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Une mère de famille en garde à vue en Tunisie : Nadia Mezouad sollicite l’aide des autorités algériennes
La famille de Nadia Mezouad lance un SOS et demande une intervention rapide des autorités algériennes et française pour lui éviter la prison… en Tunisie où elle est placée, avec son frère et son fils ainé, en garde à vue.
Privée de son fils, kidnappé depuis 3 ans par son père (Un tunisien), la mère risque de perdre aussi sa liberté. Et pour cause, elle est accusé « d’avoir tentée d’enlever son propre enfant, Kinan, dont elle a obtenu la garde auprès de la justice française ». « Il y a 3 ans, son père, Aymen Ourie s’est enfui en Tunisie pour ne pas avoir à remettre l’enfant à sa mère, Malgré une décision de justice qui le lui impose. Pendant ce temps, rien n’a été fait pour l’exécution de cette décision par les justices française et tunisienne », précise la famille Mezouad.
Désespérée, la mère de Kinan, souligne la famille, décide de se rendre en Tunisie pour « tenter au moins de voir son enfant ». « Depuis 3 ans, l’enfant vit loin de sa mère qui s’est battu pour le récupérer. L’enfant n’est pas scolarisé et il est logé dans des conditions indécentes. Pis, la famille d’Aymen Ourie qui a accueilli l’enfant le manipule, l’incite au racisme, à la haine envers sa mère », ajoute la même source.
A l’origine de cette mise en garde à vue, une altercation entre le père de l’enfant et le frère de la maman « qui l’a accompagné en Tunisie ». « Après un échange houleux, durant lequel le père s’est montré violent envers la famille et son propre fils Kinan, le frère aîné n’a eu d’autre choix que de se défendre. Après cette altercation, la police tunisienne a arrêté la mère de Kinan son fils et le frère », ajoute la famille Mezouad qui sollicite une intervention du ministère algérien des affaires étrangères pour tenter de résoudre cette affaire complexe.
M.M
Privée de son fils, kidnappé depuis 3 ans par son père (Un tunisien), la mère risque de perdre aussi sa liberté. Et pour cause, elle est accusé « d’avoir tentée d’enlever son propre enfant, Kinan, dont elle a obtenu la garde auprès de la justice française ». « Il y a 3 ans, son père, Aymen Ourie s’est enfui en Tunisie pour ne pas avoir à remettre l’enfant à sa mère, Malgré une décision de justice qui le lui impose. Pendant ce temps, rien n’a été fait pour l’exécution de cette décision par les justices française et tunisienne », précise la famille Mezouad.
Désespérée, la mère de Kinan, souligne la famille, décide de se rendre en Tunisie pour « tenter au moins de voir son enfant ». « Depuis 3 ans, l’enfant vit loin de sa mère qui s’est battu pour le récupérer. L’enfant n’est pas scolarisé et il est logé dans des conditions indécentes. Pis, la famille d’Aymen Ourie qui a accueilli l’enfant le manipule, l’incite au racisme, à la haine envers sa mère », ajoute la même source.
A l’origine de cette mise en garde à vue, une altercation entre le père de l’enfant et le frère de la maman « qui l’a accompagné en Tunisie ». « Après un échange houleux, durant lequel le père s’est montré violent envers la famille et son propre fils Kinan, le frère aîné n’a eu d’autre choix que de se défendre. Après cette altercation, la police tunisienne a arrêté la mère de Kinan son fils et le frère », ajoute la famille Mezouad qui sollicite une intervention du ministère algérien des affaires étrangères pour tenter de résoudre cette affaire complexe.
M.M