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Etudiants Algériens Interviewés par la BBC en 1965

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  • #16
    Toutes mes excuses Nad99, j'avais mal compris.
    Pas forcément bourgeois... Il suffisait de vivre à proximité des quartiers français, en ville... mais la tête sur le billot un Algérien n'avouera pas une ascendance rurale récente !
    Et pas forcément pro-français, il ne faut pas oublier le rôle des associations estudiantines dans le mouvement national.

    Toujours est-il que ceux de la vidéo sont des pionniers et tout l'espoir de la toute jeune nation !

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    • #17
      Un commentaire sur youtube:

      Ce qu'elles sont devenues les deux belles demoiselles interviewées...?? le charme, la classe, la courtoisie, le charisme. En visionnant cette video plus de 10 fois j'ai failli avoir les larmes aux yeux....L'Algérie ils l'ont massacré yahbabi... 50 après : echourouk TV, hamadache, madani merzag, chemessdine, le kamiss ou choungla, la burka et la culture du t'himirisme en générale...
      PS: c'est Rachid Boudjedra l'etudiant interviewe juste apres les deux filles.

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      • #18
        nad99 ce n'est pas une question d'argent mais de culture
        il voyait pas l'utilité des études pour eux tant qu'on mange à sa faim pour quoi se cassé la tête et n'en parlant pas des filles il été hors de question d'aller à l’école la hchouma
        mes grands parents étaient pauvre mais ça n'a pas empêcher mes parents d’étudier
        Le coeur est le seul instrument brisé qui fonctionne.

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        • #19
          L'université était accessible à tous mais c'était un luxe que beaucoup ne pouvaient pas se permettre, à 15 ans, ils devaient déjà avoir un travail pour aider leur famille.

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          • #20
            oui nad c'est un fait aussi
            mais à l’époque du colonialisme et juste après lire et écrire suffisait largement pour les algériens de plus que y'avais juste des écoles primaire donc pourquoi se casser la tête est se deplacer ailleurs ça sert à quoi les études déjà ,l'argent étaient peut être l'obstacle pour ceux qui habitaient les grandes villes ou (Alger Constantine Oran) ou ses environs les autres je pense qu'ils ne connaissaient même pas l’existence des université
            Le coeur est le seul instrument brisé qui fonctionne.

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            • #21
              Nad99,

              On est bien d'accord, à l'époque les algériens n'avaient pas d'argent mais avaient beaucoup de classe, aujourd'hui beaucoup ont de l'argent mais aucune classe

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              • #22
                Je rejoins Beehive , même illettré ils avaient la classe.
                C'est ça qui crève le coeur.
                Y a qu'à voir ceux issus de l'ecole des années 60 même sans avoir dépassé le primaire ,s'exprimaient mieux que certains avec un doctorat actuellement

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                • #23
                  Vos grands-parents ou parents ayant connu cette époque sont tous bac+5 et vos grands-mères prenaient sans doute leur petit-déjeuner en terrasse, en lisant le journal. Quelle chance !
                  Pour ma part, je suis bien heureuse que l'Algérie ait ouvert l'école aux culs-terreux et aux pouilleux au fin fond du bled !
                  c'est vrai, tryiine ki lformage , ils n'ont pas l'air d'avoir eu la meme enfance que omar de dar sbitar.
                  mais si on omet le contexte de la guerre, il est difficile de rester insensible a une telle classe, a une telle douceur, tout en restant simple. et en comparant a ce qu'on voit a la fac de nos jours.
                  mais je pense ce phenomene est universelle, la facon de s'habiller de se coiffer aux annés 60 et avant est tres classe et pudique comparé a aujourdhui

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                  • #24
                    PS: c'est Rachid Boudjedra l'etudiant interviewe juste apres les deux filles.
                    non, c'est pas lui

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                    • #25
                      mais je pense ce phenomene est universelle
                      Exactement, j'avais une belle illustration comparant une photo de classe d'université américaine les années 60 et 2000, elle circulait dans le campus, je ne suis arrivé à la retrouver.

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