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Paris: Kim Kardashian attaquée par des hommes armés dans un hôtel

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  • #16
    Illu, moi j'ai kamime réfléchi un chwya et ............ j'ai tranché
    __________________
    ...
    non mais sérieux elle a la tronche la?

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    • #17
      Plus sérieusement on parle beaucoup des millions mais avoir une arme braquée sur soi piou elle doit être dans un sale état....

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      • #18
        Elle aurait pu subir plus de traumatisme que les 16 millions.

        Heureusement pour elle.

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        • #19
          il parait qu'elle est traumatisée parce qu’ils se sont intéressé qu'aux bijoux
          Dans la nuit noire, sur la pierre noire, une fourmi noire, ... Dieu la voit.

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          • #20
            haha YSN,

            Moi j'ai entendu qu'elle était traumatisée parce qu'ils lui ont pris son portable et du coup ben pas de selfie en mode attachée ligottée menottée :22:

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            • #21
              Ces criminels doivent être de véritables têtes brûlées et endurcis dans la criminalité pour oser commettre un braquage en plein Paris ET en plein état d'urgence.

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              • #22
                Nassim,


                Justement cela prouve toutes les failles de ce pseudo etat d urgence....
                ils te mettent des vigiles dans tous les magasins, les musées ect...mais dans les endroits qui respirent l aregent c est dehors uniquement....

                Wendy, love it
                Moi j'ai entendu qu'elle était traumatisée parce qu'ils lui ont pris son portable et du coup ben pas de selfie en mode attachée ligottée menottée :22:
                Always on the sunny side.....

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                • #23
                  Frieda
                  Elle était dans une résidence privée
                  C'est à elle d'assurer sa sécurité

                  Chercher le traitre autour d'elle

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                  • #24
                    Sinon a part ca il y a des bombardement a Alep et il y a quelques morts ...oeilfermé

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                    • #25
                      un hôpital complètement détruit :22:
                      Ana ? Sah...Bagra wa el hatta...Dima fi lekhssara, ila ma 3jebtekch, kayn bitelma... Saha !!!
                      9olo, wa el 9ol sabek fikoum, ana addit el khomri
                      ou âachra fi âaynikom

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                      • #26
                        bonjour
                        un hôpital complètement détruit
                        c'est quoi le rapport???tout un pays est detruit les constructions, les champs; les forets,ecoles,hopitaux,eglises, mosqué, site historique,cinema,,,,massacre des enfants, femmes; hommes, militaires, civiles,,,
                        c'est quoi le rapport sur cette prostituée et les terroristes et mercenaires en syrie???
                        المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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                        • #27
                          Envoyé par Nassim
                          Ces criminels doivent être de véritables têtes brûlées et endurcis dans la criminalité pour oser commettre un braquage en plein Paris ET en plein état d'urgence.
                          Effectivement Nassim, cela ne peut être que des têtes brulées, des anciens commandos de l'armée yougoslaves où peut-être même des miliciens serbes qui ont fait tant parler d'eux en Bosnie et en Croatie après la Chute de la Yougoslavie.

                          Paris est devenu la cour des Miracles des Maffias des pays de l'Est.

                          Les Pink Panthers, ce gang serbe qui écume les joailleries

                          Composé d'au moins 150 voyous, ce groupe est devenu le cauchemar des polices du monde entier, qui le surnomment les Panthères roses.

                          Croqueuses de diamants et braqueuses compulsives, ultraviolentes et disposant d'une logistique hollywoodienne, polyglottes et armées comme des porte-avions, les Panthères roses sont devenues le cauchemar des polices du monde entier. À l'image des grands voyous qui ont fait trembler le bourgeois et tourner en bourrique les flics les plus aguerris à la fin des années 1970, ces insaisissables félins sont en train de se forger une saga comme seule sait en cultiver la mythologie du grand banditisme. Paris, Genève, Dubaï, Saint-Tropez, Courchevel ou encore Monaco…

                          Depuis cinq ans, pas une seule grande place regorgeant de bijouteries, d'horlogeries et de joailleries de luxe n'est épargnée par ce gang unique dans son genre. Son avidité à dévaliser les présentoirs les plus sécurisés au monde vire le plus souvent au défi. Sa propension à franchir les frontières donne le tournis aux forces de l'ordre, qui ne comptent plus les pieds de nez. Ces redoutables félins les rendent chèvres. Selon les dernières estimations d'Interpol, cette nébuleuse abritant 150 braqueurs de haute volée est à l'origine d'une centaine de vols à main armée. La valeur marchande de leur fabuleux butin, amassé à travers les continents, s'élève à plus de 100 millions d'euros.

