Le site où se déroule la construction de la Grande mosquée d’Alger est un lieu « amplificateur des ondes sismiques », a affirmé lundi au quotidien El Watan Abdelkrim Chelghoum, expert en génie sismique.
Le problème principal « concerne le choix du site par rapport à la «non-consistance» des couches de sol en place », a affirmé cet expert à propos du lieu de ce grand projet situé à El Mohammadia (Alger).
Le site représente un risque de par sa proximité de la mer et de Oued El Harrach. « Il faut savoir que ce site en bord de mer et mitoyen au célèbre oued El Harrach est constitué en partie de couches de sédiments reconnus pour être de parfaits amplificateurs des ondes sismiques », a expliqué le spécialiste.
Pr. Chelghoum, également président du club des risques majeurs, a aussi qualifié de « superficielle » l’étude géotechnique réalisée par le laboratoire national de l’habitat et la construction (LNHC) et le laboratoire central des travaux publics (LCTP).
Les autorités ont par le passé réagi à des critiques similaires, avançant l’argument d’une technique de construction qui divise le risque sismique par trois.
Il s’agit là de « propos populistes » selon le Pr. Chelghoum. « ’J’avais clairement souligné le ridicule de cette déclaration qui vise à tromper l’opinion publique », a-t-il ajouté.
Huffpostmaghreb.com
Le problème principal « concerne le choix du site par rapport à la «non-consistance» des couches de sol en place », a affirmé cet expert à propos du lieu de ce grand projet situé à El Mohammadia (Alger).
Le site représente un risque de par sa proximité de la mer et de Oued El Harrach. « Il faut savoir que ce site en bord de mer et mitoyen au célèbre oued El Harrach est constitué en partie de couches de sédiments reconnus pour être de parfaits amplificateurs des ondes sismiques », a expliqué le spécialiste.
Pr. Chelghoum, également président du club des risques majeurs, a aussi qualifié de « superficielle » l’étude géotechnique réalisée par le laboratoire national de l’habitat et la construction (LNHC) et le laboratoire central des travaux publics (LCTP).
Les autorités ont par le passé réagi à des critiques similaires, avançant l’argument d’une technique de construction qui divise le risque sismique par trois.
Il s’agit là de « propos populistes » selon le Pr. Chelghoum. « ’J’avais clairement souligné le ridicule de cette déclaration qui vise à tromper l’opinion publique », a-t-il ajouté.
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