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  • #16
    Bonjour tout le monde,

    C'est fou comme a chaque fois que je tente un bilan, j'ai une angoisse. Alors, je sens la maladie au bilan de sante, la faillite au bilan de fin d'annee et la vieillesse et la mort au bilan de ma vie.

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    • #17
      MEDIT bonjour
      Content de te croser par là ...
      Comment va ?
      Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
      L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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      • #18
        Salut MEDIT,

        De nouveaux par monts et par vaux..........et pour le bilan comme á chque fois ca va passer....
        heureuse de te lire .

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        • #19
          Adhrar

          tu dois être en rodage mon ami...

          enfance heureuse
          etudes pas si males
          trouve l'homme de ma vie

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          • #20
            .............................................
            Dernière modification par chevalblanc, 15 février 2007, 21h35.

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            • #21
              est ce que les demenagements compte dans ce topic des bilans ou c est compltement hors sujet
              Chaque pétales de cette rose correspond à tout l'amour qui nous unit depuis le premier jour . Donc il ne pourra à jamais se fâner.

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              • #22
                ...............................
                Dernière modification par chevalblanc, 15 février 2007, 21h35.

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                • #23
                  Bonsoir à tous.

                  Les bilans de santé :

                  Tous les ans == bilan sanguin complet (ionogramme, glycémie,cholestérol,

                  tryglycérides, vitesse de sédimentation, formule sanguine.... etc ). hémocult.

                  Tous les deux ans == mammographie , ophtalmologiste.

                  Tous les 5 ans == bilan complet : audiogramme en + de tout ce qui a déjà

                  été cité.

                  Le bilan de ma vie je ne peux pas le faire, ma vie n'étant pas encore

                  terminée.

                  Les études : ça peut aller.

                  Le travail aussi, très varié et intéressant, bien que usant moralement et

                  physiquement.

                  Les enfants, j'en suis satisfaite, pas de problème particulier.

                  Que dire d'autre ?
                  Dernière modification par jossia, 07 novembre 2006, 20h15.

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                  • #24
                    Bonjour Adhrar. Je me demande souvent si, après bientôt combien de mois de forum, tu ne manques pas, parfois, de sujets. Et non, t'en as toujours une pile !

                    Moi ? Jamais.

                    J'en ai toujours un. Toujours le même, intarissable : le temps qui passe. Et toujours le goût aussi vif de l'épingler. En petites miettes de rien du tout. D'abord, je les saisis sur mon carnet noir que je traîne partout.

                    .

                    Des sujets salaces, mets-en Adhrhar, j'en ai en masse lol. Et tiens, j'ai le goût de commencer par... ... Bon là, tout de suite, je réponds a ton bilan. Sauf que je suis confu mon vieux. Voir le bilan sous l'angle à Hellas (bonjour Hellas) ou bedon Jossia que je salue. Y'a aussi celui de chevalBlanc. Et Damlagul lol, elle te suit comme ton ombre, chanceux Adhrhar va lol. Bon ben, je choisis le bilan de janvier 2006. Suivra février, mars..., octobre. Le bilan de l'année qui achève lol. Je commence donc par les notes de janvier. Voyons voir, Oslo ? Ah oui, Oslo. C'était pour voir ma soeur. Donc janvier, je suis en route pour Oslo. La première fois. Je ne sais absolument rien de la Norvège. C'est même effrayant ce que je peux ne rien savoir de la Norvège. Ma copine mange beaucoup de sardines, et sur la boîte c'est écrit «Norvège». C'est tout ce que je sais de la Norvège. Ma copine dit que dans les sardines, il y a du fer. Dans les clous aussi. Je pense même qu'il y a plus de fer dans les clous que dans les sardines, et des clous il y en a plein au garage. Mais tu sais comment sont les filles: pleines de caprices... Qu'est-ce qu'on disait avant que le film commence. Ah oui, le film. Le film vient de commencer dans l'avion, c'est avec Julia Roberts et mon voisin aimerait bien que j'éteigne mon plafonnier.

                    Je ne peux pas, monsieur. Je suis en train de noter des trucs sur la Norvège. Mais je peux vous raconter le film, si vous voulez.

                    Vous l'avez vu ?

                    Non. Mais avec Julia Roberts, c'est toujours la même histoire. Vous pouvez parier qu'au début il y aura un type qui voudra l'accoler. Mais plus le film avancera, plus il découvrira qu'elle a une belle personnalité. Et à la fin, il l'accolera effectivement, mais ce ne sera pas rustique du tout, il y aura du sentiment.

