Je ne voue pas un amour à un territoire en particulier, fugace sur le temps imperceptible d’une seule existence, mais uniquement à ma fabuleuse civilisation islamique qui est née, s’est élevée au firmament, a mis genou à terre mais se relèvera lentement et à ne pas douter assurément. Mais par-dessus tout surement pas à ce domaine que l’on nomme Algérie qui n’est qu’une chimère à l’état cadavérique pour une petite poignée d’usurpateurs et de courtisans tribaux, sans substances, pour laquelle nombre de mes plus proches aïeux se sont battus jusqu’à faire don de leur propre vie pour un rêve désormais à jamais usurpé, souillé.
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