C'est bien parce que c'est humain, imparfait dans un sens (erreur de jugement) comme à l'encontre de l'autre (erreur de jugement aussi) qu'il faut s'en détacher quand on veut décider de ce qui est de droit fondamentalement.
Toute personne a droit à un certain paquet de considérations (personnelles, conjugales, sociales...) qu'on définit dans l'absolu et non relativement à telle ou telle autre contexte/cas/expérience.
et il se trouve que le droit à une vie conjugale en fait partie. Maintenant si on doit revoir quelque chose, ça sera au niveau du bien fondé de ce droit dans l'absolu et non relativement à un violeurs multi récidiviste, ça ne produira que tort et dialogue de sourds complètement inutiles, quand on face on y répond: et dans le cas des innocents ?
Megane:
C'est un peu le piège du raisonnement dans lequel tu te trouve concernant ta revendication de limiter les naissances, quand tu dis: regardez cet énergumène, est-ce qu'il mérite d'avoir des enfants ? et qu'on te répond: et tu veux limiter à tous les autres "sains d'esprit" d'en avoir parce qu'il y a des énergumènes qui ne le mériteraient pas ?
Un droit c'est dans l'absolu qu'on apprécie sa pertinence Megane. et tu confonds "droit" avec "défense", quand on dit que tel droit est juste, on ne défend aucune partie à part l'idée elle même, je ne défend pas les délinquants ni les énergumènes auxquels ça peut profiter, et tu ne peux le tenir en critique.
Excuse moi, mais là c'est encore toi qui n'a pas compris: la prison, à la base, c'est une évolution de l'exile. dans les anciens temps on forçait le fautif à s'exiler hors de la cité, aujourd'hui on le force à s'isoler de la société.
ça n'a ni une fonction de torture ni n'est un moyen de punition. enfin, dans l'idéal.
Maintenant, ce n'est pas parce que c'est loin d'être des 4 étoiles dans la réalité qu'on doit le revendiquer comme "but" et donc demander à l'aggraver, ou du moins, empêcher qu'on le rétablisse dans sa fonction idéale du juste "isolement" de la société.
Mais si pour des raisons qui te sont propres, tu éstime qu'on devrait, faudra faire avec l'opinion des autres, et ça ne risque pas de peser tant que c'est du subjectif dans ce cas qui doit peser avec de l'objectif des notions de "droit absolu" et de "prison privative de liberté".
Et heureusement que c'est naturellement ainsi pour tout ce qui touche au bon sens, parce que sinon, on aurait assisté à plus de dictatures (qui a de bonnes raisons propres à lui à tuer du juifs, qui a d'excellentes raisons propres d'exterminer des musulmans...ect) qu'on n'aurait pu y survivre en tant qu’espèce qui raisonne.
Avec la limitation des naissances suivant les problemes socio-économico-climatiques, et avec ce fondement du droit selon nos appréciation personnelles, on est bon pour disparaître je t'assure, il nous suffit de revoir le droit à la vie à tout criminel que chacun le verrait comme tel par la même logique (je le pense personnellement pour certains énergumènes moi aussi) et le poste de bourreau sera très vite vacant !
Mais toi, moi et tout le monde un minimum sain d'ésprit, ce n'est pas parce qu'on défend le droit humain de jouir de sa vie conjugale, de ses enfants...ect qu'on est à court de raison de défendre cette dame.
Les deux ne s'opposent pas, ne s'annulent pas, du moment qu'on admette qu'on ne défendait pas le bien à ce criminel en particulier, si ça lui profite, c'est par ce qu'il est humain dans le sens fondamentale du terme, et c'est le bien de l'humain que nous somme tous qu'on défend dans l'absolu, par convention tacite et bien raisonnée durant des siècles d'évolution civilisationnelle, c'est vraiment très lent comme progrès et déjà qu'on veuille revenir en arrière ?
Toute personne a droit à un certain paquet de considérations (personnelles, conjugales, sociales...) qu'on définit dans l'absolu et non relativement à telle ou telle autre contexte/cas/expérience.
et il se trouve que le droit à une vie conjugale en fait partie. Maintenant si on doit revoir quelque chose, ça sera au niveau du bien fondé de ce droit dans l'absolu et non relativement à un violeurs multi récidiviste, ça ne produira que tort et dialogue de sourds complètement inutiles, quand on face on y répond: et dans le cas des innocents ?
Megane:
GLP je n'ai pas pour habitude de défendre les délinquants, je ne m'identifie pas à ce genre de personnes.
J'en ai plutôt été victime, alors chacun son camp.
J'en ai plutôt été victime, alors chacun son camp.
Un droit c'est dans l'absolu qu'on apprécie sa pertinence Megane. et tu confonds "droit" avec "défense", quand on dit que tel droit est juste, on ne défend aucune partie à part l'idée elle même, je ne défend pas les délinquants ni les énergumènes auxquels ça peut profiter, et tu ne peux le tenir en critique.
La prison n'est pas un hotel 4 étoiles, il faut bien le préciser pour ceux qui n'ont pas encore compris.
ça n'a ni une fonction de torture ni n'est un moyen de punition. enfin, dans l'idéal.
Maintenant, ce n'est pas parce que c'est loin d'être des 4 étoiles dans la réalité qu'on doit le revendiquer comme "but" et donc demander à l'aggraver, ou du moins, empêcher qu'on le rétablisse dans sa fonction idéale du juste "isolement" de la société.
Mais si pour des raisons qui te sont propres, tu éstime qu'on devrait, faudra faire avec l'opinion des autres, et ça ne risque pas de peser tant que c'est du subjectif dans ce cas qui doit peser avec de l'objectif des notions de "droit absolu" et de "prison privative de liberté".
Et heureusement que c'est naturellement ainsi pour tout ce qui touche au bon sens, parce que sinon, on aurait assisté à plus de dictatures (qui a de bonnes raisons propres à lui à tuer du juifs, qui a d'excellentes raisons propres d'exterminer des musulmans...ect) qu'on n'aurait pu y survivre en tant qu’espèce qui raisonne.
Avec la limitation des naissances suivant les problemes socio-économico-climatiques, et avec ce fondement du droit selon nos appréciation personnelles, on est bon pour disparaître je t'assure, il nous suffit de revoir le droit à la vie à tout criminel que chacun le verrait comme tel par la même logique (je le pense personnellement pour certains énergumènes moi aussi) et le poste de bourreau sera très vite vacant !
J'ai rencontré, il y a quelques temps déjà, une dame dont la fille avait été assassinée par son conjoint.
Ce gars là a été relâché au bout d'une petite peine de prison, elle le croise régulièrement il habite dans le même quartier
Qui va se battre pour les droits de cette femme qui a perdu sa fille?
Ce gars là a été relâché au bout d'une petite peine de prison, elle le croise régulièrement il habite dans le même quartier
Qui va se battre pour les droits de cette femme qui a perdu sa fille?
Les deux ne s'opposent pas, ne s'annulent pas, du moment qu'on admette qu'on ne défendait pas le bien à ce criminel en particulier, si ça lui profite, c'est par ce qu'il est humain dans le sens fondamentale du terme, et c'est le bien de l'humain que nous somme tous qu'on défend dans l'absolu, par convention tacite et bien raisonnée durant des siècles d'évolution civilisationnelle, c'est vraiment très lent comme progrès et déjà qu'on veuille revenir en arrière ?
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