Chef au Grand Velas Los Cabos Resort, Juan Licerio Alcala, a un peu craqué son slip avec une nouvelle création culinaire, véritable concept en soi : le tacos à 25 000 dollars. Ce n’est pas une blague de mauvais goût, ça existe vraiment, et c’est dans un grand hôtel de luxe situé en Basse-Californie, au Mexique.
Le chef explique sa démarche :
« Ça vaut vraiment le coup. C’est une technique spéciale et toute une harmonie que vous saisissez dans votre assiette. D’abord, les gens sont très surpris quand je leur dis qu’ils peuvent déguster un tacos à 25 000 dollars, alors qu’ils peuvent en trouver un pour 10 cents dans la rue. Puis je leur explique le raffinement, la délicatesse et l’harmonie qu’ils trouveront dans leur assiette. »
Si cette explication ne vous convainc pas, voici la liste des ingrédients : le tacos est fabriqué à partir d’une pâte dans laquelle sont mélangées des feuilles d’or de 24 carats, et la garniture se compose de bœuf de Kobe, de langoustine, de caviar, de truffes noires du Périgord et de Brie (oui, le Brie de Seine-et-Marne, même si l’on ne précise pas si c’est du brie de Meaux ou du brie de Melun – celui qui pue ou celui qui pue un peu moins). La sauce est épicée de Chile Morita, ce petit piment fumé, et parfumée au café Kopi Luwak, le café le plus rare et le plus cher au monde. Pour couronner (ahem) le tout, de fines feuilles d’or comestibles.
Mais le tacos n’est pas tout : si vous souhaitez le déguster, c’est tout un protocole aussi ! Après avoir payé un acompte de 12 500 dollars, vous serez reçu-e dans la suite présidentielle de l’hôtel. Puis Juan Licerio Alcala commencera la préparation de son tacos et vous le servira dans le désert, entouré de motos (sic) ou bien lors d’une demande en mariage (sic, bis). Evidemment, vous pourrez demander le service que vous souhaitez : on s’adapte, dans le luxe.
Et enfin, si vous souhaitez un petit digeo pour faire passer tout cet or, le chef vous recommande une bouteille de Tequila à 150 000 dollars, et si vous souhaitez oublier que cela a jamais existé, vous pouvez aussi plonger la tête la première dans la Manche (ou la Mer du Nord, ou une quelconque mer bien froide).
Notons néanmoins que pour le moment, personne encore n’a commandé ce fabuleux met.
Le chef explique sa démarche :
« Ça vaut vraiment le coup. C’est une technique spéciale et toute une harmonie que vous saisissez dans votre assiette. D’abord, les gens sont très surpris quand je leur dis qu’ils peuvent déguster un tacos à 25 000 dollars, alors qu’ils peuvent en trouver un pour 10 cents dans la rue. Puis je leur explique le raffinement, la délicatesse et l’harmonie qu’ils trouveront dans leur assiette. »
Si cette explication ne vous convainc pas, voici la liste des ingrédients : le tacos est fabriqué à partir d’une pâte dans laquelle sont mélangées des feuilles d’or de 24 carats, et la garniture se compose de bœuf de Kobe, de langoustine, de caviar, de truffes noires du Périgord et de Brie (oui, le Brie de Seine-et-Marne, même si l’on ne précise pas si c’est du brie de Meaux ou du brie de Melun – celui qui pue ou celui qui pue un peu moins). La sauce est épicée de Chile Morita, ce petit piment fumé, et parfumée au café Kopi Luwak, le café le plus rare et le plus cher au monde. Pour couronner (ahem) le tout, de fines feuilles d’or comestibles.
Mais le tacos n’est pas tout : si vous souhaitez le déguster, c’est tout un protocole aussi ! Après avoir payé un acompte de 12 500 dollars, vous serez reçu-e dans la suite présidentielle de l’hôtel. Puis Juan Licerio Alcala commencera la préparation de son tacos et vous le servira dans le désert, entouré de motos (sic) ou bien lors d’une demande en mariage (sic, bis). Evidemment, vous pourrez demander le service que vous souhaitez : on s’adapte, dans le luxe.
Et enfin, si vous souhaitez un petit digeo pour faire passer tout cet or, le chef vous recommande une bouteille de Tequila à 150 000 dollars, et si vous souhaitez oublier que cela a jamais existé, vous pouvez aussi plonger la tête la première dans la Manche (ou la Mer du Nord, ou une quelconque mer bien froide).
Notons néanmoins que pour le moment, personne encore n’a commandé ce fabuleux met.
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