Les femmes parlent trois fois plus que les hommes

[Adhrhar]

Virginie bonjour

Et au delà de cette question, existe t'il une zone tampon, commune ou hommes et femmes peuvent harmoniser leur fonctionnement, se parler, se comprendre, voir agir ensemble ?

Oui bien sur qu’il existe un terrain d’harmonie entre l’homme et la femme : s’adapter l’un à l’autre en faisant chacun la moitié du chemin.

[meph1349]

Je ne comprends pas pourquoi certaines filles se sentent menacées par les colcusions des cette études.

Moi je dirai que chaque sexe possede ses particularités et c'est ce qui crée l'attirance !! non??

[stranger011]

Ce que chaque homme sait depuis longtemps a été scientifiquement prouvé : les femmes parlent trois fois plus que les hommes.


Détails dans Het Laatste Nieuws :

« En moyenne, elles parlent 20 000 mots par jour contre 7 000 pour les hommes. Les femmes parlent plus rapidement et emploient dès lors plus d’énergie cérébrale. En s’écoutant elles-mêmes, elles se mettent ainsi dans une situation de transe (…). Les résultats apparaissent dans le nouveau livre The Female Mind (l’esprit féminin) du psychiatre américain Brizendine. Il prétend que la testostérone définit déjà la différence entre les cerveaux masculins et féminins dans l’utérus. Ainsi, les zones qui régissent la communication, les émotions et la mémoire sont plus petites chez les hommes, ce qui rend plus difficile chez eux l’extérioration de leurs sentiments. La testostérone réduit également l’ouie, ce qui fait que les hommes écoutent moins ce que les femmes disent ».

A retenir lors d’une prochaine querelle !

[absent]

cavia ! where were you ?

pour ma part je prefere parler 3 fois plus!

tien, une revenante ... hadi ghiba

tu veut pas que je remonte le topic quiz cinema ?

pour le sujet, heureusement que les femmes parlent plus que nous, autrement qu'est ce qu'on s'ennurai, mais faut pas trop pousser quand même

[Louisa]

C'est normal que l'on parle plus que les hommes :
1) Il faut toujours répéter 100 fois la même chose à un homme avant qu'il daigne nous écouter et en plus, une fois qu'il a entendu, ou bien il ne répond pas, ou bien il fait semblant de ne pas avoir compris (grrrrrrr c'est énervant )
2) On a tellement de choses intelligentes à faire partager aux hommes ! (et je ne parle pas de manicure, maquillage,....)

[ziazia]

l'homme est une femme qui s'ignore

Et avant de nous fustiger: N'oubliez jamais cela:





































plus bas



















Ta maman et ben c'est une femme

JE VAIS LUI DIRE QUE VOUS VOUS MOQUEZ D'ELLE

[leilasagefemme]

ziazia, tu m'as tuéeeeeeeeeeeeeeeeeeeee, mdr mais c'est vrai qu'on parle plus que les hommes en tout cas je parle pour moi même

nous on entame the discussion, sinon on s'ennuierait, n'est ce pas?

[noubat]

l'homme quand il ouvre la bouche , on l'écoute car il à vraiment quelque chose d'important à dire
En revanche , pour la femme on n'attend que la bouche se referme .

[nassim]

on compare les femmes qui ne sont évidemment pas muettes aux drogués ! plus machistes tu meurs !

Louann Brizendine, l'auteur du livre, est une femme ET une féministe engagée. Elle est des vôtres!

Elle est aussi une experte très active à l'Université de Californie à San Francisco : http://louannbrizendine.com/

[dianaain]

Nassim !

une féministe qui dit ca ? bon ! pas d'accord ! la comparaison !je la trouve trés bizarre !

[nassim]

Elle ne compare pas les femmes aux drogués!

Elle essaie de nous expliquer à nous, les hommes, la sensation que vous ressentez, vous les femmes, lorsque votre machine à parler se met en marche. C'est quand même une chance de ressentir cet effet euphorisant sans prendre une substance aussi dangereuse que l'héroïne!

[Virginie]

tout simplement

On distingue trois modes d'action selon les substances

Certaines (morphine, héroïne, nicotine, cannabis ...), de par leur structure moléculaire, imitent les neuromédiateurs naturels et se substituent à eux dans les récepteurs appropriés.
Lors d’un usage chronique, les neurones s’adaptent et diminuent ou perdent leur capacité à produire eux-mêmes ce neuromédiateur ce qui engendre un phénomène physique de manque et donc de dépendance physique.

Certaines, particulièrement les stimulants (cocaïne, ecstasy, ...) augmentent la sécrétion d'un neuromédiateur naturel puis épuisent ses réserves d'ou le phénomène de dépression ou "descente" qui apparaît après l’effet stimulant.
Ils agissent par saturation des récepteurs qui deviennent de moins en moins sensibles, c'est le phénomène d'accoutumance. Ainsi, lors d’un usage chronique, l’usager a besoin de plus en plus de produit pour retrouver l’état qu’il recherche ou même pour se trouver dans un état normal.

Certaines (alcool, ...) bloquent un neuromédiateur naturel nécessaire au fonctionnement neuropsychique normal et agissent par manque.
Les produits stupéfiants, qui entraînent une dépendance, ont un point commun : celui d'augmenter la quantité de dopamine, neuromédiateur agissant sur une zone du cerveau appelée le « circuit de récompense ». C’est cette zone qui est stimulée et nous donne du plaisir chaque fois que nous agissons dans le sens de notre conservation ou de la survie de l’espèce : le plaisir de manger ou le plaisir sexuel par exemple.

La stimulation des neurones à la dopamine produit une sensation de plaisir intense. L'individu cherchera alors à ressentir de nouveau ce plaisir avec le ou les produits utilisés. Ce mécanisme explique les comportements de consommation répétitive qui conduisent à la dépendance.

Les autres neuromédiateurs impliqués sont principalement les endomorphines, les endocannabinoïdes, la noradrénaline, la sérotonine, l’acétylcholine et le gaba.

En fait, les drogues ne font que simuler ou stimuler plutôt un fonctionnement naturel... Et mieux vaut, femmes ou hommes, produire les substances concernées naturellement que d'avoir recours à des substances chimiques pour compenser !
Ce n'est pas pour rien que les psychotérapies diverses et variées restent malgré tout toute basée sur la parole...

J'ai été sage !