Il ne s'agit pas d'avoir, un ensemble d'obligations envers la société, mais être en soi quelqu'un de positif et de réussi.
Les personnes qui ont réussi dans leurs études, puis dans leur profession sont un gain pour la société à laquelle elles appartiennent, comme ceux qui échouent sont une tare.
Ne voyez-vous pas comme un pays est fier lorsque l'un de "ses fils" ou de "ses filles" réussit ou excelle dans un domaine et se fait connaître dans un pays étranger.
Le simple titre qu'ils apportent est un don pour leur société même si les fruits sont récoltés ailleurs!
Mais restons à l'intérieur du pays pour essayer de définir cette notion de citoyenneté qui semble si ambigûe chez nous.
J'ai parlé de réussite dans les domaines intellectuel et professionnel. Et dans la vie de tout les jours?
Qu'est-ce qui distingue un bon citoyen d'un mauvais? Où commence l'application de cette notion de citoyenneté?
Certes ce n'est pas chez soi, à l'intérieur de sa maison, mais une fois le seuil depassé, là commence notre vie de citoyen, avec la répercussion de tous nos comportements bons ou mauvais sur la société.
Dans le sac poubelle que nous jetons n'importe où devant notre immeuble ou peut-être devant celui des autres! dans la cigarette que nous allumons et que nous jetons par terre une fois consommée!
Dans le langage que nous tenons avec autrui, avec le voisin, avec le vendeur, avec le taxieur, avec son collègue, avec son directeur.. Enfin, et c'est le plus important, dans la vie que nous menons: une vie d'actif, d'honnête et d'efficace ou une vie de débauche et de dépravation.
Il n'y a pas de doute qu'un chômeur est une tare pour la société, mais il est bien pire lorsqu'il devient un voleur ou un bandit!
Certes, on ne porte pas au quotidien cette notion de citoyenneté, mais en étant seulement bon; c'est-à-dire ne rien faire de ce qui peut nuire aux concitoyens.
Que nous portions un temps soit peu ce souci de bien faire, ou du moins éviter de malfaire.
Je crois que c'est comme cela qu'une société se forge et ce n'est certainement pas avec un laisser-aller et une indifférence envers l'autre.
Les personnes qui ont réussi dans leurs études, puis dans leur profession sont un gain pour la société à laquelle elles appartiennent, comme ceux qui échouent sont une tare.
Ne voyez-vous pas comme un pays est fier lorsque l'un de "ses fils" ou de "ses filles" réussit ou excelle dans un domaine et se fait connaître dans un pays étranger.
Le simple titre qu'ils apportent est un don pour leur société même si les fruits sont récoltés ailleurs!
Mais restons à l'intérieur du pays pour essayer de définir cette notion de citoyenneté qui semble si ambigûe chez nous.
J'ai parlé de réussite dans les domaines intellectuel et professionnel. Et dans la vie de tout les jours?
Qu'est-ce qui distingue un bon citoyen d'un mauvais? Où commence l'application de cette notion de citoyenneté?
Certes ce n'est pas chez soi, à l'intérieur de sa maison, mais une fois le seuil depassé, là commence notre vie de citoyen, avec la répercussion de tous nos comportements bons ou mauvais sur la société.
Dans le sac poubelle que nous jetons n'importe où devant notre immeuble ou peut-être devant celui des autres! dans la cigarette que nous allumons et que nous jetons par terre une fois consommée!
Dans le langage que nous tenons avec autrui, avec le voisin, avec le vendeur, avec le taxieur, avec son collègue, avec son directeur.. Enfin, et c'est le plus important, dans la vie que nous menons: une vie d'actif, d'honnête et d'efficace ou une vie de débauche et de dépravation.
Il n'y a pas de doute qu'un chômeur est une tare pour la société, mais il est bien pire lorsqu'il devient un voleur ou un bandit!
Certes, on ne porte pas au quotidien cette notion de citoyenneté, mais en étant seulement bon; c'est-à-dire ne rien faire de ce qui peut nuire aux concitoyens.
Que nous portions un temps soit peu ce souci de bien faire, ou du moins éviter de malfaire.
Je crois que c'est comme cela qu'une société se forge et ce n'est certainement pas avec un laisser-aller et une indifférence envers l'autre.
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