                    Non, il n'a pas esquissé le moindre sourire. Il m'a regardé comme on regarde une tête de vache, lui, la tête à claques. Ah bon, puisque c'est comme ça ducon, on va voir... Mais bien sûr que je suis gentil. Je ne sais pas où il est allé chercher que je ne l'étais pas. Ça me choque que l'on me prenne pour une tête de vache, tu ne peux pas savoir. Tiens, encore avant de monter à bord, à l'aéroport Dorval, dans la file des voyageurs qui attendaient pour s'enregistrer, même vol que moi, qui je vois pas ? Un petit boss de la Banque Royale. Fais longtemps, 4 jours mettons. Franchement ? Comme petit Trader, il est un peu nul. Ça ne l'a pas empêché de devenir grand patron de la salle de Trading où je travaille des fois. Je vous dis ça sans arrière-pensée. Un gars a le droit de s'améliorer... Je le salue gentiment et tout de suite, il me bat froid, me tend une main un peu molle, l'air ennuyé. Bonsoir Mohamed... Pourquoi cette réserve, pensez-vous ? Parce qu'il me prend pour une tête de vache ! Y pense que je suis en train de me demander comment un petit Trader un peu nul comme lui a pu devenir grand patron de la salle des Traders. Voyez comme le monde est croche. Comme si je n'étais pas assez intelligent pour deviner qu'il avait sûrement pris des cours du soir à un moment donné. En tous cas... De quoi je parlais dèja ? Ben oui, Dorval. Aéroport de Dorval, quelques heures plus tôt. J'essaie d'expliquer au jeune homme d'Air Machin que j'arrive à Paris à 8h, que ma correspondance pour Oslo est à 8 h 45 et que j'aimerais qu'il enregistre mon sac comme bagage de cabine. Si vous le mettez dans la soute à bagages, je suis sûr qu'il ne suivra pas et je vais perdre ma journée à l'aéroport d'Oslo à l'attendre...

                    Le jeune homme d'Air Machin est resté inflexible. Mon sac n'entrait pas dans le gabarit. Tous les bagages cabine doivent entrer dans le gabarit... Le gabarit est une espèce de boîte pour mesurer les bagages. Si le sac entre dans la boîte, tu peux le garder avec toi. Le mien n'entrait pas, il est parti pour la soute à bagages. Mon pressentiment était bon, il n'était pas à Oslo. Il arriverait avec l'avion suivant. Ma journée était foutue.

                    Ce n'est pas une histoire très passionnante, mais c'était juste pour vous informer qü'il existe aussi des gabarits à cons. Quand le con est trop gros, y'a rien à faire avec. Mais quand le con entre dans le gabarit, ça veut dire qu'il peut passer partout. Pas trop encombrant, facile à manipuler, on peut s'en servir pour n'importe quoi. Par exemple comme préposé à l'enregistrement aux bagages à Dorval.

                    Je m'éparpille là. Revenons à ducon, celui qui étais assis a côté de moi, dans l'avion. Un moment donné, il s'est emparé de l'accoudoir. Je posai mon coude près du sien, et le poussai légèrement. Il ne s'y attendait pas. Son coude dérapa. Il le reposa vivement sur l'accoudoir. Et me poussa à son tour. Je m'y attendais. Je résistai. Nous forcions tous les deux. Je cédai brusquement. Emporté par sa poussée, il bascula de mon côté : " Excusez-moi ", dit-il. " Ce n'est rien ", répondis-je. Nous reprîmes position. Nos deux coudes se sont défiés jusqu'à Paris, mais il ne semblait pas que nous luttions. Je lisais. Il faisait semblant de dormir. J'ai lu pendant le film pour l'emmerder avec la lumière. J'ai fini par m'endormir aussi. C'est à ce moment-là qu'il s'est levé pour aller pisser. J'ai profité de son absence pour appeler l'hôtesse :

                    - Pourrais-je avoir une hache s'il vous plaît ?

                    Je suis resté 3 jours. Ma soeur sortait de l'hopital. Même pas un petit tour dans la ville. Mais qu'est-ce qu'on se les gèle a Oslo.

                    Parlons de gel. Avant d'atterrir à Dorval, le pilote nous a averti que la température au sol était de moins 19. J'en avais rien à foutre, je savais que celle de ma copine serait de 37,5 comme d'habitude.

                    Je me demande si, je devrais enchainer février tout de suite ? Quelle heure qu'il est là ? Ayoye ! 7h du matin... C'était ma pause syndicale lol. J'ai travaillé toute la nuit. Et je compte finir vers 2h de l'après-midi. Du bon boulot très très payant... Bon je sors pour le petit déjeuner.

