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L'impact de l’immigration sur l’éducation des enfants ?

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  • #31
    Bonsoir tout le monde
    Je sais très bien que tout le monde n'est pas mauvais ici, et je m'excuses du fait que j'ai tendance à généraliser.
    Et bien c’est bien que la raison commence à pointer son nez pour relativiser les choses, car le gros risque encore une fois c’est les généralisations faciles, comme si les situation se limitent à des choix binaires, 0 ou 1, bon ou mauvais, France ou Algérie, Nif ou cosmopolitisme, nationalisme exacerbé ou assurer l’avenir de sa descendance, …, que ce soit en bien ou en mal, d’un côté ou de l’autre de la mer …
    cela dépend aussi de ton niveau de revenus (bled ou pas) de ton propre niveau d’instruction (bled ou pas), de ton type de quartier (bled ou pas), de ton environnement socioculturel (bled ou pas), …
    En Algérie, comme en France les couches les plus privilégiées (ancien ou nouveaux riches) s’en sortent bien va les écoles privés à fortes sélections par le niveau de la richesse et scolaire (les deux se nourrissent mutuellement), par divers activités extrascolaire visant l’excellence (coups particuliers des matières scolaires, mais aussi de la musique, disciplines artistique, « sports de riches » …), …
    Bien entendus, les enfants des RMIistes en France vivant dans les banlieues les plus délaissées, ont une probabilité petite de faire les grandes écoles ou même les études supérieures. Par contre les algériens vivant en France de niveau cadres vivant dans les banlieues chics et bourgeoises peuvent prétendre à tous les espoirs de réussites pour leur enfants.
    Ceci dit, même les médecins algériens sont sous payés dans les hôpitaux français, et du coups ne peuvent accéder par leur maigres salaires 1500 à 2000 euros aux meilleurs condition d’habitat, donc d’école et environnement. Divers situations couvrent l’espace se trouvant entre ces deux extrêmes (RMIste en ZUP et cadre gagnant 5000 Euros et vivant dans le 16 eme).
    Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
    L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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    • #32
      J'ai tout plaqué pour mes enfants ...à vrai dire il n y avait pas grand chose ds un pays où la bureaucratie est maitresse de toute les justices
      Je suis là ,ils sont bien ....Coutoient plusieurs cultures tout en sachant d'où ils viennent ils n'auront pas de difficulté à trouver leur propre chemin ... Je ne suis pas un dieu , je ne suis pas un génie des temps passés je ne suis que leur guide!
      On est pas censés forcément mourir sur la même terre qui nous a vu naître
      ard rabbi wass3a

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      • #33
        bonjour à tous

        amar, si tu veux je t'emmène avec moi, tu seras le frère de mes filles
        mais certe faut aller cherché le savoir ailleur par exemple aller etudier et revenir apres mais si tout le modne part la situation va encor se degradé a mon avis
        faire ses études à l'étranger pour ensuite revenir au bled n'est pas une très bonne idée à mon avis.
        tu sais les gens bien ne peuvent rien faire pour arranger les choses malheureusement

        alya,zwina, calm, zac aurore merci c'est encourageant

        algérois
        je suis désolé pour ton oncle allah yarahmou

        je pense que tu es nostalgique, tu ne vis plus au bled depuis plus de 11ans, les choses ont bien changer depuis!
        tu rentres bientôt a Alger, je te donne 1an, tes idées changeront surement tu n'attenderas pas l'arrivée des enfants ni leur scolarité pour repartir d'où tu es venu!
        Celui que les Dieux veulent détruire, ils le privent d'abord de son bon sens.

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        • #34
          bonsoir dhar
          tu touches du doigt un point essentiel de la discussion "l'argent".
          en effet la situation financiére conditionne tous!
          Celui que les Dieux veulent détruire, ils le privent d'abord de son bon sens.

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          • #35
            Bien entendus, les enfants des RMIistes en France vivant dans les banlieues les plus délaissées, ont une probabilité petite de faire les grandes écoles ou même les études supérieures. Par contre les algériens vivant en France de niveau cadres vivant dans les banlieues chics et bourgeoises peuvent prétendre à tous les espoirs de réussites pour leur enfants.
            TRés académiques tout cela ...
            Les etudes ça n'a jamais été question de moyens ,ni de situation géographiques
            Ce sont des capacités mentales nés et inées et une consciente qui grandit avec l'âge et une volonté des plus perseverentes ...Voila monsieur ce qui peut differencier celui -ci de cet autre!
            Et puis rien n'est relatif
            :22:


            Aurore
            Dernière modification par ^°Aurore°^, 20 février 2007, 21h53.

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            • #36
              je ne le souhaite à personne... ça déchire les familles.. c'est surtout à l'âge de la retraite que les parents regrettent d'être partis, car eux veulent retourner au bled mais en même temps ils sont tristes de laisser derrière leurs enfants et petits enfants
              Toujours ouverts, toujours veillants les yeux de mon âme.

