Un explorateur américain a pu descendre dans la fosse des Mariannes, l'endroit le plus profond de la croûte terrestre. Il y a trouvé de nouvelles espèces... et du plastique.
C'est seulement la troisième fois que des humains réalisent une telle prouesse: descendre dans la fosse des Mariannes, l'endroit le plus profond de la croûte terrestre, situé entre le Japon et l'Australie. Grâce à un sous-marin, l'explorateur américain Victor Vescovo a pu atteindre une profondeur record de 10'928 mètres. Il y a découvert de nouvelles espèces, notamment des crustacés ressemblant à des crevettes et un poisson-limace. Au rayon des trouvailles moins glorieuses, le Texan est également tombé sur un sac en plastique et des emballages de bonbons, rapporte la BBC.
«C'est très décevant de constater que les humains polluent jusqu'au plus profond des océans», déplore le riche investisseur, qui a fait fortune dans les fonds de placement. L'explorateur et l'équipe de «Five Deeps Expedition» espèrent que cette triste découverte permettra de sensibiliser le public à la pollution des océans. Ils attendent tout particulièrement une réaction des gouvernements. «Ce ne sont pas des poubelles géantes, même si nous les traitons de cette manière», s'indigne l'Américain.
En trois semaines, l'expédition est descendue à quatre reprises dans la fosse des Mariannes. En 2012, le réalisateur James Camerson avait atteint une profondeur de 10'908 mètres.
(joc)
C'est seulement la troisième fois que des humains réalisent une telle prouesse: descendre dans la fosse des Mariannes, l'endroit le plus profond de la croûte terrestre, situé entre le Japon et l'Australie. Grâce à un sous-marin, l'explorateur américain Victor Vescovo a pu atteindre une profondeur record de 10'928 mètres. Il y a découvert de nouvelles espèces, notamment des crustacés ressemblant à des crevettes et un poisson-limace. Au rayon des trouvailles moins glorieuses, le Texan est également tombé sur un sac en plastique et des emballages de bonbons, rapporte la BBC.
«C'est très décevant de constater que les humains polluent jusqu'au plus profond des océans», déplore le riche investisseur, qui a fait fortune dans les fonds de placement. L'explorateur et l'équipe de «Five Deeps Expedition» espèrent que cette triste découverte permettra de sensibiliser le public à la pollution des océans. Ils attendent tout particulièrement une réaction des gouvernements. «Ce ne sont pas des poubelles géantes, même si nous les traitons de cette manière», s'indigne l'Américain.
En trois semaines, l'expédition est descendue à quatre reprises dans la fosse des Mariannes. En 2012, le réalisateur James Camerson avait atteint une profondeur de 10'908 mètres.
(joc)