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Le SAMU lui rit au nez, elle meurt quelques heures après

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  • #61
    Wendy
    Y a pas plus clair que "je vais mourir" ! N'importe quel spécialiste de la santé te dira que cette phrase est très évocateur .
    des centaines des fois j'ai entendu "je vais mourir " , j'ai une douleur 10/10 parfois à 20 , et deux mnaprés lemalade est descendu avec sa copine pour prendre un café aux distributeurs

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    • #62
      Avec tout le respect que j'ai pour toi , évite de vouloir mettre les gens que tu ne connais pas à la place d'autres que tu ne connais pas non plus, c'est philosophique
      je ne vois où je t'ai manqué de respect.j'ai dit ce qui sepasse en general ,sans designer personne, et encore moins de FA

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      • #63
        nordsud

        Y a pas plus clair que "je vais mourir" ! N'importe quel spécialiste de la santé te dira que cette phrase est très évocateur
        faut dire aussi que ils elles travaillent dans des conditions vraiment tendu...et ca c'est pas normal,malgré les formations

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        • #64
          Mertaw
          Je n'ai jamais dit que tu m'as manqué de respect , c'est cool tkt on discuté c'est tout.

          Bref , elle appelle pour un mal de ventre , sa voix calme et somnolente indique clairement l'urgence de la situation ,plus le " je vais mourir aidez-moi" si le médecin l'avait eu au téléphone , il l'aurait certainement pris au sérieux . Une douleur abdominale n'est jamais à prendre à la légère , il peut y avoir risque d'hémorragie interne et dans ce cas là la personne ne doit surtout pas bouger et doit être sous oxygène très rapidement , mais tu sais tout ça
          Dernière modification par nordsud, 11 mai 2018, 14h07.

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          • #65
            Il faut savoir pardonner, cette standardiste certainement stressée et fatiguée a mal réagit et hélas cette mauvaise réaction à causé (ou pas) la mort de cette jeune Femme.
            Il y a enquête, cette enquête déterminera si c'est une bonne employé ou si c'est une habituée à de mauvaises réactions.
            Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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            • #66
              Envoyé par Mertaw
              j'ai bien ecouté , et je redit , il suffit que cette operatrice a eu avant elle
              une journéechargée d'appel non justfié , que sur cette malade elle commet l'erreur
              Il s'avère que lorsqu'elle a pris l'appel elle n'était pas en fin de journée, mais avait travaillé peut être 3 h.
              Il s'avère que cela ne se passe pas à Paris mais à Strasbourg, ce n'est pas le même workload.

              Envoyé par Mertaw
              exp dans cette affaire , celui qui s'arrette à la faute de l'operatrice et explique tout ce qui s'est passé par cette faute , il a completement tord
              De manière générale, on devrait effectivement comprendre comment on en est arrivés là.
              Mais dans ce cas bien précis, le fait est que c'est l'opératrice qui n'a pas fait son boulot! C'est bien elle qui est responsable d'une faute grave, elle n'a pas suivi la feuille de route qui doit être comme suit:

              Notre job, comme opérateur, est de déterminer au bout du fil si c’est une urgence vitale ou si cela relève de la 'bobologie'. Je parle avec la personne, je lui pose des questions et ensuite je la dirige soit vers les médecins des urgences vitales, soit vers la permanence des soins, ce sont les médecins de la bobologie.
              Un rôle d’aiguilleur, donc. Essentiel, cependant. "Ensuite, le médecin parle au patient, lui pose des questions, il fait un diagnostic plus poussé. En fonction, il peut la renvoyer vers son médecin généraliste, ou vers SOS médecins. Mais une téléopératrice au Samu de Paris ne peut pas prendre la décision de dire elle-même : 'Appelez SOS médecins.'"

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              • #67
                Nord sud
                encore une fois , dire que je souffre ,ou e vais mourir , ouvoix faible n'est pas synonyme de gravite
                le nombre de gens faussement invalide jusqu' 80% en france est incalculable . ces gens , lors de la consultation , sont "tres malades" , et apres , ils travaillent dans le noir comme maçon, carreleur , mecancien.
                je connais une personne de 30 ans invalide 80% , plus cosaud que moi .

                encore une fois , ce genre d'affaire arrivera tjs mais reste tjsexcepptionnelle par rapport aunombre de gens sauvé par les operatrices et operateurs

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                • #68
                  Wendy
                  Il s'avère que lorsqu'elle a pris l'appel elle n'était pas en fin de journée, mais avait travaillé peut être 3 h
                  qui te dis qu'elle n'a pas travaillé ailleurs , qu'elle n'a pas bien dormi, qu'elle a de gros souci, qu'elle des prents dont elle s'en occupe , des enfants de bas ages , un mari cancereux en phase terminale ..etc
                  wallah je me demande tjs comment il n'ya pas plus d'accident àla sortie de l'hopital . le nombre de catastrophe qu'on annonce aux gens , puis rentrent en voiture , il ya tout les ingredient pour griller un feu , rater un virage ..etc
                  Il s'avère que cela ne se passe pas à Paris mais à Strasbourg, ce n'est pas le même workload.
                  tout est proportionnel . moins de gens moins d'operateur

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                  • #69
                    Mertaw elle n'est pas médecin. Elle n'a pas à prendre ce genre de décisions, quoi qu'elle ait comme problèmes personnels. C'est son job. Soit elle le fait soit elle arrête. Mais si elle le fait, ce n'est pas au détriment de la vie des autres.

