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La vidéo d'un cheval battu par des Saoudiens indigne le royaume
Dans un pays où le cheval est roi, ces images ont scandalisé : deux hommes, hilares, ont été filmés en train de frapper violemment à coup de bâton un cheval sur le front. Attaché à un poteau, le cheval tombe sur les antérieurs, totalement sonné. Gémissant, il semble incapable de se redresser.
Un geste sadique que de nombreux Saoudiens voudraient voir sanctionné par des peines de prison.
L’Émir Abdelaziz Ben Saad Ben Jouli est éleveur de chevaux dans la région d’al-Ahsa (est du pays). Il a lancé un avis de recherche sur Twitter pour retrouver les deux hommes. J’ai mis un numéro de téléphone sur Twitter, pour demander à ceux qui possèdent des informations sur ces individus de les communiquer afin qu’on puisse les arrêter. Quand j’ai vu cette vidéo, j’ai été abasourdi. Je ne comprends pas comment on peut traiter un cheval – ou tout autre animal - avec une telle cruauté.
J’ai déjà pris contact un avocat pour engager des poursuites judiciaires contre ces individus. Tout ce que je souhaite, c’est qu’ils soient condamnés à de la prison pour qu’ils prennent conscience de la gravité de leurs actes et surtout qu’ils servent d’exemple aux autres.
Cet acte est d’autant plus incompréhensible que le cheval, et notamment le pur-sang arabe, est un animal très respecté et choyé chez nous. Cet animal a notamment joué un rôle très important dans l’unification de l’Arabie Saoudite [C’est à dos de cheval que le roi Abdelaziz ben Abderrahmane al-Saoud et ses hommes sillonnaient le pays et livraient bataille pour l’unification au début du XXème siècle].
Plusieurs cas de maltraitances d’animaux ont récemment ému les internautes. Début février, un jeune homme qui avait été filmé alors qu'il lançait un chat contre un mur, s’est vu condamné en France à un an de prison ferme après une importante mobilisation des défenseurs des animaux. Quelques jours plus tard, un bébé girafe était jeté en pâture aux fauves sur décision des responsables d’un zoo danois au motif qu’il ne pourrait pas se reproduire. Cette décision a été vivement critiquée par des internautes du monde entier et une pétition en ligne exigeant la fermeture du zoo a reçu plus 131 000 signatures.
Par France 24
Un geste sadique que de nombreux Saoudiens voudraient voir sanctionné par des peines de prison.
L’Émir Abdelaziz Ben Saad Ben Jouli est éleveur de chevaux dans la région d’al-Ahsa (est du pays). Il a lancé un avis de recherche sur Twitter pour retrouver les deux hommes. J’ai mis un numéro de téléphone sur Twitter, pour demander à ceux qui possèdent des informations sur ces individus de les communiquer afin qu’on puisse les arrêter. Quand j’ai vu cette vidéo, j’ai été abasourdi. Je ne comprends pas comment on peut traiter un cheval – ou tout autre animal - avec une telle cruauté.
J’ai déjà pris contact un avocat pour engager des poursuites judiciaires contre ces individus. Tout ce que je souhaite, c’est qu’ils soient condamnés à de la prison pour qu’ils prennent conscience de la gravité de leurs actes et surtout qu’ils servent d’exemple aux autres.
Cet acte est d’autant plus incompréhensible que le cheval, et notamment le pur-sang arabe, est un animal très respecté et choyé chez nous. Cet animal a notamment joué un rôle très important dans l’unification de l’Arabie Saoudite [C’est à dos de cheval que le roi Abdelaziz ben Abderrahmane al-Saoud et ses hommes sillonnaient le pays et livraient bataille pour l’unification au début du XXème siècle].
Plusieurs cas de maltraitances d’animaux ont récemment ému les internautes. Début février, un jeune homme qui avait été filmé alors qu'il lançait un chat contre un mur, s’est vu condamné en France à un an de prison ferme après une importante mobilisation des défenseurs des animaux. Quelques jours plus tard, un bébé girafe était jeté en pâture aux fauves sur décision des responsables d’un zoo danois au motif qu’il ne pourrait pas se reproduire. Cette décision a été vivement critiquée par des internautes du monde entier et une pétition en ligne exigeant la fermeture du zoo a reçu plus 131 000 signatures.
Par France 24
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