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Les Fennecs D'OR 2007.

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  • #61
    Alya, ça viendra un de ces jours, pour le moment le peuple algerien est préoccupé par d'autres choses, plus matérielles...
    Un jour il saura, qu'ils sont liés (Le ventre et la tête).

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    • #62
      J'ai regardé ... mais bon sans plus ... je suis assez déçu des fennecs d'ors d'hier soir !

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      • #63
        Histoire d'un coq en pâte...

        Sid Ali Kouiret qui a gardé son manteau sur scène , qui ne savait pas ouvrir les enveloppes et qui appelait les nommés par leur prénom...Enfin, de l'algérianisme en puissance.....
        La présentatrice beaucoup beaucoup plus à l'aise que la bimbo de l'an passé.
        A noter les tenues des mannequins ( l'an passé c'était des boléros en plume rose) et la présence ( enfin) à la télé d'une algérienne noire de peau.
        QUoi d'autre,
        les portables qui sonnent.
        Le problème linguistique algérien ( toujours aussi présent ).




        qui aime bien chatie bien.
        Ce n'est plus trop d'amour que beaucoup de rage

        Quel appetit... :22:

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        • #64
          QUATRIÈME NUIT DES FENNECS
          «La dure épreuve» finit en tête
          24 février 2007 - Page : 21


          Ce feuilleton, réalisé par Nazim Kaïdi, a décroché quatre Fennecs.