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                    • #70
                      Mertaw

                      Dans cette voix calme et somnolente elle dit bien qu'elle a mal partout dans le ventre . Il fallait qu'elle passe un IRM avant d'appeler le SAMU ? on marche sur quel sens dans ce monde lol

                      Elle n'a pas respecté la procédure , point , ça s'arrête là khlass .

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                      • #71
                        Très intéressante la discussion pour l'équilibre avec des opinions du coté du personnel soignant ou opérateurs téléphone urgences. Cela ne doit pas empêcher les dépôts de plainte et enquêtes, même si erreur humaine involontaire.
                        Les médias ont bien dit que l'opératrice avait l'air de se moquer avant de répondre à Naomi, et durant la conversion, et cela choque beaucoup, surtout cas inédit, l'enregistrement audio rendu public.

                        Les parents de Naomi en veulent aussi à l'hôpital qui n'a pas été à leur écoute, un grand silence, retard pour l'autopsie, et manque de respect. Ils ne veulent pas que l'opératrice soit un bouc émissaire.
                        Dernière modification par panshir, 12 mai 2018, 11h51.

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                        • #72
                          malheureusement beaucoups de gens qui travaillent dans les hopitaux et urgences sont comme ca.
                          il y a meme des femmes qui se sont fait violer dans les ambulances en europe.

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                          • #73
                            Ils se protègent tous , l'autopsie ne révèle pas la cause de la mort , c'est bien ce que je disais , tous des corrompus ! Elle souffrait bien d' une défaillance multi viscérale à un stade bien avancé ce qui a conduit à plusieurs attaques cardiaques .Et ce qui serait intéressant de savoir , c'est combien de temps c'est écoulé entre son entré à l'hôpital et sa mort et le contenu de son dossier médical avec tout les clichés si IRM il y a eut .
                            La pauvre à dû énormément souffrir .
                            Dernière modification par nordsud, 11 mai 2018, 20h50.

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                            • #74
                              Mort de Naomi Musenga: La famille dépose plainte contre les hôpitaux universitaires de Strasbourg

                              « On ne sait toujours pas de quoi cette femme de 22 ans est morte »

                              Source: 20 minutes 11-05-2018


                              La famille de Naomi Musenga, décédée le 29 décembre dernier après avoir été raillée par une opératrice téléphonique du Samu, a déposé plainte vendredi contre les hôpitaux universitaires de Strasbourg (HUS).

                              Une plainte pour «non-assistance à personne en danger» et «mise en danger de la vie d'autrui» a été déposée «contre X et contre les hôpitaux universitaires de Strasbourg» vendredi auprès du secrétariat du procureur de la République de Strasbourg, a confirmé l'avocat de la famille, Me Mohamed Aachour.
                              « On ne sait toujours pas de quoi cette femme de 22 ans est morte »

                              Dans leur plainte, les parents de Naomi Musenga ont également demandé que les enquêteurs «essayent de découvrir l'origine du décès», a précisé sa consoeur Me Nicole Radius. «A ce jour, on ne sait toujours pas de quoi cette femme de 22 ans est morte. S'agit-il d'une mort naturelle ? Aurait-elle pu être sauvée si elle avait été prise en charge à temps ?», s'est interrogée Me Radius.

                              «Pourquoi on n'a pas répondu à son appel et pourquoi l'autopsie n'a pas été faite à temps ?», a demandé son père Mukole Musenga, qui a réclamé que «justice soit faite» lors d'une conférence de presse jeudi.
                              Le parquet de Strasbourg a déjà ouvert ce mercredi une enquête préliminaire du «chef de non-assistance à personne en péril». Les HUS ont par ailleurs ouvert une enquête administrative et l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) a été saisie.
                              Organisations professionnelles et syndicales de médecins face à Agnès Buzyn

                              Pour rappel, moquée par une opératrice du Samu lors de son appel, Naomi Musenga, souffrant de douleurs au ventre, n'avait été emmenée à l'hôpital que plusieurs heures plus tard et est décédée peu de temps après. Son autopsie n'a été réalisée que le 3 janvier et son corps montrait, selon le rapport, des signes de putréfaction.
                              Les organisations professionnelles et syndicales de médecins urgentistes rencontreront Agnès Buzyn, ministre de la Santé lundi pour «évoquer les conditions inacceptables» du décès de la jeune femme et «les améliorations nécessaires à apporter au fonctionnement du SAMU», a indiqué le ministère dans un communiqué.
                              Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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                              • #75
                                Bonsoir

                                Merci Elhour1

                                Choc hémorragique ! Si elle avait été prise en charge à temps , peut être que sa vie aurait été sauvé . Purée , elle est restée plus de six heures dans cet état !!! Si le médecin l'avait eu en ligne il aurait certainement compris pfff
                                Dernière modification par nordsud, 11 mai 2018, 19h59.

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