              Dionysios Solomos

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              • #37
                TRés académiques tout cela ...
                Peut être, mais ,

                -------------------
                Le saviez-vous ? Les lycées d'Ile-de-France n'ont pas bonne réputation. Et qui le dit ? Les acteurs de l'Education nationale eux-mêmes. A commencer par les inspecteurs généraux du ministère, qui ont produit de 2003 à 2005 des audits sans concession sur les trois académies de la région parisienne. Dans le rapport sur l'académie de Versailles (1), il est question de « l'effet Ile-de-France » : entendez par là les difficultés rencontrées par les profs et leurs supérieurs pour faire progresser un public très varié, dans une région où les clivages sociaux sont abyssaux. Ici, singulièrement, la fameuse « massification » - tous à l'école - a été intense, et mal vécue. Les lycées d'élite ont continué aveuglément de faire leur métier. Pendant que les autres essayaient d'inventer un enseignement pour tous, contraints pour les plus défavorisés d'« accomplir bien souvent une tâche de service social [.] au détriment de [leur] mission » (2). La ségrégation urbaine, qui se renforce pour cause d'immobilier fou, continue de creuser les écarts. Les auteurs de l'audit sur l'académie de Versailles observent « un élitisme qui s'organise entre familles et enseignants dans des pôles d'excellence ». Alain Boissinot, recteur de cette académie, le dit comme ça : « Quand on parle d'échec scolaire dans la région, on ne pense qu'aux éléments très faibles : on a tort. Ce sont avec les élèves moyens que les résultats sont les plus décevants. On devrait les tirer vers le haut et, trop souvent, on les enfonce. » Thierry Ananou, du Syndicat national des Enseignements du Secondaire à Paris, le reconnaît : « Dans certains lycées, l'enseignant qui note normalement est considéré comme un laxiste. Le credo, c'est de sous-noter pour habituer les jeunes aux exigences des classes prépas. » Ne pas oublier, enfin, que le privé francilien, hormis en Seine-Saint-Denis, sélectionne bien plus qu'en province. On s'en fiche ? Pas possible. Car cette sélectivité des lycées d'excellence a des répercussions sur l'ensemble des établissements, qui se spécialisent, socialement, scolairement. Surtout à Paris, où des proviseurs se rebiffent aujourd'hui contre les effets pervers de l'entre-soi. Hé oui ! Si les faibles et les moyens sont regroupés, ils ne progressent pas. Les résultats au bac en région parisienne plafonnent souvent sous la moyenne française. Pour la session 2006 (chiffres non officiels), les taux de réussite dans l'académie de Versailles était de 80,8%, de 73,6% dans celle de Créteil et de 81,6% à Paris. Contre 81,9% pour la moyenne française. Pas formidable, dans une région-capitale truffée d'agrégés et de compé-tences.Pouvait-on deviner que le salut viendrait, précisément, des élitistes grandes écoles ? C'est à Sciences-Po qu'on entend aujourd'hui cette phrase d'un jeune enseignant BCBG, Cyril Delhay : « L'école ne doit pas être la complice d'un parcage social. » Bras droit du patron de Sciences-Po, Richard Descoings, Cyril Delhay est chargé des conventions ZEP et des secondes expérimentales. Il suffit de lire notre encadré pour s'en convaincre : l'initiative de Descoings, qui vient d'annoncer sa volonté d'implanter un institut d'études politiques en banlieue, a fait bouger les lignes. Voici que des lycées, épaulés par l'enseignement supérieur, débordent d'ambition pour leurs ouailles. Bernard Saint-Girons, recteur de l'académie de Créteil, n'en croit pas ses yeux : « La classe préparatoire du lycée Auguste-Blanqui, à Saint-Ouen, attire même des Parisiens ! » Mais il y a une couleuvre à avaler : l'argent du privé déboule dans ces établissements. Les secondes expérimentales lancées dans quatre lycées du 93 fonctionnent certes avec les sous du conseil régional (2,4 millions d'euros) et de l'académie de Créteil (équivalent en postes de 200 000 euros). Mais surtout grâce au mécénat d'Axa, d'IBM ou de Lagardère. Dominique Chauvin, du Snes, s'en étrangle un peu : « Ce projet arrive alors que les lycées vont mal. L'Etat supprime des heures de soutien et des postes d'enseignants. Il a sauté sur ce qui se présentait, en se disant : on prend sinon on va mourir. »

                Source : http://hebdo.nouvelobs.com/p2202/dossier/a330477.html
                Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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                • #38
                  Bonsoir,
                  Je pense que ce n'est jamais facile de tout quitter pour entamer une nouvelle vie dans un autre pays. sachant que tout est différent à tous les niveaux : coutumes, traditions, religion, culture, .....!. à mon avis il faut tenir compte de tous ces aspects.
                  Concernant les enfants : je dirais tout dépend de leurs age. Si les enfants n'ont pas encore entamé l'école en algerie ça sera plus facile.

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                  • #39
                    C'est risqué de venir sans savoir ce qui t'attends réellement, en possibilités de travail et de logement.
                    C'est plus sage que l'un des parents viennent d'abord en éclaireur avant de faire venir toute la famille. renseigne-toi bien sur les différents pays : France, Belgique, Suisse, Canada les situations sont très différentes, si tu peux travailler en anglais t'auras encore plus de choix.

                    Bonne chance patouta.
                    Quand on n'a rien à dire, il vaut toujours mieux citer un vieux proverbe chinois.
                    Proverbe chinois

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