                    OK d'abord. La prochaine homélie sera donné en cet même forum dimanche prochain par le même officiant. Je ne vous embrasse pas, j'ai un peu la grippe et le nez qui coule.

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                    • #25
                      Bloum, bonjour

                      Pur moment de bonheur à la bloumesque …

                      Pourquoi tu ne passerais tu pas plus de temps sur FA ? C’est ta copine qui en est jalouse … Ok laisses beton … La copine est prioritaire…
                      Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                      L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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                      • #26
                        Maître Bloum

                        Ce n'est pas une histoire très passionnante, mais c'était juste pour vous informer qü'il existe aussi des gabarits à cons. Quand le con est trop gros, y'a rien à faire avec. Mais quand le con entre dans le gabarit, ça veut dire qu'il peut passer partout. Pas trop encombrant, facile à manipuler, on peut s'en servir pour n'importe quoi. Par exemple comme préposé à l'enregistrement aux bagages à Dorval.
                        TROP BON
                        TROP TROP

                        Salut Bloum

                        (dis, samedi 11 novembre, on commémore ou on fête????? )

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                        • #27
                          Je me suis abonné au vidéoclub La Boîte noire, rue Saint-Denis, aujourd'hui même. Je vois sur le tableau où ils annoncent les nouveautés que Romaine est arrivée. Demandez-moi pas who's that Romaine, je ne connais rien là-dedans, mais comme j'étais chez les intellos de l'image, je me suis dis ça doit être bien bon, s'ils prennent la peine de l'annoncer... Eh monsieur ! Petit film français à sketches convulsifs qui m'a fait pousser un cri de bête blessée dans le salon, maudite m-erde. Et j'ai regardé le hockey... Bon, là, je comprends pourquoi la culture américaine a écrasé toutes les autres : Tandis qu'on faisait à Hollywood des films pour distraire les gens, Ingmar Bergman à Stockholm et Marguerite Duras à Paris les emmerdaint depuis un siècle avec des pensums. Résultat : les spectateurs du monde entier réclament, des films de Hollywood. So, moi aussi d'abord... Romaine ! Tu parles d'une chiotte.

                          Comment ça va Adhrhar ? Et toi Danielle ? Ben moi, ça va pas du tout. Après les 30 minutes de Romaine et le match de football (Montréal) qu'on vient de perdre, pour me calmer le ponpon, je me suis dis : Tiens, allons voir nos amis du Forum. Ça fait un bail. Pis la, 1ère page, 2ème, 3éme... 7ème. Des topics d'amour, en veux-tu en voilà. Eh madame ! Quessé ça ? Cout'donc le monde, êtes-vous en manque à ce point-là ?... J'ai failli remettre Romaine en marche pour une autre séquence de torture. Mais, je me suis rappelé ce topic des bilans multi-genres. Et nous voilà. Fevrier 2006. Attendez que je fouille un peu...

                          Non, mais je reviens à ma question : Êtes-vous en manque à ce point-là ? Mais non, je ne pointe personne, vous êtes nombreux. Vous êtes de plus en plus nombreux à vous trouver formidables d'être aussi nombreux. Vous vous passez et repassez le micro pour nous définir l'amour... Et pourquoi cherchez-vous l'amour, exclusivement, chez le sexe opposé ? Y'a plein d'amour autour de vous, tout partout... OK, tendez-moi ce micro que je vous écoeure à mon tour. Tiens, mardi passé, ma belle soeur m'a servi une tarte au sirop d'érable. Je n'essaierai même pas de vous décrire la chose. Sachez seulement que ce n'est pas dans le bouche que ça se passe. C'est dans l'âme. Cette tarte au sirop d'érable parle à notre âme, un peu comme une clope parlait, jadis, à mes neurones. Je dois cependant vous mettre en garde : l'accoutumance est immédiate... Et mercredi, j'ai rappelé ma belle soeur pour qu'elle m'invite à diner, j'ai pris la tarte comme entrée, puis une autre portion en guise de légume ( pour accompagner l'agneau ) et je voulais la prendre aussi pour dessert, mais il n'y en avait plus et j'ai terminé la soirée par une épouvantable crise d'anxiété... Ç'est pas de l'amour ça ? Non !

                          OK. Vous trouvez que c'est con, une tarte, comme amour ? Ah oui ! Pour moi, ç'est essentiellement, une question d'amour... Bon, bon OK. Et si je vous parle de Mimi ? Cest pas une tarte Mimi, c'est mon amour de petite nièce de 11 mois. Mimi crapahute à quatre pattes dans le salon depuis le diner en gazouillant, mais plutôt gargouillis que gazouillis, comme une gouttière qui déborde pendant la pluie.