          La quatrième édition des Fennecs d’or a été organisée dans la soirée de jeudi dernier, au Théâtre national algérien (TNA) Mahieddine Bachtarzi. Vingt productions, diffusées par la Télévision algérienne, entre février 2006 et janvier 2007, ont été récompensées. Les invités commencent à affluer dès 19h. La pluie qui s’est montrée généreuse en ce jeudi, s’arrête à l’approche de la soirée. Mais le ciel est toujours grisâtre. La façade principale du TNA est parée d’une kyrielle de projecteurs. Aux alentours, des garde-fous sont dressés. Des policiers en tenue sont dispersés, chacun dans son coin. Les badauds, quelque peu ahuris, s’accrochent aux garde-fous. Certains tentent vainement de les franchir. La grue au bout de laquelle est suspendue une caméra, accompagne les invités de marque dans leur déplacement. De temps à autre, une limousine blanche s’arrête. Une star en sort, fait quelques pas avant d’emprunter le tapis rouge menant droit à l’intérieur du théâtre. A l’entrée, plusieurs personnes s’amassent. On donne tout d’abord son sac pour la fouille, puis on passe au scanner. Une fois le seuil franchi, on se retrouve pousser au milieu d’une foule compacte. Là, on fume, on discute ou, tout simplement, on regarde le temps qui passe. Il est 20h, toutes les places sont prises d’assaut. Le bruit va grandissant. On monte au premier balcon, c’est complet; le deuxième, pareil. Au troisième, appelé aussi «poulailler», on trouve enfin une place. Une chaleur suffocante émane des projecteurs. Leurs lumières mettent à nu la scène. Celle-ci est «vêtue», de part et d’autre, de tissu blanc, dont les bouts se rejoignent au plafond. La scène brille sous les feux de la rampe. Pour celui qui fait face au public, il peut aisément apercevoir, à la première rangée, le king du raï, Khaled Hadj Brahim. Celui-ci est vautré dans son siège. La veille, (la soirée du mercredi), il a, en compagnie de Diana Haddad, animé un concert à la Coupole Mohamed Boudiaf. Il est 20h30, et la soirée n’a pas encore commencé. Mais vite, tous les présents comprennent qu’elle (la soirée), ne commencera qu’après le JT. Aux environs de 20h45, une musique un peu caractéristique, annonce le début de la soirée.
          La présentatrice, Houria Bendimerad, prend son micro et prononce le petit discours traditionnel avant de faire appel au président de la Fondation du Fennec, Hamraoui Habib Chawki qui, à son tour, annonce l’invité d’honneur de cette nouvelle édition. Ce dernier n’est autre que l’acteur et comédien Sid-Ali Kouiret. Il monte sur scène. Il balbutie quelques mots. Il s’arrête. Son regard brasse les centaines de spectateurs qui l’applaudissent. «Ali mout waqef», lui lance quelqu’un du fond de la salle. «Viens te mettre à ma place et rends-moi la réponse après», lui réplique Kouiret. La caméra fait un zoom sur l’acteur. On le voit en «grandeur nature» sur l’écran géant installé au fond de la scène. Cette situation, dure quelques minutes, Kouiret semble chercher son latin qu’il a fini difficilement par retrouver. «C’est une embuscade!» s’exclame-t-il. «Vous savez, poursuit-il, l’artiste travaille tout d’abord pour son art mais non pour l’argent.» Quelques instants de réflexion, il continue: «Je suis convaincu que j’ai le statut le plus envieux...». Encore quelques secondes: «...C’est mon public», lâche-t-il crûment mais fièrement. Viendra par la suite la longue liste des lauréats. Ils sont annoncés comme on égrène un chapelet. Il y a tout d’abord, le prix du meilleur décor qui a été décerné à Abdelkader Boulghichi pour le feuilleton Rachid K’sentini, celui du meilleur montage a été attribué à Meliani El Hachemi et Zoheir Lourari pour le feuilleton El Imtihane Esaâbe (dure épreuve). Le Fennec d’or du meilleur son a été remis à Farid Kortbi et Mohamed Ziouani pour la série Binatna (entre nous). Les deux lauréats étaient absents à la cérémonie de remise des récompenses. Ahmed Messaâd et Bachir Selami se sont vu remettre le Fennec d’or de la meilleure image pour la série Binatna, tandis que le musicien Noubli Fadhel a eu le Fennec d’or de la meilleur musique dans le feuilleton Rachid K’sentini. Vient ensuite la troupe Les folies berbères. Ils sont trois: Hichem Mesbah, Athmane Bendaoud et Yacine Mesbah. Ensemble, ils font feu de tout bois. L’on attend beaucoup de ce trio. La représentation dure quelques minutes puis on revient aux lauréats. Ainsi, le Fennec d’or du meilleur second rôle féminin a été décerné à Bouchra Okbi pour son rôle dans le feuilleton Daouamate El Hayate, alors que le Fennec d’or du meilleur second rôle masculin a été, quant à lui, attribué à Mustapha Laâribi, qui a joué dans le feuilleton El Imtihane Esaâbe. Madani Naâmoun qui a joué dans ce film a également décroché le prix de la meilleure interprétation masculine, en compagnie de Rachid Farès. Celui-ci a fait un remarquable passage dans le feuilleton Al Aouda (le retour). La meilleure interprétation féminine a concerné l’actrice Fatima Hlilou dans le film Gourbi Palace. Le Fennec d’or du meilleur scénario est revenu à Merzak Bagtache qui a écrit le texte du feuilleton El Aouda, et celui de la meilleure réalisation au réalisateur Dahmane Ouzid pour son feuilleton El Aouda.
          Par ailleurs, le prix du Jury a été accordé au jeune réalisateur Nazim Kaïdi, dont le feuilleton El Imtihane Esaâbe, représente son premier produit. Le jury a également, décerné un prix à titre posthume, au défunt réalisateur Mohamed Bouamari. L’acteur-producteur syrien, Aymen Zeydane, a eu, pour sa part, le prix d’honneur spécial de la fondation Fennec d’or, en signe de reconnaissance à son parcours artistique dans la dramaturgie.




          Hakim KATEB

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          • #65
            Télévision. 4e nuit des fennecs d’or jeudi soir au théâtre national d’Alger
            Une cérémonie otage du grand zapping
            C’était jeudi soir, au théâtre national algérien Mahieddine Bachetarzi, à Alger, et ce, devant un aréopage constitué d’artistes, de comédiens, de réalisateurs et en présence du ministre des Télécommunications, Boudjemaâ Haïchour.

