SALAM SHEMSDINE...
"ON MANGEAIT,ET QUAND ON A FINI ,ON ALLAIT FAIRE MANGER LE VOISIN,ENSUITE LE MENDIANT, ET LA NOURRITURE ETAIT BENIE ET DEMULTIPLIEE"
MERCI pour ces mots...qui suscitent en moi, une émotion bien nostalgique...
Oui c'était ca...et jamais dans cette Casbah de notre enfance, qui borde la place des martyrs et zoudj ayoun je n'ai vu un mendiant sans de quoi rompre son jeun...pendant le ramadhan.
C'était inacceptable pour la conscience d'alors, et principalement pour ce cœur endolori du grand Alger qui a payé un lourd tribut sous la colères des fusils...
Oui Shamsdine...il y avait le voisin et le mendiant et la baraka faisait le reste...il y avait la simplicité des braves gens pour entretenir la solidarité, et une certaine tradition d'hospitalité typiquement Algéroise,
- elle savait aller vers l'autre pour lui tendre la main ,
- elle avait l'art et la manière,
- elle avait le raffinement des mots et le sourire apaisant
- elle savait ce que voulait dire, être dans le besoin...
- elle savait aussi le geste qu'il faut vers une telle situation.
J'ai du mal à ne pas voir dans cette casbah la démesure même de "la grande maison" de Mohamed Dib, ou des dizaines de "la aïni", des dizaines de "Omar" et autres...ont vécu, chanté, pleuré...dansé...parfois même avec le ventre vide...
Mais ces gens là...ont toujours su qu'Allah fini toujours par pourvoir...ils ont toujours su que l'islam qui les animait est bon, pacifique, il ne refusait pas celui qui venait de loin, et ne poussait pas l'ivrogne dans le caniveau...
je crois que la casbah en ces temps là...avait su joindre sa fraternité à la foi musulmane pour inventer l'Islam-fraternel...
Mais...je crois aussi...que c'était une autre époque...qui serait aujourd'hui trop belle pour être vraie...
salam SCHAMSDINE... merci encore pour tes mots...
"ON MANGEAIT,ET QUAND ON A FINI ,ON ALLAIT FAIRE MANGER LE VOISIN,ENSUITE LE MENDIANT, ET LA NOURRITURE ETAIT BENIE ET DEMULTIPLIEE"
MERCI pour ces mots...qui suscitent en moi, une émotion bien nostalgique...
Oui c'était ca...et jamais dans cette Casbah de notre enfance, qui borde la place des martyrs et zoudj ayoun je n'ai vu un mendiant sans de quoi rompre son jeun...pendant le ramadhan.
C'était inacceptable pour la conscience d'alors, et principalement pour ce cœur endolori du grand Alger qui a payé un lourd tribut sous la colères des fusils...
Oui Shamsdine...il y avait le voisin et le mendiant et la baraka faisait le reste...il y avait la simplicité des braves gens pour entretenir la solidarité, et une certaine tradition d'hospitalité typiquement Algéroise,
- elle savait aller vers l'autre pour lui tendre la main ,
- elle avait l'art et la manière,
- elle avait le raffinement des mots et le sourire apaisant
- elle savait ce que voulait dire, être dans le besoin...
- elle savait aussi le geste qu'il faut vers une telle situation.
J'ai du mal à ne pas voir dans cette casbah la démesure même de "la grande maison" de Mohamed Dib, ou des dizaines de "la aïni", des dizaines de "Omar" et autres...ont vécu, chanté, pleuré...dansé...parfois même avec le ventre vide...
Mais ces gens là...ont toujours su qu'Allah fini toujours par pourvoir...ils ont toujours su que l'islam qui les animait est bon, pacifique, il ne refusait pas celui qui venait de loin, et ne poussait pas l'ivrogne dans le caniveau...
je crois que la casbah en ces temps là...avait su joindre sa fraternité à la foi musulmane pour inventer l'Islam-fraternel...
Mais...je crois aussi...que c'était une autre époque...qui serait aujourd'hui trop belle pour être vraie...
salam SCHAMSDINE... merci encore pour tes mots...
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