en ouvrant la porte du café, il remarqua des grains de sables sur le sol, ce soir il y a du monde, les éclats de rire et les coups sur les tables rythmaient la soirée, les échanges étaient vifs, conviviales et le thé coulait à flot.
de temps en temps, un livreur de journaux traversait le café, journal sous le bras en courant, son attention se porta sur un brouhaha et des cris anormalement bruyants, suivant le son il arriva à la fenêtre et en bas, une horde de gamins s'échangeaient des pierres, s'insultaient et se vantaient d'être les mieux habillés, les plus beaux et les plus riches, parmi eux certains marchaient pieds nus, d'autre étaient encagoulés mais tous portaient des drapeaux marocains, ou algériens, en bandana, ou sur leur t-shirte, quelques un ayant eu assez des cris escaladaient le mur pour sortir en déchirant les drapeaux qu'ils portaient ou simplement en les jéttant. sales mioches se dit-ils, la court sur laquelles donnait le café était sens dessus dessous, bondée et l'agitation semblait s'étendre au delà de l'enceinte de l'établissement.
en se retournant, il vit le livreur de journaux narguer quelques hommes assis tranquillement, l'un d'eux se tourna vers lui et vociféra quelques doux mots avant que le marchand de journaux ne se mette à le huer et s'en aller en courtant rejoindre la horde de sales moches entrain de s'échanger des cailloux. il vit alors une chaise libre et se dirigea vers elle quand il s'appérçu qu'il y a vait là aussi quelques grains de sable, en prenant place, une masse en plume aggripée à un lustre qu'il n'avait pas remarqué fendit sur lui, elle attérit sur le comptoire qui lui faisait face et se tourna vers lui, un hibou... voilà ce que c'était. rouuu, fit-il, je ne suis pas un hibou mais une chouette! appel moi la Chouette! compris? et ne me fais jamais, JAMAIS de clein d'oeil! compris? ceci étant précisé, bienvenu à toi étranger, tu es nouveau, ca se voit, je vais te faire un topo.
les grains de sable, c'est Frieda elle aime bien marcher pied nu sur la plage!, remet pas en cause la propreté des lieu ou t'auras affaire à nous! dehors ces les frères ennemis, marocains algériens et d'autres qu'on ne connait pas, la haut au 2ème, tu peux trouver de l'aide pour ce que tu veux, tu peux discuter de tes voyages ou n'importe quoi, l'intello là bas s'appel xenon, ne demande jamais son avis sans t'assurer de ne pas avoir d'envie d'aller au petit coin, le grincheux là bas qui pique des crises c'est un français, il aime bien trainer ici par ce qu'il se sent chez lui, on dit qu'il est français pour lui faire plaisir même s'il fait semblant de ne pas nous aimer, il aime pas le voile ha sur ca il fait pas semblant.
bref, détend toi, la vie est belle, ya du soleille, si tu veux rigoler traine dans le café et si je te vois ramasser un cailloux je te picore les yeux!
au fait, bienvenue, on te voit pas parce que tu n'es pas inscris, moi j'ai des yeux spéciaux, enfin pas mes yeux mes des capteurs tout au tour de mon visage qui me permettent de sentir les vibration sonores ... bref, inscris toi, OUI TOI QUI NOUS LIS, INSCRIS TOI et partage avec nous tes idées, le café est ouvert, on y sert de charmants échanges rafraichissant et authentiques!
rooo, rooo, je m'en vais me reposer sur mon perchoire, et si après mon départ une plume venait à tomber, va vers la rue en pèrle là bas, oui dehors, regarde par la fenêtre et tu la verras, elle pourrait leur servir.
de temps en temps, un livreur de journaux traversait le café, journal sous le bras en courant, son attention se porta sur un brouhaha et des cris anormalement bruyants, suivant le son il arriva à la fenêtre et en bas, une horde de gamins s'échangeaient des pierres, s'insultaient et se vantaient d'être les mieux habillés, les plus beaux et les plus riches, parmi eux certains marchaient pieds nus, d'autre étaient encagoulés mais tous portaient des drapeaux marocains, ou algériens, en bandana, ou sur leur t-shirte, quelques un ayant eu assez des cris escaladaient le mur pour sortir en déchirant les drapeaux qu'ils portaient ou simplement en les jéttant. sales mioches se dit-ils, la court sur laquelles donnait le café était sens dessus dessous, bondée et l'agitation semblait s'étendre au delà de l'enceinte de l'établissement.
en se retournant, il vit le livreur de journaux narguer quelques hommes assis tranquillement, l'un d'eux se tourna vers lui et vociféra quelques doux mots avant que le marchand de journaux ne se mette à le huer et s'en aller en courtant rejoindre la horde de sales moches entrain de s'échanger des cailloux. il vit alors une chaise libre et se dirigea vers elle quand il s'appérçu qu'il y a vait là aussi quelques grains de sable, en prenant place, une masse en plume aggripée à un lustre qu'il n'avait pas remarqué fendit sur lui, elle attérit sur le comptoire qui lui faisait face et se tourna vers lui, un hibou... voilà ce que c'était. rouuu, fit-il, je ne suis pas un hibou mais une chouette! appel moi la Chouette! compris? et ne me fais jamais, JAMAIS de clein d'oeil! compris? ceci étant précisé, bienvenu à toi étranger, tu es nouveau, ca se voit, je vais te faire un topo.
les grains de sable, c'est Frieda elle aime bien marcher pied nu sur la plage!, remet pas en cause la propreté des lieu ou t'auras affaire à nous! dehors ces les frères ennemis, marocains algériens et d'autres qu'on ne connait pas, la haut au 2ème, tu peux trouver de l'aide pour ce que tu veux, tu peux discuter de tes voyages ou n'importe quoi, l'intello là bas s'appel xenon, ne demande jamais son avis sans t'assurer de ne pas avoir d'envie d'aller au petit coin, le grincheux là bas qui pique des crises c'est un français, il aime bien trainer ici par ce qu'il se sent chez lui, on dit qu'il est français pour lui faire plaisir même s'il fait semblant de ne pas nous aimer, il aime pas le voile ha sur ca il fait pas semblant.
bref, détend toi, la vie est belle, ya du soleille, si tu veux rigoler traine dans le café et si je te vois ramasser un cailloux je te picore les yeux!
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