Bonsoir tout le monde
Et bien c’est bien que la raison commence à pointer son nez pour relativiser les choses, car le gros risque encore une fois c’est les généralisations faciles, comme si les situation se limitent à des choix binaires, 0 ou 1, bon ou mauvais, France ou Algérie, Nif ou cosmopolitisme, nationalisme exacerbé ou assurer l’avenir de sa descendance, …, que ce soit en bien ou en mal, d’un côté ou de l’autre de la mer …
cela dépend aussi de ton niveau de revenus (bled ou pas) de ton propre niveau d’instruction (bled ou pas), de ton type de quartier (bled ou pas), de ton environnement socioculturel (bled ou pas), …
En Algérie, comme en France les couches les plus privilégiées (ancien ou nouveaux riches) s’en sortent bien va les écoles privés à fortes sélections par le niveau de la richesse et scolaire (les deux se nourrissent mutuellement), par divers activités extrascolaire visant l’excellence (coups particuliers des matières scolaires, mais aussi de la musique, disciplines artistique, « sports de riches » …), …
Bien entendus, les enfants des RMIistes en France vivant dans les banlieues les plus délaissées, ont une probabilité petite de faire les grandes écoles ou même les études supérieures. Par contre les algériens vivant en France de niveau cadres vivant dans les banlieues chics et bourgeoises peuvent prétendre à tous les espoirs de réussites pour leur enfants.
Ceci dit, même les médecins algériens sont sous payés dans les hôpitaux français, et du coups ne peuvent accéder par leur maigres salaires 1500 à 2000 euros aux meilleurs condition d’habitat, donc d’école et environnement. Divers situations couvrent l’espace se trouvant entre ces deux extrêmes (RMIste en ZUP et cadre gagnant 5000 Euros et vivant dans le 16 eme).
Je sais très bien que tout le monde n'est pas mauvais ici, et je m'excuses du fait que j'ai tendance à généraliser.
cela dépend aussi de ton niveau de revenus (bled ou pas) de ton propre niveau d’instruction (bled ou pas), de ton type de quartier (bled ou pas), de ton environnement socioculturel (bled ou pas), …
En Algérie, comme en France les couches les plus privilégiées (ancien ou nouveaux riches) s’en sortent bien va les écoles privés à fortes sélections par le niveau de la richesse et scolaire (les deux se nourrissent mutuellement), par divers activités extrascolaire visant l’excellence (coups particuliers des matières scolaires, mais aussi de la musique, disciplines artistique, « sports de riches » …), …
Bien entendus, les enfants des RMIistes en France vivant dans les banlieues les plus délaissées, ont une probabilité petite de faire les grandes écoles ou même les études supérieures. Par contre les algériens vivant en France de niveau cadres vivant dans les banlieues chics et bourgeoises peuvent prétendre à tous les espoirs de réussites pour leur enfants.
Ceci dit, même les médecins algériens sont sous payés dans les hôpitaux français, et du coups ne peuvent accéder par leur maigres salaires 1500 à 2000 euros aux meilleurs condition d’habitat, donc d’école et environnement. Divers situations couvrent l’espace se trouvant entre ces deux extrêmes (RMIste en ZUP et cadre gagnant 5000 Euros et vivant dans le 16 eme).
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