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10.000 médecins formés en Algérie poursuivent leur carrière en France

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  • 10.000 médecins formés en Algérie poursuivent leur carrière en France

    L'Algérie perd chaque année la «majorité» des pneumologues du secteur public qui préfèrent aller exercer à l'étranger, a déploré vendredi le président de la Société algérienne de pneumo-phtisiologie, le Pr Salim Nafti. «Sur une centaine environ de pneumologues que l'Algérie forme annuellement, il en reste moins quelque dizaines activant dans le secteur public, alors que l'Etat a mis des années pour les former. Cela dénote qu'il y a un profond problème que l'Etat doit absolument prendre en charge pour préserver ses cadres», a déclaré le Pr Nafti en marge du 11ème congrès de la Société franco-algérienne de pneumologie. Soulignant que 10.000 médecins, toutes spécialités confondues, poursuivent leur carrière en France, le Pr Nafti a indiqué qu'en 2011, sur les 73 pneumologues qui avaient été recensés par un jury ad hoc, 7 d'entre eux seulement sont restés en Algérie, la majorité ayant quitté le pays pour aller exercer dans des hôpitaux français, canadiens ou autres et dans des laboratoires privés». Le président de la Société algérienne de pneumo-phtisiologie a ainsi regretté que cet «exode» se soit poursuivi après celui «plus massif» enregistré durant la décennie noire. Au sujet du 11ème congrès de la Société franco-algérienne de pneumologie, il a considéré que cette rencontre, organisée par des spécialistes algériens exerçant en France, permet à ces spécialistes de renouer les liens avec leur pays d'origine et contribuer, ainsi, à aider les praticiens exerçant en Algérie d'acquérir les connaissances et le savoir faire nécessaires.
    Le quotidien d'Oran
    Bon sur le principe Chacun décide de son avenir mais là Pourquoi ????
    Sachant que l'Etat forme ses medecins que les Etudes sont gratuites et que chaque Etudiant en médecine L’État le nomme dans un service pour comme ainsi dire rembourser ses Etudes pendant 5 ans
    Enfin si c'est toujours le cas ...

    Aussi sachant qu’après il peut ouvrir un cabinet et au prix ou est la consultation sont avenir et assuré et ayant entendu que certains ce permettaient de travaillé en parallèle dans le privé
    je ne suis pas là pour tiré a boulet rouge sur les medecins profession que je respect et que j'honore ( ils m'ont sauvés la vie )

    Surtout que beaucoup finissent en France aux Urgences ou n’arrivent pas à décroché la capacité et n’accéderont jamais omis les spécialistes envoyés par l'Etat Algérien "Quand meme y a du bon fel Houkouma "

  • #2
    neo,

    ce que tu ne mesures pas ce sont les moyens mis à disposition pour exercer son métier.
    les structures medicales public en Algérie ne sont pas des plus reluisantes. si les hommes sont là le matériel et les traitements.....une catastrophe.
    Un bon medecin est celui qui est en continuelle formation, or en Algérie c est ce qui manque cruellement .
    on donne une excellente formation de base mais pour les spécialités il n y a pas le materiel necessaire.
    les moyens se trouvent en dehors de l Algérie, meme si c est en vois d amélioration.
    Always on the sunny side.....

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    • #3
      Frieda bonsoir

      Je suis d'accord avec toi mais alors que l'État les envoie pour finir leurs spécialités
      ils trouvent le moyens de ne plus revenir aussi le manque de moyen un vrai médecin travail avec son savoir
      Alors c'est pour cela que dans medecin du monde on ne rencontre pas d'Algeriens

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      • #4
        Neo,

        Un medecin doit mettre à jour son savoir en continue. pour exercer il doit connaitre les nouveaux traitements, les nouvelles machines ect.....

        on rencontre aussi des algeriens et des algeriennes chez medecins du monde et surtout chez medecins sans frontières. ceux qui le font sont très humbles .
        Always on the sunny side.....

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        • #5
          L’afflux de médecins étrangers, un casse-tête pour la Suisse
          En Suisse alémanique, près d’un millier de médecins allemands ont déposé, en 2012, une demande d’ouverture de cabinet, c’est-à-dire davantage que le nombre de médecins que le pays forme en une année, environ 850. Selon la FMH, qui fait état de chiffres «encore provisoires», l’année dernière a vu l’ouverture ou la reprise d’environ 800 nouveaux cabinets par des médecins, dont 50% disposaient de diplômes étrangers. Genève croule sous les demandes de médecins français, et Vaud, avec 50% de demandes déposées par des médecins étrangers, selon nos informations, n’échappe de loin pas au phénomène: en 2012, le canton a reçu 186 demandes d’autorisation de pratiquer, contre 115 en 2011...

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          • #6
            et les medecins suisses vont ou ?

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            • #7
              et les medecins suisses vont ou ?
              Ils vont au U.S.A

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              • #8
                Bonsoir

                Je rectifie une chose c'est deux malheureuses année dans s le public après le diplôme
                J'ai des amis et famille medecins.chirurgiens et je leurs tire mon chapeau ils sont dévoués a guérir le malade restent aux pays un est revenue de Marseille il a fait une dépression .....

                Frieda
                Quand au matériel et aux moyens tout dépend de l'administrateur de l'hôpital si il se prend les budget octroyés et trafique c'est aux médecins et perdonnel de l'hôpital a le dénoncer et ne pas subir pour médecins du monde c'était une boutade et je rajouterais que ceux qui ce dévouent au pays aussi sont et restent humble

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                • #9
                  Les jeunes les plus brillants murissent leur projet d'émigration avant même d'avoir le Bac, et orientent leurs études en fonction de ce projet.
                  Les médecins font partie du lot et si j'ai un conseil : ne pas faire de la France une destination, mais une étape.
                  Les pays du Golfe ont besoin de médecins, qu'ils paient rubis sur l'ongle... il y a des places à prendre pour peu qu'on se mette à l'anglais.

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