Un homme a été condamné mercredi à dix ans de prison pour « agression sexuelle sur mineur » par un tribunal de Kénitra, dans le nord-ouest du Maroc, quelques semaines après une forte mobilisation dans le
royaume pour dénoncer la pédophilie et les violences faites aux enfants.
Âgé d’une trentaine d’années, l’accusé avait attiré un écolier de 10 ans dans un lieu fermé d’un quartier populaire, avant de le violer, selon l’agence MAP.
D’après la même source, l’enfant avait dû être hospitalisé.
L’homme, dont la nationalité n’a pas été précisée, a été jugé pour « viol et agression sexuelle sur mineur, avec blessures ».
Mardi, toujours à Kénitra, une autre personne avait déjà écopé de trois ans et demi de prison et 50.000 dirhams d’amende (4.500 euros) pour « viol sur mineurs, incitation à la débauche et publication d’images pornographiques sur internet », mais aussi pour « homosexualité », d’après la MAP.
L’article 489 du code pénal marocain punit tout acte sexuel entre deux personnes de même sexe de six mois à trois ans de prison ferme.
En mai, des milliers de Marocains ont participé à une marche blanche à Casablanca (ouest) pour dénoncer la pédophilie et les violences faites aux enfants, après l’agression d’une fillette ayant marqué l’opinion.
Durant ce même mois, un Français âgé de 60 ans a été condamné à 12 ans de prison ferme par un tribunal de Casablanca pour des actes de pédophilie.
Un an plus tôt, un ressortissant espagnol avait écopé de 30 ans de prison, à Kénitra, « pour pornographie et abus sexuels sur une dizaine d’enfants », soit la plus forte sentence jamais prononcée à ce jour au Maroc dans une affaire de
ce type, selon la MAP
royaume pour dénoncer la pédophilie et les violences faites aux enfants.
Âgé d’une trentaine d’années, l’accusé avait attiré un écolier de 10 ans dans un lieu fermé d’un quartier populaire, avant de le violer, selon l’agence MAP.
D’après la même source, l’enfant avait dû être hospitalisé.
L’homme, dont la nationalité n’a pas été précisée, a été jugé pour « viol et agression sexuelle sur mineur, avec blessures ».
Mardi, toujours à Kénitra, une autre personne avait déjà écopé de trois ans et demi de prison et 50.000 dirhams d’amende (4.500 euros) pour « viol sur mineurs, incitation à la débauche et publication d’images pornographiques sur internet », mais aussi pour « homosexualité », d’après la MAP.
L’article 489 du code pénal marocain punit tout acte sexuel entre deux personnes de même sexe de six mois à trois ans de prison ferme.
En mai, des milliers de Marocains ont participé à une marche blanche à Casablanca (ouest) pour dénoncer la pédophilie et les violences faites aux enfants, après l’agression d’une fillette ayant marqué l’opinion.
Durant ce même mois, un Français âgé de 60 ans a été condamné à 12 ans de prison ferme par un tribunal de Casablanca pour des actes de pédophilie.
Un an plus tôt, un ressortissant espagnol avait écopé de 30 ans de prison, à Kénitra, « pour pornographie et abus sexuels sur une dizaine d’enfants », soit la plus forte sentence jamais prononcée à ce jour au Maroc dans une affaire de
ce type, selon la MAP


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