            Président de la Fondation fennec d’or, Hamraoui Habib Chawki dira solennellement : « Cette 4e édition sera immortalisée grâce à vos efforts de création. » Il cédera sa place à un maître de cérémonie choisi par surprise parmi les convives. Il n’est autre que le grand acteur algérien Sid Ali Kouiret (L’opium et le bâton, Décembre, Morituri...). Donc, c’est au débotté qu’il montera sur scène pour diriger conjointement avec l’animatrice Soria, sous les applaudissements frénétiques d’une standing ovation. Cependant, une fausse note. Tout ce beau monde était tiré à quatre épingles, sauf le MC Sid Ali Kouiret. On va dire que ce sont les aléas du direct (un « reality » show). « C’est une embuscade ! C’est un piège ! Mon statut (d’artiste), c’est vous, le public. Vous êtes mes ailes. Vous m’inspirez et forcez le respect. » Le jury, dont les membres sont Sid Ahmed Sdjane, comédien et réalisateur, Mustapha Fillali, réalisateur TV, Djamel Eddine Saber, comédien et réalisateur, Zinani Koudil Hafsa, scénariste, Abdelhalim Zribi, metteur en scène, Bounbadji Nathalie, professeur au conservatoire d’Alger, Mohsen Amar, metteur en scène, Hazourli Djamaleddine, sous la présidence de Inaâm Bayoud, auteure, traductrice et plasticienne, distribuera plus d’une vingtaine de fennecs d’or.

            Et le prix du public …
            Aussi, le feuilleton El Aouda de Dahmane Ouzid s’est vu attribuer trois fennecs d’or de la meilleure réalisation (Dahmane Ouzid), du meilleur scénario (Merzak Baktache) et de la meilleure interprétation masculine pour l’acteur Rachid Farès ex aequo avec Madani Naâmoun dans le feuilleton El Imtihane Essaâb. « Je dédie ce fennec d’or à ma mère que j’ai perdue il y a quatre ans et à ma sœur Keltoum. Car je vis avec ma sœur (ironisant). Il faudrait penser à une scie pour se partager ce fennec ! » L’auteur, journaliste, nouvelliste et traducteur Merzak Baktache confiera : « L’écriture de ce scénario est un accident de parcours. Je dédie ce fennec à ma mère qui a 90 ans et à mes enfants. » Le feuilleton Rachid Ksentini de Boualem Aïssaoui a reçu les fennecs d’or du meilleur décor (Abdelkader Boulghiti) et de la meilleure musique (Noubli Fadel). El Imtihane Essaâb (un feuilleton) de Nazim Kaïdi s’est vu décerner trois fennecs d’or. Celui du meilleur montage (Zouheir Lourari), celui du meilleur second rôle masculin pour Mustapha Laribi et celui du prix du jury. Le sitcom Binatna (pâle copie et clonage de Nass M’lah City car ayant repris le même casting, techniciens, musique, scénariste pour certains épisodes) a été primé par deux fois. Le fennec d’or du meilleur son (Farid Kortbi et Mohamed Ziouani) et celui de la meilleure image (Bachir Sellami et Messad Ahmed). La comédienne Bouchra Okbi a eu le fennec du meilleur second rôle féminin dans Daouamet el hayat, Fatima Helilou, celui de la meilleure interprétation féminine dans la comédie Gourbi Palace réalisé par Bachir Derraïs. Par ailleurs, un fennec d’or à titre posthume a été remis au cinéaste Mohamed Bouamari, disparu récemment. Sa femme, la comédienne Fatouma Ousliha Bouamari, confiera : « Je ne peux rien dire. Sinon, j’aurais aimé qu’il soit là. Que Dieu ait son âme ! » Un tribute (hommage comme d’habitude, jamais du vivant de l’artiste). Devant cette fête sélective faisant « des parents et enfants pauvres de la télé », le réalisateur et producteur Bachir Derraïs (Gourbi Palace, Morituri, Un million de centimes...) s’insurgera en quittant la salle dès le début de la cérémonie : « J’ai quitté la salle dès que j’ai vu la composition des membres du jury. Avec tout le respect que je leur dois, le jury n’était pas représentatif pour juger les œuvres des autres. Dans le monde entier, ce genre d’événement doit être encadré par des gens du métier qui ont fait leurs preuves. Des réalisateurs, des critiques, des professionnels du son et de l’image... Je me suis dit, ce n’est pas cette commission qui va regarder les films avec objectivité. Il s’agit de crédibilité pour cet événement. Je suis déçu pas par rapport au prix. Cela m’est égal. Quand je vois un directeur photo comme Allel Yahiaoui qui n’a même pas été nominé. Il a consacré toute sa vie à l’image (plus de 45 ans). Sur quels critères juge-t-on les productions ? On mélange le sitcom avec le feuilleton, le sketch, le téléfilm. Cela n’est pas à la hauteur de l’événement. Tout le travail remarquable accompli ces dix dernières années par le DG de l’ENTV, Hamraoui Habib Chawki, pour le cinéma et la télévision — car il défend bien la production nationale — détruit par ces fennecs d’or. J’ai l’impression que cette Fondation du fennec d’or sabote son travail. » Et d’ajouter : « Je n’ai aucun doute sur la qualité des collègues primés. Ce qui est déplorable, c’est la mauvaise présentation des productions. Aucun respect pour les auteurs traités de mineurs. Je félicite Fatima Helilou pour son prix. Mais dans Gourbi Palace, il n’y avait pas de rôle principal féminin, mais celui de Lakhdar Boukhors. Je me demande comment cette commission n’arrive-t-elle pas à distinguer cela ? Même le second rôle a été interprété par Sid Ahmed Agoumi. A moins qu’ils n’ont pas vu le film. » Parmi les gens « zappés », c’est le cas de le dire, c’est celui de Claude Villand pour le son de Gourbi Palace. Un cas patent et édifiant techniquement parlant. Claude Villand est un ingénieur de son à la dimension internationale qui a reçu 3 césars pour les films La Passante du Sans-Souci, Autour de minuit et Au revoir les enfants de Louis Malle. Son pedigree compte des films comme Les Visiteurs, La Discrète, Betrayed, L’Ours, Le Marginal, Missing, La Banquière, La Boum ou encore L’ Aile ou la cuisse. Claude Villand a travaillé sur tous les films de Costa Gavras ainsi qu’avec Lakhdar Hamina dans Chroniques des années de braises (palme d’or à Cannes 1975). Et il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le son. Alors, cherchez l’erreur ! Même cas avec Youcef Tobni, chef monteur sur le film Gourbi Palace ayant à son actif des films tels que Train d’enfer de Roger Hanin, La dernière image de Lakhdar Hamina, Prends 1000 balles et casse-toi de Mahmoud Zemmouri et ancien professeur de montage à la FEMIS (ex-IHDEC), la plus grande école de cinéma en Europe.

