1. Il ne pleure pas : c’est biologique
La testostérone réduit l’envie de pleurer lorsqu’on fait face à une situation difficile. Dans ce cas, les hommes réagiraient en se mettant en colère ou en gardant le silence : un mécanisme de défense qui permet de se protéger d’émotions plus douloureuses.
2. Il ne pleure pas : il préfère agir
On le sait, les hommes préfèrent l’action aux émotions. Pour certains d’entre eux, les pleurs sont carrément vues comme une perte de temps. « Pleurnicher », c’est un « aveu d’impuissance » selon les psychothérapeutes. On ne se met à pleurer quand il n’y a aucune autre solution. Selon un sondage du magazine Men’s Health, un cinquième des hommes se sentent faibles quand ils pleurent et 50% affirment éviter de pleurer « de chagrin » en public.
3. Il ne pleure pas : il pense à l’image du « mâle dominant »
La société a un impact important sur notre comportement. Pour les hommes depuis l’enfance, la culture promeut l’image du « surhomme ». Fort, puissant, héroïque, un tel surhomme ne serait jamais vu en sanglots ! Les hommes qui pleurent sont donc marginalisés, voire montrés du doigt. « Dans cet instant d’abandon de soi, l’homme se trouve ramené à sa juste dimension d’individu faillible » explique les psychothérapeutes.
La testostérone réduit l’envie de pleurer lorsqu’on fait face à une situation difficile. Dans ce cas, les hommes réagiraient en se mettant en colère ou en gardant le silence : un mécanisme de défense qui permet de se protéger d’émotions plus douloureuses.
2. Il ne pleure pas : il préfère agir
On le sait, les hommes préfèrent l’action aux émotions. Pour certains d’entre eux, les pleurs sont carrément vues comme une perte de temps. « Pleurnicher », c’est un « aveu d’impuissance » selon les psychothérapeutes. On ne se met à pleurer quand il n’y a aucune autre solution. Selon un sondage du magazine Men’s Health, un cinquième des hommes se sentent faibles quand ils pleurent et 50% affirment éviter de pleurer « de chagrin » en public.
3. Il ne pleure pas : il pense à l’image du « mâle dominant »
La société a un impact important sur notre comportement. Pour les hommes depuis l’enfance, la culture promeut l’image du « surhomme ». Fort, puissant, héroïque, un tel surhomme ne serait jamais vu en sanglots ! Les hommes qui pleurent sont donc marginalisés, voire montrés du doigt. « Dans cet instant d’abandon de soi, l’homme se trouve ramené à sa juste dimension d’individu faillible » explique les psychothérapeutes.
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