Le curé est accro aux jeux, ses paroissiens cotisent

[mohoo]

Les paroissiens de Küssnacht veulent aider l'homme d'Eglise, très populaire, à éponger ses importantes dettes avec un financement participatif.

Populaire dans sa paroisse, le curé de Küssnacht (SZ), relevé de ses fonctions il y a deux semaines à cause de ses dettes de jeu, peut compter sur le soutien des fidèles. Ils ont lancé un financement participatif dans le but de récolter 300'000 francs d'ici fin août.

Les initiants du financement participatif veulent aider l'homme d'Eglise à éponger ses importantes dettes et lui permettre un nouveau départ, écrivent-ils. Le curé a procuré d'innombrables bons moments à la paroisse ces 20 dernières années.

L'opération de financement participatif a été révélée mercredi par le Bote der Urschweiz. Le curé avait été relevé de ses fonctions après avoir demandé de l'argent à une cinquantaine de paroissiens. Une pétition de soutien a également été lancée en sa faveur.
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[Océane]

Dieu le leur rendra.oeilfermé

[nassim]

Encore un charlatan religieux qui exploite la fibre religieuse des fidèles de son église pour financer sa passion pour les jeux.

C'est exactement comme les charlatans daechiens saoudiens qui endoctrinent les Musulmans et exploitent leur fibre religieuse pour financer leur passion pour le luxe le plus cher du monde avec l'argent des pèlerins.

[joyna]

Être accro aux jeux c est une vraie drogue dure on a vu des petites dames jouer leur maigre retraite au casino et être culpabilisee de leur dependance après le shoot du jeu .
Certains culpabilisent tellement et s endettent de grosses sommes d argent qu' ils se font eux mêmes interdire de jeux .si jamais ils passent malgré les vigiles à l entrée , jouent et perdent , ils vont mêmes jusqu à mettre le casino au tribunal .

C est vraiment une grosse dépendance il n y a pas de plaisir. Juste le besoin du shoot

[Dandy]

Bonjour,

Peut-être que ces gens sont encore attachés à la charité chrétienne et qu'ils estiment que leur curé, dont ils ne pouvaient qu'être proches, est malade. S'ils décédaient de payer ses dettes, je leur suggère fortement d'y adjoindre une obligation de soins sans quoi le problème risquerait de se poser à nouveau car ainsi, que le rappelait Joyna, l'addiction est une forme de maladie.

Payer les dettes de quelqu'un et le soigner relève, dans l'idée, de la même mécanique que celle qui préside à l'affranchissement d'un esclave.