Depuis quelques années, on assiste à une prolifération de formations d'une journée à quelques jours sur des thématiques aussi variées assurées par des pseudos experts étrangers au prix fort de quelques centaines de milliers de dinars. Des formations dont le contenu est gratuitement disponible sur le Net. La mode actuelle est, après avoir touché successivement les normes IFRS, les ERP, Le Lean Management, La préparation au PMP, le marketing digital, un nom barbare et un peu savant traduisant "l'américanisation du monde" qui au final n'est autre qu'un ensemble de techniques et de méthodes de communication sur le Net pour la création du trafic pour le traduire en action d'achat (transformation) ou améliorer la perception d'une marque, d'un produit ou un service sur le Net!!! Comme si notre société et notre économie est totalement ou substantiellement digitalisée! Ya weddi, le digital en Algérie est réduit à tqar3idj, la drague, les rencontres, le commérage....(J'exagère un peu et force le trait!). Vous n'avez qu'à regarder le nombre d'entreprises algérienne qui ont un site Internet ou une page sur Facebook ou un compte institutionnel sur twetter!!! Elles se comptent sur les doigts d'une main. N'est ce pas?
Avec la complicité de certains algériens attirés par le gain facile, des "experts" (J'étais sidéré d'apprendre qu'une amie tunisienne se fasse passer pour une experte internationale dans un domaine qu'elle ne maîtrise pas. Pire, au lieu de s'en cacher, elle m'a envoyé un message orgasmique lors un quotidien algérien lui a fait de la pub!!!) arrivent à brasser des sommes importantes sur ce créneau qui sont ensuite transférées à l'étranger.
Parallèlement à cela, des algériens conscients de la dette qu'ils doivent à leur pays, proposent des formations gratuites, des actions de conseils etd e sélections et de soutien à des startups et ont créé des associations de business Angels mais dont le tout le monde tait les actions. Souffrons-nous d'un complexe d'infériorité vis à vis de l'étrager?
Avec la complicité de certains algériens attirés par le gain facile, des "experts" (J'étais sidéré d'apprendre qu'une amie tunisienne se fasse passer pour une experte internationale dans un domaine qu'elle ne maîtrise pas. Pire, au lieu de s'en cacher, elle m'a envoyé un message orgasmique lors un quotidien algérien lui a fait de la pub!!!) arrivent à brasser des sommes importantes sur ce créneau qui sont ensuite transférées à l'étranger.
Parallèlement à cela, des algériens conscients de la dette qu'ils doivent à leur pays, proposent des formations gratuites, des actions de conseils etd e sélections et de soutien à des startups et ont créé des associations de business Angels mais dont le tout le monde tait les actions. Souffrons-nous d'un complexe d'infériorité vis à vis de l'étrager?
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