                          L'acte de baptême des Panthères roses remonte à mai 2003, à Londres. Un Serbe dénommé Nejbosa Denic, l'un des cerveaux présumés du gang, toujours tiré à quatre épingles bien qu'il soit officiellement agent d'entretien dans un hôpital de Genève, se fait ouvrir grandes les portes d'une célèbre joaillerie installée dans le très chic quartier de Mayfair. Les vendeurs n'ont pas le temps d'être impressionnés par l'allure du client : sans desserrer la mâchoire, ce dernier dégaine son 357 magnum. En trois minutes, il rafle un lot de pierres précieuses, dont de très rares diamants jaunes, pour un préju*dice de 13 millions d'euros. Une bague sertie d'un brillant bleu, faisant partie du butin, d'une valeur de 500 000 livres sera retrouvée quelques semaines plus tard au domicile d'un complice, dans un pot de crème pour le visage. La même «planque» que celle qui est utilisée dans le premier opus de la Panthère rose, comédie mettant en scène un voleur audacieux incarné par David Niven et un inspecteur gaffeur joué par Peter Sellers. Il n'en faut pas davantage pour que les très sérieux agents de Scotland Yard affublent le gang d'un patronyme de cinéma. Depuis lors, morceaux de bravoure et coups d'éclat se sont enchaînés à un rythme endiablé.

                          «À la différence des petits braqueurs à la fran*çaise, qui rechignent parfois à changer de département pour monter un hold-up, les Panthères roses couvrent des milliers de kilomètres pour frapper là où cela les intéresse, explique un ancien de l'antigang. Cette bande a inventé une nouvelle forme de mondialisation criminelle…»

                          «Tuer pour survivre»

                          Articulées autour d'un «noyau dur» d'une trentaine de donneurs d'ordres retranchés à Zagreb, Tirana ou Belgrade, les Panthères roses sont essentiellement composées d'anciens miliciens et militaires serbes, monténégrins et croates ayant fait leurs premières armes lors de la guerre en ex-Yougoslavie dans les années 1990. «Maniant la kalachnikov ou le pistolet CZ de petit calibre avec une redoutable aisance, ces individus pragmatiques n'hésitent pas à tuer pour survivre. Ils considèrent la mort comme un détail, confie au Figaro Christophe Haget, patron de la PJ de Monaco. Leur froide détermination n'a d'égal que leur mode opératoire, très méticuleux…»

                          Quand une cible potentielle est retenue dans une grande métropole ou une luxueuse cité balné*aire, les Panthères dépêchent en éclaireur une première équipe. «En général, il s'agit d'un couple bien habillé qui s'installe plusieurs jours, voire plusieurs semaines, et, sans commettre de délit, prépare le terrain pour ses complices, décrypte un expert en banditisme. Sous les traits de riches clients, ces globe-trotteurs parlant couramment quatre ou cinq langues écument les joailleries en se faisant montrer parures de bijoux et montres très précieuses, qu'ils connaissent sur le bout de doigts.» À l'affût de tout, les éclaireurs évaluent la sensibilité des détecteurs de mouvements et de vibrations, repèrent les caméras et l'emplacement des boutons d'alarme anti-agression et analysent les failles du protocole de sécurité observé par les vendeuses quand ces dernières commettent l'erreur de laisser les vitrines ouvertes. «Avant de partir, ils étudient les itinéraires de fuite et chronomètrent de façon maladive le temps d'intervention du poste de police le plus proche, note Doron Lévy, porte-parole de l'Observatoire national de l'union française de la bijouterie, joaillerie et horlogerie. Ils trouvent des téléphones portables et louent des voitures qui serviront aux complices chargés de commettre les hold-up…»

                          Arrivant dans la foulée, la seconde équipe passe à l'action avant de se replier rapidement, à la manière de vrais mercenaires. Pour passer inaperçus, ces derniers se fondent volontiers dans le décor. Ainsi, en mars 2004, à Tokyo, les Panthères roses avaient circulé à vélo et en portant des masques antipollution au cœur du très sélect quartier de Ginza avant de braquer 25 millions de butin dans une joaillerie, dont un magnifique collier connu des collectionneurs sous le nom de «La Comtesse de Vendôme».

