"J'ai grandi dans une cité proche de celle où vivaient des Algériens avec des jeunes qui revenaient de la guerre d'Algérie et qui avaient été traumatisés par des ordres de leurs supérieurs", se souvient l'acteur.
Dans un entretien accordé au journal Le Parisien à l'occasion de la sortie du film "Tour de France", Gérard Depardieu a évoqué sa conversion à l'islam, il y a une quarantaine d'années : "J'ai été musulman deux ans dans les années 1970. C'était difficile, les cinq prières quotidiennes de l'islam, l'interdiction de manger du porc, ce qui n'est, entre nous, pas fondamental", confie-t-il.
Interrogé sur les racines de cette foi, l'acteur raconte : "Ma jeunesse. La philosophie. La lecture du Chant du monde, de Jean Giono, de la Bible, des romans de science-fiction, de l'Ancien Testament, du Nouveau Testament, du Coran, du Talmud...".
"J'ai grandi dans une cité proche de celle où vivaient des Algériens avec des jeunes qui revenaient de la guerre d'Algérie et qui avaient été traumatisés par des ordres de leurs supérieurs.
Je prévenais les Algériens quand il allait y avoir une ratonnade", se souvient Gérard Deparideu, qui a été élevé dans le quartier de l'Omelon, à Châteauroux.
le parisien
Dans un entretien accordé au journal Le Parisien à l'occasion de la sortie du film "Tour de France", Gérard Depardieu a évoqué sa conversion à l'islam, il y a une quarantaine d'années : "J'ai été musulman deux ans dans les années 1970. C'était difficile, les cinq prières quotidiennes de l'islam, l'interdiction de manger du porc, ce qui n'est, entre nous, pas fondamental", confie-t-il.
Interrogé sur les racines de cette foi, l'acteur raconte : "Ma jeunesse. La philosophie. La lecture du Chant du monde, de Jean Giono, de la Bible, des romans de science-fiction, de l'Ancien Testament, du Nouveau Testament, du Coran, du Talmud...".
"J'ai grandi dans une cité proche de celle où vivaient des Algériens avec des jeunes qui revenaient de la guerre d'Algérie et qui avaient été traumatisés par des ordres de leurs supérieurs.
Je prévenais les Algériens quand il allait y avoir une ratonnade", se souvient Gérard Deparideu, qui a été élevé dans le quartier de l'Omelon, à Châteauroux.
le parisien
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