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Monument du cinéma algérien : Sid Ali Kouiret est décédé

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  • Monument du cinéma algérien : Sid Ali Kouiret est décédé

    Un monument du cinéma algérien tire sa révérence. Sid Ali Kouiret est décédé aujourd’hui à l’âge de 82 ans. Sid Ali Kouiret quittait récemment encore l’EHU 1er-Novembre d’Oran où il était hospitalisé depuis le 2 mars, après avoir subi avec succès une intervention chirurgicale. Il souffrait de sa jambe droite à cause d’un diabète, ce qui lui a provoqué des caillots de sang au niveau de la jambe qui empêchaient le sang de circuler normalement. Il devait alors subir un contrôle médical en avril, selon sa famille. Sid Ali Kouiret est né le 3 janvier 1933 à Alger. Il rencontre Mustapha Kateb qui dirigeait, dans les années 1950, une troupe de théâtre amateur. En 1951, il se retrouve à Berlin avec la troupe EI-Mesrah EI-Djazairi, puis à Paris, en 1952, entonnant l’hymne patriotique Min Djibalina dans les cafés algériens. En 1953, il se rend à Bucarest pour le deuxième festival de la jeunesse et des étudiants pour la paix. La même année, il devient professionnel et signe avec la troupe municipale d’Alger dirigée par Mahieddine Bachetarzi. En 1955, il débarque à Marseille et rejoint Paris où il rencontre Mohamed Boudia, Hadj Omar, Missoum, Nourreddine Bouhired., selon une chronologie établie par la Radio nationale. En 1958, il fait naturellement partie de la troupe artistique que met sur pied le FLN dans le but de sensibiliser l’opinion internationale. Après l’indépendance, il est au TNA et, à partir de 1963, il entame une brillante carrière cinématographique. Son premier rôle à l’écran, il le tient dans l’adaptation pour la télé par Mustapha Badie de la pièce « Les Enfants de la Casbah » de Abdelhalim Raïs (1963). Toutefois, ce n’est qu’avec « L’Opium et le Bâton » d’Ahmed Rachedi qu’il s’impose vraiment. Puis vient « Décembre » (1971) de Hamina, suivi de beaucoup d’autres films algériens et étrangers parmi lesquels on retient « Le retour de l’enfant prodigue » (1976) de Youssef Chahine et « Destins sanglants » (1980) de Kheiri Bichara. Il décroche un premier rôle dans le feuilleton « La famille Ramdam » diffusé sur la chaîne française M6 en 1992. En 2004, il joue dans « Les Suspects » de Kamal Dehane et en 2007 dans « Morituri » de Okacha Touita.
    Reporter

  • #2
    allah yerhamou ou sebar ahlou

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    • #3
      Allah yerhemou. Une grande perte pour le cinéma algérien

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      • #4
        Allah Yarhmou ou Saber malih. C'est un grand comédien qui s'en va.

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        • #5
          un acteur sympa..
          Qques figures du cinéma qu'on oubliera jamais.
          Kouiret, Rouiched, Aliouet... un peu Abderrahmane.
          ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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          • #6
            Allah yarahmou
            Ali mat waguef ..
            ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
            On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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            • #7
              Allah yarhmou, Paix à son âme.


              dans le film l'Opium et le Bâton

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              • #8
                oui un monument du cinéma algérien...allah yarrahmou.

                sa prestation dans le film l'opium et le bâton, a été un déclencheur, un film qui a touché le cœur de beaucoup de cinéphiles et non cinéphiles. j'ai vu ce film à sa sortie au cinéma Roxy, à belcourt. Salle comble, et surtout, comble de femmes en hayek, jeunes et moins jeunes...je me rappelle des you you dans la salle qui déchiraient les cœurs et faisaient pleurer hommes et femmes, jeunes et moins jeunes...il avait du cinéma algérien, il y avait de l’espoir pour l’Algérie...

                allah yarraham sid ali kouiret, et une pensée à un copain d'enfance Rachid Fares allah yarrahamou lui aussi

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                • #9
                  Incontestablement , Sid-Ali Kouiret a marqué de son empreinte l'histoire du cinéma algérien et principalement dans "l'opium et le baton" ...
                  Allah Yarahmou wi wesse3 3lih ...
                  "La suprême élégance se confond avec la suprême simplicité."

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                  • #10
                    Allah yerhmou w ywesse3 3lih.
                    Je m'en remets à Dieu!

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                    • #11
                      Il laisse un nom derrière lui. Paix à son âme.
                      Pas à la tique ..

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                      • #12
                        Allah yerahmou , c'est un grand acteur qui disparaît ; je me demande s'il y a une relève valable en Algérie
                        Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                        (Paul Eluard)

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                        • #13
                          Allah Yarahmou. Qui ne se souvient pas de la scène culte "Ali Mout Wakef" dans l'opium et le bâton !

                          "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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                          • #14
                            Allah yarahmou

                            Commentaire


                            • #15
                              Une pensée pour le regrété Rouiched allah yarahmou ..
                              "les fellagas se cachent dans les oliviers mon capitaine"
                              ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                              On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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