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  • #16
    Ma BA de la journée je remontes le post de Mandela

    J'ai décidé de voter Sarkho et vous

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    • #17
      au train ou vont les choses politique et comme rien n'est encore décanté dans ma tête, je ne voterai ni à droite, ni à gauche, je voterai au milieu...

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      • #18
        Je pense un peu comme toi Tad, droite, gauche c'est presque du pareil au même. Je sais même plus qui choisir

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        • #19
          à gauche, y en a pas un pour relever l'autre....
          et comme je suis anti sarko...

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          • #20
            Sarkho il est petit mais malin Mais bon à choisir entre la gauche et la droite, je pencherai quand même pour la gauche.

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            • #21
              Ma sensibilité va aussi à gauche, et quitte à voter par défaut je le ferai....une chose est sure je ne veux pas voir sarko à la tête de ce pays...

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              • #22
                Tu m'étonnes... rien que d'y penser j'ai les boules!!! :22:

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                • #23
                  Il vous fait peur tant que ça. Je dois dire que parfois il a de bonne idées dommages qu'il en a de bcp moins bonnes

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                  • #24
                    émira, ce n'est pas qu'il me fasse peur, ses idées ne correspondent en rien à ma vision des choses...

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                    • #25
                      Au vu de ce que nous offrent l'UMP et le PS, je serais tentée de voter ni pour l'un ni pour l'autre. Mais devant la crainte que ça puisse profiter au FN, je crois que je vais devoir me résoudre à voter pour le moins pire : la gauche...
                      Dernière modification par meliz, 20 novembre 2006, 18h10.

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                      • #26
                        Oui j'imagine Tad vu sa taille Non c'est clair, je l'imagine bien en dictateur ce petit sarkho.

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                        • #27
                          Pour vous donner envie d'aller chercher vos cartes d'électeurs :

                          Le Parisien a publié lundi un sondage CSA riche d’enseignement. A la question posée sur la manière dont fonctionne la société française, un Français sur quatre (25%) souhaite que le prochain président de la République « instaure une rupture avec le fonctionnement actuel de la société française ». 62% estiment qu’il convient «[d’aménager] le fonctionnement actuel de la société française ». Les personnes sondées sont seulement 6% à vouloir « [conserver] le fonctionnement actuel de la société française ». Questionnés enfin sur les personnalités politiques qui incarnent le mieux cette rupture, les ultra médiatisés Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal arrivent logiquement en tête à ce stade de la campagne (respectivement 43% et 39%) talonnés de près par Jean-Marie Le Pen (37%), devant les candidats trotskystes et dix points devant Philippe de Villiers. Invité à réagir à cette enquête, l’économiste Nicolas Baverez, proche du président de l’UMP, estime que « si la rupture n’intervient pas, nous continuerons à encaisser les chocs et les problèmes de fragmentation de la nation, des clivages ethniques et raciaux exploseront de nouveau avec des épisodes de violences politiques et sociales ». C’est en effet une évidence. Reste que, comme l’observe Jean-Marie Le Pen dans les colonnes du Parisien, qui juge le résultat de ce sondage « assez positif », les électeurs ne peuvent espérer le changement nécessaire « des gens qui ont dirigé le pays depuis trente ans ». « Si ces derniers avaient eu une aptitude à conduire soit la réforme, soit la rupture, ils l’auraient fait. Je pense qu’ils sont incapables de réussir l’une ou l’autre. Alors certains Français estiment qu’il est encore possible de faire des réformes au quotidien et par voie parlementaire. Moi je crois que sans révolutionner la France, il est nécessaire de faire un certain nombre de ruptures sur des objectifs fondamentaux comme l’immigration. Il faut les faire avec l’assentiment du peuple français et par le biais du seul moyen légitime démocratique que nous ayons : le référendum ». Référendum d’initiative populaire que seul le candidat national souhaite mettre en place pour libérer notre pays où la démocratie a été confisquée.
                          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                          • #28
                            pire !!!!!!!!!


                            Celui qui avait théorisé la “fracture sociale” lors de la présidentielle de 1995 vient de livrer, dans l’hebdomadaire Le Point du 24 août, une prévision qui secoue la torpeur de cette rentrée politique.

                            Emmanuel Todd, sociologue et observateur avisé de la vie politique, affirme en effet : “Au stade actuel, je pronostique un second tour entre le Parti socialiste et le Front National.” Il envisage même le “triomphe du Front National” ! Il dit par ailleurs que “le combat titanesque à venir entre Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy n’existe que dans la tête des journalistes” et que “les deux grands partis n’intéressent plus personne”…

                            Dissidence politique

                            C’est le glissement des classes moyennes dans la dissidence politique qui explique ce mouvement de fond, elles ne croient plus à la pensée ultralibérale professée par les “élites” autoproclamées, elles refusent la soumission inconditionnelle à la mondialisation et à l’immigration, “les classes moyennes veulent une Europe capable de protéger, et qui ne soit pas le cheval de Troie de la globalisation”.
                            Des travaux récents comme L’Atlas des fractures sociales (éditions Autrement) ou Le Descenseur social (chez Plon) vont dans le même sens et confirment la pertinence de cette analyse. L’extension de l’insécurité, la dilution des valeurs morales, la régression du pouvoir d’achat, la précarisation de l’emploi font que les préoccupations des classes moyennes rejoignent de plus en plus celles des classes populaires – notre base électorale – et nous sommes donc les mieux placés pour y répondre !

                            Le bon sens du FN

                            Autre évolution intéressante, la défiance vis-à-vis de l’UMP et du PS s’accroît, leur obsession à vouloir s’adapter à une mondialisation qui devient folle exaspère. Résultat : “la population les trouve déraisonnables”, affirme Todd. Par opposition, nos idées-forces (le contrôle raisonné des frontières, par exemple) s’inscrivent de plus en plus dans l’esprit de nos concitoyens comme des principes de bon sens, raisonnables. Dans les esprits, l’extrémisme change de camp, et cela nous replace au centre de la vie politique.
                            Il n’y a donc pas d’hypothétique “grand soir” à attendre, mais il faut amplifier notre action politique et mettre à profit la campagne qui s’ouvre pour toucher les Français pour qu’en 2007 se produise la grande alternance.
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                            • #29
                              je suis d'accord avec l'article.
                              je prend le pari que le pen sera au 2nd tour.
                              les jeux ne sont pas encore ouvert.......mais si vous voulez entrez: MAIRIE---------->carte d'electeur------------------->AVANT DECEMBRE!!!!!!!!!

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