            Caution et confiance
            Quant à la vocation première des fennecs d’or, c’est que la fondation du même nom fait toujours dans le grand zapping. Les actants et les acteurs du petit écran auront été les grands absents. Ceux qui font la TV sur l’ENTV, Canal Algérie et A3. Par souci exhaustif et pluridisciplinaire, où sont les prix récompensant les émissions (magazine) d’actualité, de divertissement (humour), culture, politique, musique ? Où sont les meilleurs présentateurs de journal télévisé, journalistes ou reporters, animateurs ? On pense à El F’hama, Saraha Raha, H’na fel h’na, La caméra cachée... En marge de la cérémonie des fennecs d’or, le mercredi dernier, Khaled et Diana Haddad ont donné un concert privé VIP pénalisant le public (anonyme mais fan) venu vibrer avec eux. La retransmission du concert sur la radio El Bahdja FM a été de mauvaise facture. Même à la radio, c’est un cadeau empoisonné. Et de surcroît, les deux spectacles, des non-événements entrant dans le cadre de « Alger, capitale de la culture arabe, sont sous le haut patronage du président de la République. Est-ce que le primus inter pares (le premier parmi nous) peut tolérer la médiocrité ? Bien sûr que non ! Une caution, ça se respecte. Surtout quand elle émane d’un président de la République vous faisant confiance.