                          - Tais-toi Mimi, j'écoute les infos.

                          Elle me regarde et part à rire, d'un rire sans dents. Mimi rit tout le temps. Mimi est de bonne humeur, je ne vois pas pourquoi elle ne le serait pas, elle a le plus gentil des tontons. Elle a surtout une maman qui l'appelle mon amour, ma douceur, mon gâteau, mon bouton ??, qui la nourrit de brocoli et de la sêve de son sein, qui la prend dans ses bras quand elle est fatiguée d'être à quatre pattes, qui la promène dans les parcs en lui racontant des histoires de grand loup qui ne mangent pas les petites filles parce que ouff oufff ça goûte le pipi. Une maman qui la chatouille, qui la mouche, qui la torche, qui lui chante des chansons tontaine tonton, qui lui fait la conversation, qui lui mange une main et garde l'autre pour demain...

                          - Lâche-là donc cinq minutes !

                          - Je lui donne ce que je n'ai pas eu.

                          - Gnagnagna...

                          Et si on demande à Mimi : Sais-tu ce que c'est l'amour, Mimi ?

                          Tu parles, qu'elle le sait. L'amour c'est sa maman qui est en train de lui manger le cou, le nez, et l'autre main, celle qu'elle devait, la menteuse, garder pour demain.

                          - Lâche-là cinq minutes ! Et puis sortez du salon, allez, laissez-moi regarder le match de hockey.

                          Elles sont parties. La grande en chantant faux. La petite en emportant mes lunettes. Mes lunettes ! Mes lunettes, bon, j'ai la suce de Mimi dans mon café, et Mimi a mes lunettes.

                          OK. Vous que c'est pas assez, une Mimi, comme amour ? Ah oui ! Pour moi, ça reste essentiellement, une question d'amour... Bon, pas d'accord ? OK. Et si je te parle du dindon ?

                          Ben, ce matin, jeudi, en sortant de chez Mimi ( j'ai passé la nuit chez mon frère ), pour aller travailler, à l'intersection du boulevard Henri-Bourassa et du boulevard Perras, une drôle d'intersection en Y, une dame au milieu du carrefour bloquait la circulation à grands gestes pour permettre à un dindon sauvage de traverser, sauf que le dindon ne voulait pas traverser, ou le voulait peut-être, mais ne savait pas où se diriger et était figé au milieu. Les automobilistes ne s'impatientaient pas trop. Il faisait pas froid, j'avais baissé ma vitre, le chauffeur du pick-up devant moi aussi, il a passé sa tête et a lancé à l'adresse du dindon : Com'on Bush ! lol...En un éclair : la femme, l'amour et le dindon. Un carrefour. Un dindon. Une dame qui bloque le trafic un instant par amour du dindon. Arrive la police qui intime à la dame de remonter. Elle veut rien savoir la madame. Elle veut protéger le dindon qui semble boiter. La police attrape le dindon, le remet à la dame, fait signe aux autos de circuler. Et voilà, c'est reparti... Ce qui est advenu du dindon ? Aucune idée monsieur, je te parle pas du dindon, je te parle de l'amour de cette dame pour le dindon.

                          So, l'amour ? tu trouves que c'est une farce ? La farce est dans le dindon ? Hein... Pis d'abord, je lâche ce stupide micto. Combien de flash back te faut-il pour comprendre quessé l'amour. Et si je te raconte la vache ? Je te jure que si tu ne verras rien dedans, je te jure, que je lâche les histoires pour me mettre au tricot. Bon.

                          Donc la vache. C'est l'histoire de la vache qui mettait au monde... Oh, pis non, je prendrai pas de risque. Metttons que tu comprendras pas, hein, quessé je fais moi avec le tricot ? Non, je me vois mal, demander a Adhrhar c'est comment le point de riz, mon Dieu quel lapsus, excuse Adhrhar, je veux dire je me vois mal demander a Danielle : Cout'donc Danielle, c'est comment, déjà, le point de riz ? Deux mailles à l'endroit, une a l'envers, ou bedon, Une maille à droite, une maille à gauche ?

                          Ah oui, j'allais oublier la question Adhrhar, le bilan. Le bilan de février, donc. Y'a une note qui date de février sous forme de question : comment reconnaître un oeuf dur d'un oeuf cru ?... Ça répond aussi un peu, je pense, à la question de Danielle : Fêter ou commémorer ?... Quelle mémoire notre Danielle ! Je t'embrasse fort, madame... c'est déja très long comme post. Je pense que je vais laisser ça pour une prochaine commémoration. Allez, gros bisoux aux porteurs du micro, je vous aime lol pareil.

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