                          Fin août 2005, les stakhanovistes du hold-up arboraient tee-shirts fleuris et bobs à motifs au milieu des touristes pour dévaliser en plein jour la bijouterie Julian, à Saint-Tropez. Avec une audace qui avait marqué les esprits, quatre des Panthères roses avaient pris la fuite sur un hors-bord ancré devant des plaisanciers incrédules. Pour son retour dans le quartier de Mayfair, à Londres, en juillet 2007, le gang avait choisi d'agir avec une Bentley dernier cri et le visage grimé, caché sous des panamas. Là en*core, plus de 10 millions de livres de marchandises avaient changé de mains en trois minutes.

                          «En général, les Pink ne perdent pas de temps inutile à discuter ou à tabasser un récalcitrant, considère-t-on à la PJ. Ils n'emploient la force qu'en dernier recours.» Dans ce cas, le vol à main armée prend un tour assez surréaliste. Ainsi, en avril 2007, pour prendre d'assaut la bijouterie Graff située dans le luxueux Wafi Mall de Dubaï, les «félins» défoncent la vitrine de la galerie marchande à l'aide de deux voitures-bélier. Masqués et vêtus de combinaisons noires, les huit mercenaires font preuve d'une violence inouïe pendant 90 secondes et dérobent pour 11 millions de dollars d'objets précieux. L'attaque a été ressentie comme une véritable blessure au sein de l'Émirat, peu coutumier de ces coups d'éclat en raison d'une législation assez dissuasive.

                          Un butin colossal

                          «Désormais, aucune forteresse ne leur fait plus peur», constate Christophe Haget. Jetant leur dévolu sur la principauté de Monaco, pourtant l'un des États les plus sécurisés au monde avec ses 400 caméras de vidéosurveillance et ses 500 policiers triés sur le volet, les Panthères roses y ont orchestré deux attaques en mai et juin 2007, brandissant une arme de poing ou bâillonnant un employé avant de se volatiliser.

                          Au gré d'une soixantaine d'affaires recensées dans 19 pays, les experts d'Interpol et d'Europol font tourner «Mare nostrum» et «Furtum», deux puissants fichiers d'analyse criminelle permettant de recouper les ADN et les numéros de téléphone de suspects. Plusieurs «têtes pensantes», faisant l'objet d'une «notice rouge», ont été identifiées et interpellées. Ainsi, un membre présumé du gang, Dusko Poznan, soupçonné d'une dizaine de vols en Suisse, à Monaco et à Dubaï, a été cueilli en douceur il y a peu de temps à Monaco, à la suite d'un banal accident de voiture. Et deux Serbes comparaissent jusqu'à jeudi à Chambéry devant la cour d'assises de Savoie pour une série de vols à main armée commis en bande organisée à Courchevel (Savoie), Cannes (Alpes-Maritimes), Saint-Tropez (Var) et Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) entre 2001 et 2003.

                          Un quatrième accusé, Dragan Mikic, 33 ans, est absent des débats : ce véritable colosse s'est évadé de la maison d'arrêt de Villefranche-sur-Saône (Rhône), après que son mirador a été arrosé à la kalachnikov en octobre 2005. Toujours en fuite, cette Panthère rose, qui se promène sous le couvert d'une quinzaine d'alias connus, a dû trouver refuge au sein de la diaspora yougoslave disséminée en Europe et servant de base arrière au gang. Décidés à traquer les roses carnassiers jusqu'au dernier de leurs rejetons, les services spécialisés pensent que leur colossal butin a été écoulé vers Belgrade, Bruxelles, Milan ou encore Anvers. Leur travail ne laisse pas d'étonner les vieux briscards de la répression du banditisme. L'un d'eux, en connaisseur, concède : «Les Panthères ? Du boulot d'artiste…»

                          Christophe Cornevin
                          LE Figaro
                          Dernière modification par zek, 05 octobre 2016, 07h25.
                          Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                          • #28

                            Dans la nuit noire, sur la pierre noire, une fourmi noire, ... Dieu la voit.

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                            • #29
                              Qu'est ce que tu veux YSN, il faut bien faire rêver les pauvres et tous les sans dents qui achètent Voici magazine potins de stars du moment et actualité des people.
                              Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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