            K. Smaïl

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            • #66
              Culture (Samedi 24 Février 2007)


              Quatrième édition du fennec d’or
              Des récompenses en attendant le statut de l’artiste


              Par : Samir Benmalek
              Lu : (139 fois)


              La cérémonie de la remise des Fennecs d’or aux onze lauréats a été également l’occasion de rappeler que les artistes algériens ne disposent toujours pas de statut qui leur permettrait de vivre de leur art.

              “Messieurs les décideurs salariés ,vous n’avez pas besoin de vous réunir des années durant pour qu’un artiste puisse s’inscrire à la Sécurité sociale. Les artistes ne doivent pas attendre une décision du président de la République pour avoir droit aux soins. Ce statut ne pourra que contribuer à l’amélioration du niveau des productions artistiques.” Cette tirade, qui a clos la cérémonie de remise des Fennecs d’or, jeudi dernier, est de Dahmane Ouzid, lauréat du prix de la meilleure réalisation pour son feuilleton El Aouda. Par cette note discordante, c’est un véritable retour sur la situation des artistes algériens, en attente d’un statut, qui ne voit toujours pas le jour, qu’a effectué ce réalisateur de télévision.
              Un rappel qui est venu rompre le discours d’autosatisfaction qui a dominé la soirée du week-end, au Théâtre national algérien, au cours de laquelle onze distinctions ont été remises à différentes productions de l’Entreprise nationale de la télévision par le jury présidé par l'écrivain et traductrice Inaam Beyoudh. Car, selon la présentatrice de cette quatrième édition, il s’agissait de “récompenser ceux qui se sont élevés au firmament de la création !” Et pour bien montrer que l’art en Algérie a atteint les sommets de la création de l’esprit, cette même animatrice s’est sentie obligée de rappeler au nombreux public présent que “le fennec est un petit animal qui ressemble au renard et qui vit au Sahara !”
              Mais fort heureusement que l’hilarité générale de l’assistance, dans laquelle on pouvait reconnaître le ministre de l’Information, a prouvé l’inutilité de cette définition de la mascotte nationale. Et cette dernière, une fois recouverte d’or, a été remise au meilleur décor, meilleur montage, meilleur son, meilleure image, meilleure musique, meilleur second rôle féminin, meilleur second rôle masculin, meilleur rôle masculin, meilleur rôle féminin, meilleur scénario et, enfin, à la meilleure réalisation. Un hommage particulier a été rendu au défunt Mohamed Bouamari, le cinéaste ravi aux siens en décembre de l’année écoulée. Il aura fallu soutenir sa femme, elle-même comédienne, afin qu’elle puisse monter sur scène pour recevoir des mains de Sid-Ali Kouiret, le président d’honneur du jury, le trophée dédié à la mémoire du réalisateur du Charbonnier.
              Si le jury n’a à l’évidence pas trouvé de difficulté à décerner le prix de la meilleure interprétation féminine à l'actrice Fatima Hlilou pour son rôle dans le filmGourbi Palace, il n’a pas réussi à départager entre Madani Naâmoun, pour son rôle dans le feuilleton El Imtihane Esaâbe, et Rachid Farès dans El Aouda. Au journaliste Merzak Begtache est revenu le Fennec d’or pour le meilleur scénario d’El Aouda. Ce genre d’écriture, dira-t-il, “n’est pour moi qu’un accident de parcours”.
              L’instauration d’un statut particulier pour l’artiste, par lequel les créateurs payeront leurs impôts et leurs cotisations et, par conséquent, bénéficieront d’une protection sociale, stimulera davantage des vocations artistiques

              SAMIR BENMALEK

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              • #67
                les fennecs etrangers

                pour tout ceux qui sont deçu ya les cesars aujourd'hui et les oscars demain .....................alors un peu d'optimisme ...
                IMPOSSIBLE IS NOTHING

                VIVE l'ALGERIE et Gloire a Nos Martyrs .

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                • #68
                  Moh....

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                  • #69
                    Alya

                    A mon avis, une phrase suffirait à décrire le phénomène ou l'événement: "Much Ado about nothing"
                    The Importance of Being Earnest

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