Bouteflika
Messaoud Ghouat qui exerçait jadis dans une des filiales de Sonatrach se dit désormais consacrer son temps actuellement à la gestion de sa société algéro-espagnole baptisée «algespa» spécialisée dans les meubles de cuisine. Aujourd’hui, il décide de se porter candidat pour la présidentielle de 2014.
Comment vous est venue l’idée de vous porter candidat?
Dès mon jeune âge, j’ai rêvé de devenir président de la République, non pas pour occuper ce poste mais plutôt pour servir le peuple et le pays et de stimuler l’économie du pays. Un jour, j’ai été avec un groupe d’amis, un Marocain, un Tunisien, un Egyptien et un Libyen, tous prévoyaient que je deviendrais un jour président de la République.
Quel est votre programme?
C’est une nouvelle vision qui fait du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) la plus haute institution, dont le travail du président doit être soumis au contrôle et loin des intérêts personnels, comme c’est le cas actuellement. Le président doit avoir entre 35 ans et 55 ans et aura droit à deux mandats présidentiels de sept ans chacun.
Ceci dit, vous allez devenir un nouveau Kadhafi?
Non, je ne vais pas devenir un Kadhafi. Moi je corrigerai la gestion des structures de l’Etat dans un cadre démocratique après des années d’étude et d’analyse.
Pensez-vous que vous avez des chances de remporter les élections?
Actuellement, je n’ai pas de chance pour deux raisons, mais dans l’avenir j’aurai 90% de chances de me voir élire à la magistrature suprême.
Quels sont ces deux obstacles qui réduisent vos chances?
Je vous dis que je pourrai même rivaliser avec Bouteflika si je réussissais à faire changer la mentalité du peuple, car tout le monde le soutient dans le but de bénéficier de privilèges. Si la mentalité des Algériens changeait et si l’institution militaire prenait ses distances, j’aurais mon mot à dire et je pourrais le détrôner. Quant à Benflis, je lui conseille à se retirer de la course, tout comme «Bitour» (en faisant allusion à Benbitour).
Quelle est la chose que vous regrettez le plus?
C’est de ne pas avoir connu le président Liamine Zeroual avant 1999, sinon je lui aurai demandé de me remettre le pouvoir avant de le remettre à Bouteflika.
echoroukonline
Messaoud Ghouat qui exerçait jadis dans une des filiales de Sonatrach se dit désormais consacrer son temps actuellement à la gestion de sa société algéro-espagnole baptisée «algespa» spécialisée dans les meubles de cuisine. Aujourd’hui, il décide de se porter candidat pour la présidentielle de 2014.
Comment vous est venue l’idée de vous porter candidat?
Dès mon jeune âge, j’ai rêvé de devenir président de la République, non pas pour occuper ce poste mais plutôt pour servir le peuple et le pays et de stimuler l’économie du pays. Un jour, j’ai été avec un groupe d’amis, un Marocain, un Tunisien, un Egyptien et un Libyen, tous prévoyaient que je deviendrais un jour président de la République.
Quel est votre programme?
C’est une nouvelle vision qui fait du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) la plus haute institution, dont le travail du président doit être soumis au contrôle et loin des intérêts personnels, comme c’est le cas actuellement. Le président doit avoir entre 35 ans et 55 ans et aura droit à deux mandats présidentiels de sept ans chacun.
Ceci dit, vous allez devenir un nouveau Kadhafi?
Non, je ne vais pas devenir un Kadhafi. Moi je corrigerai la gestion des structures de l’Etat dans un cadre démocratique après des années d’étude et d’analyse.
Pensez-vous que vous avez des chances de remporter les élections?
Actuellement, je n’ai pas de chance pour deux raisons, mais dans l’avenir j’aurai 90% de chances de me voir élire à la magistrature suprême.
Quels sont ces deux obstacles qui réduisent vos chances?
Je vous dis que je pourrai même rivaliser avec Bouteflika si je réussissais à faire changer la mentalité du peuple, car tout le monde le soutient dans le but de bénéficier de privilèges. Si la mentalité des Algériens changeait et si l’institution militaire prenait ses distances, j’aurais mon mot à dire et je pourrais le détrôner. Quant à Benflis, je lui conseille à se retirer de la course, tout comme «Bitour» (en faisant allusion à Benbitour).
Quelle est la chose que vous regrettez le plus?
C’est de ne pas avoir connu le président Liamine Zeroual avant 1999, sinon je lui aurai demandé de me remettre le pouvoir avant de le remettre à Bouteflika.
echoroukonline
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