont les éleveurs eux-mêmes, après avoir découvert des éléments suspects, qui avaient installé une caméra à proximité et avaient ainsi pu apporter à la gendarmerie les séquences vidéos pour le moins obscènes. Reconnu et confondu par la gendarmerie, l’homme devait ainsi répondre dans quelques mois des faits de sévices de nature sexuelle sur animaux apprivoisés devant la justice à l’automne prochain, un délit passible de 2 ans d’emprisonnement et de 30000€ d’amendes.
Mais les éleveurs n'étaient pas au bout de leur peine. Lundi soir dernier, l'un d'eux, qui avait ré-enclenché la caméra infrarouge à cause d'un «mauvais pressentiment», s'est en effet rendu compte que le matériel utilisé par le violeur (tabouret, sangles...), resté sur place depuis la dernière fois, avait disparu. Soupçonnant le suspect d'être de nouveau passé par là, l'homme excédé a donc décidé de visionner les dernières séquences filmées par son dispositif, et découvert de nouvelles scènes scabreuses, avec cette-fois ci trois juments. Les clichés ont été de nouveau apportés à la gendarmerie, qui a procédé ce mercredi à son arrestation.
LeParisien
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