Hamza Bendelladj, le jeune hacker algérien, a-t-il été condamné à mort aux Etats-Unis parce qu’il a dit non à un pacte avec Israël ? Oui, répond le média français musulman Oumma.com à cette question après avoir rendu public ce vendredi de précieuses informations au sujet des pressions que le jeune Hacker algérien a subi de la part des autorités américaines et israéliennes. Ces dernières lui avaient proposé de travailler pour leur compte afin qu’elles puissent utiliser son intelligence et renforcer leur sécurité. Mais, le Hacker algérien a dit non !
Voici le récit complet de ce qui est arrivé à Hamza Bendelladj :
Bête noire du FBI pendant une cyber traque longue de trois ans, le célèbre hacker algérien Hamza Bendelladj, 27 ans, l’un de ceux qui ont donné le plus de fil à retordre aux fins limiers US , a été condamné à la peine de mort par un tribunal américain.
Pris dans les mailles du filet en Thaïlande en 2013, à l’issue d’une chasse à l’homme menée par Interpol, le cyber-activiste qui avait rejoint le club très fermé des dix plus recherchés au monde fut extradé aux Etats-Unis, où le châtiment suprême vient de tomber sur lui comme un couperet.
Parmi ses hauts faits d’armes, le jeune hacker, comparé davantage à un justicier du piratage informatique qu’à un escroc de haut vol, était parvenu à entrer dans l’antre électronique de 217 banques en piratant les boîtes mails, pour y dérober la coquette somme de 4 milliards de dollars. Un juteux butin dont il a fait profiter plusieurs organisations non gouvernementales en Afrique, mais aussi des ONG palestiniennes à qui il a reversé plus de 280 millions de $.
hashtag algerie
Voici le récit complet de ce qui est arrivé à Hamza Bendelladj :
Bête noire du FBI pendant une cyber traque longue de trois ans, le célèbre hacker algérien Hamza Bendelladj, 27 ans, l’un de ceux qui ont donné le plus de fil à retordre aux fins limiers US , a été condamné à la peine de mort par un tribunal américain.
Pris dans les mailles du filet en Thaïlande en 2013, à l’issue d’une chasse à l’homme menée par Interpol, le cyber-activiste qui avait rejoint le club très fermé des dix plus recherchés au monde fut extradé aux Etats-Unis, où le châtiment suprême vient de tomber sur lui comme un couperet.
Parmi ses hauts faits d’armes, le jeune hacker, comparé davantage à un justicier du piratage informatique qu’à un escroc de haut vol, était parvenu à entrer dans l’antre électronique de 217 banques en piratant les boîtes mails, pour y dérober la coquette somme de 4 milliards de dollars. Un juteux butin dont il a fait profiter plusieurs organisations non gouvernementales en Afrique, mais aussi des ONG palestiniennes à qui il a reversé plus de 280 millions de $.
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