@ Nassim
J'ai dis et répété que je voulais une législation concernant l'avortement pour en finir avec la clandestinité mais tu fais mine de ne pas le voir, SEULEMENT comme t'ont dit les autres femmes ici, on n'avorte pas quand on veut! Que le législateur s'asseoit à la table de la société et discute les cas qu'il faut encadrer et ceux qu'il faut interdire, les limites etc...
Mais oui nous sommes musulmans et l'Islam donne un cadre tout à fait équitable et juste si on l'étudie, nous sommes aussi humains et autant tu sembles chevaleresque sur le droit de la femme (au point de critiquer les femmes "contre") mais très peu regardant sur la valeur de l'embryon (qui est bien une vie humaine), autant ta position ressemble à la situation inverse d'un homme qui ne s'occupe que de la vie du fœtus et s'en fiche du droit de la femme. Ce sont deux positions extrêmes qui ne se préoccupent pas de chercher un juste milieu qui représenterait la parfaite justice pour tout le monde.
La position qu'on accepte est de dire non on n'avorte pas quand on veut et pour n'importe quelle raison (protection du fœtus) mais dans certains cas le choix de la mère prime et dépasse toute éthique et toute norme (droit absolu de la mère à vivre dignement) et ce que la société Algérienne doit définir, c'est quels sont ces cas où la poursuite de la grossesse devient un fardeau pour une mère responsable au point où la vie de l'enfant ne compte plus suffisamment, là il faut questionner les femmes d'abord, et les experts en sciences religieuses et en sciences juridiques ensuite.
Le type de société libérale ou libertaire que tu proposes a été expérimentée chez les donneurs de leçon, et ça a donné des cas où des jeunes adolescentes irresponsables avortaient par peur du regard, par manque de moyens ou autre....et parfois certaines témoignaient d'un profond regret plus tard une fois qu'elles murissent. Nous ne pouvons pas accepter ça!
J'ai dis et répété que je voulais une législation concernant l'avortement pour en finir avec la clandestinité mais tu fais mine de ne pas le voir, SEULEMENT comme t'ont dit les autres femmes ici, on n'avorte pas quand on veut! Que le législateur s'asseoit à la table de la société et discute les cas qu'il faut encadrer et ceux qu'il faut interdire, les limites etc...
Mais oui nous sommes musulmans et l'Islam donne un cadre tout à fait équitable et juste si on l'étudie, nous sommes aussi humains et autant tu sembles chevaleresque sur le droit de la femme (au point de critiquer les femmes "contre") mais très peu regardant sur la valeur de l'embryon (qui est bien une vie humaine), autant ta position ressemble à la situation inverse d'un homme qui ne s'occupe que de la vie du fœtus et s'en fiche du droit de la femme. Ce sont deux positions extrêmes qui ne se préoccupent pas de chercher un juste milieu qui représenterait la parfaite justice pour tout le monde.
La position qu'on accepte est de dire non on n'avorte pas quand on veut et pour n'importe quelle raison (protection du fœtus) mais dans certains cas le choix de la mère prime et dépasse toute éthique et toute norme (droit absolu de la mère à vivre dignement) et ce que la société Algérienne doit définir, c'est quels sont ces cas où la poursuite de la grossesse devient un fardeau pour une mère responsable au point où la vie de l'enfant ne compte plus suffisamment, là il faut questionner les femmes d'abord, et les experts en sciences religieuses et en sciences juridiques ensuite.
Le type de société libérale ou libertaire que tu proposes a été expérimentée chez les donneurs de leçon, et ça a donné des cas où des jeunes adolescentes irresponsables avortaient par peur du regard, par manque de moyens ou autre....et parfois certaines témoignaient d'un profond regret plus tard une fois qu'elles murissent. Nous ne pouvons pas accepter ça!
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